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Vous dites souvent : premièrement, deuxièmement, troisièmement ? Alors vous êtes plutôt d’une intelligence logico-mathématique. Vous battez la mesure avec vos pieds ou vos mains ? cela relève de l’intelligence musicale. On se tourne vers vous pour tempérer des conflits ? Alors probablement avez-vous une intelligence interpersonnelle. Mais peut-être aussi une intelligence linguistique, naturaliste, kinesthésique, visuelle et spéciale, existentielle ou intrapersonnelle…
Telle est la théorie formulée par Howard Gardner, professeur de psychologie de l’université de Harvard, qui décrit plus de vingt autres intelligences que celle mesurée par le QI. Selon lui, il n’y a pas une forme unique d’intelligence, mais plusieurs, indépendantes, dont nous sommes tous dotés dans des proportions extrêmement variables… Mais tout cela n’est qu’une théorie et peut-être que notre cerveau est en train de muter vers quelque chose qui contient toutes ces formes d’intelligence voire beaucoup plus que cela.
Pourquoi changeons-nous ? Que va t-il advenir des bases sur lesquelles tiennent la psychologie, la médecine et leurs axiomes ? En fait dès maintenant nous pouvons dire que tout cela vole déjà en éclat. Car nous sommes à l’orée de cette période si fantastique, la Guéoula. Et c’est à ce moment-là que nous allons conquérir le Kini, Knizi et le Kadmoni. Mais qui sont ces peuplades qui ont été promises en héritage à Avraham notre père mais qui n’ont pourtant jamais été octroyées. Au niveau du territoire, cela représenterait une bonne partie de l’orient, l’antique Babylonie. Tout cela reviendra au Peuple Juif. Mais au niveau spirituel, alors que les sept peuples que nous avons conquis lors de la période de l’exil représentent les sentiments, les trois peuples mentionnés plus haut représentent l’intellect. Tout cela signifie que nous allons découvrir un nouveau potentiel extraordinaire, une intelligence phénoménale, l’accès à ‘Ho’hma, Bina et Daat, la Sagesse, l’Intelligence et la Connaissance. Oui, dès maintenant, nous entrons dans cette ère et nous pouvons dès maintenant constater chez nous et dans notre entourage, une nette évolution de l’intellect, les enfants sont plus curieux, veulent découvrir et développer, ils veulent toucher à la vérité pour peu que l’on leur en donne l’accès. Notre génération, nous dit le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, est celle de la Mal’hout et chaque Juif vivant aujourd’hui, demande instamment la Guéoula, il se tourne vers le bien, le beau et l’intelligence car il veut sortir des ténèbres vers la lumière. La Guéoula est en marche et à chaque instant, peut s’ouvrir la porte et le Méle’h HaMachia’h peut faire son entrée et sauver Israël et le monde entier en une seule seconde. Immédiatement ! (GN)
Les «Igueroth-Kodech», ce moyen miraculeux d’être connecté au Rabbi, roi Machia’h, n’ont pas fini de nous étonner…
Le Rav Mendy Schmoulévitz, de Tsfat, a vécu ces derniers temps une opportunité de se rendre compte par lui-même du caractère extraordinaire de ce phénomène : «Il y a trois semaines», commence t-il, «on nous appelle du bureau du «Beth-‘Habad des Kibboutzim», dirigé par le Rav Yaacov Ben Ari, pour nous demander une visite dans l’un des Kibboutz de la région. «Celui qui devait y aller est dans l’impossibilité de le faire. Et c’est dommage, car la famille qui appelle veut fêter avec ‘Habad l’anniversaire de leur fille».
Je dois dire que, depuis mon mariage, je ne sors pour les visites aux domiciles qu’en compagnie de mon épouse Esther, mais que, depuis que notre fils est né, il y a 5 mois, nous sommes cantonnés chez nous, en particulier le soir. Je refusai donc la proposition, expliquant que ma femme se préparait à une longue journée d’enseignement pour le lendemain, et qu’elle devait aménager la moitié de notre appartement pour les classes des enfants… en résumé, aucune possibilité. Mais nos interlocuteurs rappelèrent et supplièrent, disant : «Faites Messirouth-Néfech (abnégation, don de soi au-delà des possibilités) ! Et sans aucun doute, D.ieu vous donnera, Lui aussi, au-delà des limites». A la fin de l’entretien, nous résolûmes d’y aller et de ne tenir aucun compte des arguments raisonnables. Au-delà de la logique et de la raison !
Le soir même, nous partîmes pour le Kibboutz Morane, pour célébrer avec une famille locale l’anniversaire de leur fille Noam, âgée de 17 ans.
Nous fûmes reçus chaleureusement, parlâmes sur le thème de l’anniversaire, citant les Si’hoth du Rabbi, roi Machia’h, qui expliquent qu’en ce jour l’essence de l’âme de chacun se révèle, aussi est-il opportun d’y prendre une bonne résolution (qui aura alors une incidence positive sur toute la personne). Ma femme proposa alors à Noam de prendre sur elle la décision d’allumer une bougie à l’entrée de Chabbath, ce qui a pour effet d’éclairer les canaux d’influence spirituelle pour la jeune fille qui accomplit cette Mitzvah. Ces paroles allèrent droit au cœur de la jeune fille, et même de sa mère. Aussi, nous profitâmes de cet instant béni pour suggérer à Noam d’écrire au Rabbi, roi Machia’h. Nous expliquâmes ce qu’étaient les «Igueroth-Kodech» et les miracles que l’on constatait à leur sujet.
Noam écrivit donc et demanda une Béra’kha pour réussir ses examens du baccalauréat. La réponse apparut dans le volume 15, à la page 206. A première vue, je ne pus déceler le moindre rapport avec la demande de Noam, mais je la lus néanmoins, quoique avec une certaine déception, ayant mis l’accent peu avant la rédaction sur la précision des réponses.
Qu’on en juge plutôt : «Il est évidemment superflu d’attirer votre attention sur la nécessité extrême de rester en rapport, de manière souhaitable, avec les participants de cette réunion ‘hassidique…Il semble que jusqu’ici vous n’avez pas fait attention à cela, et, à mon regret, il semble que plusieurs conséquences regrettables ont été le fruit de cette négligence ».
Je leur expliquai, en rapport avec la situation, que nous étions effectivement au sein d’une réunion ‘hassidique, et que la réponse nous demandait de faire l’effort de rester en contact avec eux, à partir d’aujourd’hui. Nous conclûmes que nous les appelerions à l’entrée du Chabbath, avant l’allumage des bougies, pour le leur rappeler, et nous nous quittâmes dans un esprit d’amitié réciproque. Lorsque le vendredi arriva, et que la pendule indiqua 16 heures 45, ma femme décrocha le téléphone et rappela à Noam l’allumage des bougies, lui indiquant que l’heure limite était à 17 heures et 7 minutes. A ce moment, la mère lui fit remarquer qu’il était…17 heures 20 !
Nous demeurâmes stupéfaits : que signifie cela ? La pendule chez nous indique 16 heures 45… Vérification faite sur le téléphone mobile, la mère avait raison, et notre pendule retardait de plus d’une demi-heure. Il ne nous restait (en tenant compte des 18 minutes supplémentaires jusqu’au coucher du soleil, à n’utiliser qu’exceptionnellement) que quelques minutes pour allumer. Il n’était plus temps de traîner, nous leur demandâmes d’allumer immédiatement, et mon épouse se dépêcha d’en faire autant. Ce ne fut qu’une fois accomplie cette Mitzvah, que nous nous assîmes pour «digérer» ce qui venait de nous arriver. Si nous ne les avions pas appelés, nous aurions allumé après le coucher du soleil, ou nous n’aurions pas du tout allumé les bougies de ce Chabbath.
Nous commencions à réaliser que c’était par le mérite d’être sortis pour cette visite à leur domicile, que le Rabbi, roi Machia’h, avait évité à nos deux familles les conséquences plus que regrettables dont il parlait dans sa réponse !
Cette semaine, à l’occasion du Congrès Machia’h dont le thème était « diffuser les Sept Mitsvot dans le monde et en Terre d’Israël », l’équipe de Guéoula News a publié le journal « Freedom Ben Noah Now ! », outil de soutien aux émissaires et aux sites web qui œuvrent pour enseigner aux non-Juifs les Sept Mitsvot pour les enfants de Noé. A diffuser dans le monde entier en anglais et sans modération ! Pour la version française veuillez CLIQUER ICI (GN)
Ces derniers temps, la ville d’Achkélon ressent de plus en plus l’ère messianique qui commence à se révéler plus intensément dans la ville côtière. En effet, une équipe de français qui œuvrent pour le dévoilement de Machia’h et de la Guéoula s’est mis en place et avec plus de force, ces derniers temps, pour prendre sur eux d’informer autour d’eux le public de la nouvelle de la délivrance actuelle. Un stand de Téfilines s’est mis en place, une campagne d’affichage a vu le jour et encore beaucoup d’autres activités. L’instigateur en est le Chalia’h Ma’hlouf Gabay, à qui l’on doit pour une certaine mesure, la naissance du site et du journal « Vive le Roi Machia’h, Now ! ». (GN)
A l’occasion du 11 Nissan, le jour de l’anniversaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, cette année aura lieu, avec l’aide de D.ieu, un rassemblement aux dimensions nationales et les préparatifs ont déjà démarré. Le journal de la Guéoula vous tient informés sur l’évolution des différents détails qui concernent le public. (CI)
Alors que les Enfants d’Israël cherchent, tous les jours un peu plus, à étudier tout ce qui a trait à la divinité, à la délivrance et au roi Machia’h, les non-Juifs veulent en faire de même. Un mouvement sorti des tréfonds de leur âme se réveille aujourd’hui après un constat d’échec de tous les grands idéaux, l’humanité entière veut la vérité sur la divinité !
En effet, suite à un Congrès révolutionnaire portant sur le thème des Sept Commandements pour les Nations du monde, on s’est rendu compte que les moyens technologiques qui nous sont offerts sur un plateau, ont été créés par l’homme dans un seul but, les connecter entre eux afin qu’ils puissent découvrir le vrai D.ieu, et Son émissaire, le roi Machia’h.
Le Rav Moché Péretz, médecin et chercheur dans le domaine médical et génétique, a fondé ces dernières années un réseau d’émissaires du Rabbi qui travaille intensément à diffuser le message des Sept Mitsvot de manière méthodique avec des stages et des cours en vidéos ainsi qu’un outil Ala’hique fondé sur le Rambam écrit par le Rav Moché Weiner bien connu dans le domaine du code de loi, le Choul’han Arou’h. Le site se nomme : worldnoahidecommunity.org et il ouvre un monde nouveau devant les non-Juifs, afin qu’ils se hissent au niveau de ce que Hachem leur a demandé par la bouche de Moché notre maître.
En bref, une révolution est en train de se mettre en place, mais cette fois-ci une révolution du bien, de la droiture et de la loyauté. La délivrance que le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h a mis en œuvre, n’est pas juste le fait du Peuple Juif, mais bien de l’humanité toute entière ! (GB)
Les danses du mois d’Adar au 770
Dans la synagogue et maison d’étude du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, tous les soirs se tiennent de nouveau les chants et danses qui soulignent la joie du mois d’Adar avec orchestre et drapeaux jaunes de la Guéoula. (GN)
Nouveauté chez Guéoula News…
L’équipe de Guéoula News fait profiter ses lecteurs qui suivent les infos de la période messianique actuelle d’un mini-flyer avec un propos du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h illustrés par de belles photos du Rabbi. A suivre sur facebook… (GN)
Sortie de la version anglaise de « Libération Ben Noah Now ! »
Cette semaine, à l’occasion du Congrès Machia’h dont le thème était « diffuser les Sept Mitsvot dans le monde et en Terre d’Israël », l’équipe de Guéoula News a publié le journal « Freedom Ben Noah Now ! », outil de soutien aux émissaires et aux sites web qui œuvrent pour enseigner aux non-Juifs les Sept Mitsvot pour les enfants de Noé. A diffuser dans le monde entier en anglais et sans modération ! (GN)
Le Congrès Machia’h à Richone LeTsion
Lundi après-midi, 8 Adar, le Congrès organisé par l’Association pour la Guéoula du Rav Zimroni Tsik a eu lieu aux Salons Belvédère à Richone LeTsion et a permis aux intervenants de prendre la parole sur le thème de la diffusion des Sept Mitsvot Bné Noah. Le Rav Moché Wiener ainsi que le Rav Moché Péretz étaient présent pour évoquer les capacités extraordinaires du Web pour atteindre les non-Juifs et leur faire comprendre l’importance d’accomplir leurs Mitsvot. Rafik ‘Helbi, directeur de l’académie « Direct Time » a fait un discours plutôt impressionnant évoquant le fait qu’il est druze et connecté avec le Rav Boaz Kali et Eyov Kra (dont le bureau est à la Knesset). Rafik diffuse avec force les Sept Mitsvot avec son épouse et organise des cours en langue arabe. Le Rav Zimroni a fait un discours qui sera retransmis sur le site viveleroi770.com sur ce thème et la soirée s’est terminée sur une grande réunion ‘hassidique avec le Rav Chimon Wiessendler. (GN)
Résumé du discours
Du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita
Chabbat Paracha Michpatim qui bénit le mois d’Adar
27 Chevat 5752-1992
Il est reconnu que chaque événement qui se passe dans le monde survient par l’intervention de la Achaga’ha Pratite (la Divine Providence – 1). Tout cela comporte un enseignement pour le service de l’homme envers Son Maître, et plus encore, en ce qui concerne des événements fondamentaux de portée internationale dont les protagonistes sont des Etats importants.
Concernant l’actualité, à la veille du Chabbat Parachat Michpatim 5752 (1992), les dirigeants des superpuissances de ce monde ont décidé de placer leurs relations sous un nouveau jour. Il s’agit de supprimer l’état de belligérance et de réduire l’armement, afin de prôner la paix, l’unité et l’entraide.
Ce mercredi, trois jours avant Chabbat, le Président a déclaré qu’il diminuerait le budget consacré à l’armement et utiliserait les crédits ainsi libérés pour renforcer la prospérité économique. Cette décision a été ratifiée par l’assemblée, dont les décisions ont force de loi, même d’après la Torah.
Les enfants d’Israël, peuvent tirer la conclusion suivante, au vu de cet avancement dans l’histoire : il est nécessaire de révéler la délivrance… La Guéoula sera effective lorsque cesseront les guerres dans le monde et lorsque les nations « transformeront leurs glaives en socs de charrues… un peuple ne portera plus l’épée sur l’autre et ils n’apprendront plus l’art de la guerre (2) ». Le Machia’h lui-même obtiendra cette victoire. Il jugera les peuples et réprimandera celui qui a commis des injustices (3). Dès lors, la paix règnera, le Temple sera reconstruit et toutes les nations s’y rendront, « car c’est de Tsion que jaillira la Torah et la Parole de D.ieu, de Jérusalem », là où résidera le Machia’h.
Une prophétie claire se réalise actuellement devant nos yeux. Non seulement aux USA, mais aussi en Russie, pays qui mena une guerre dévoilée contre le Rabbi Rayats, prince de notre génération. On y enseignait la Torah en cachette, au péril de sa vie. Mais dernièrement, toutes ces restrictions ont disparu et le Judaïsme y est enseigné de la manière la plus libre. Le nouveau gouvernement, adhérant au principe de la justice, de la droiture et de la paix, croit en D.ieu.
Dans la Paracha Michpatim (au premier verset), la Torah énonce des préceptes nouveaux, mais logiques, et Rachi dit qu’ils furent transmis au mont Sinaï, au même titre que ceux qui ont été énoncés lors du don de la Torah. C’est pour cela que le Juif doit les comprendre, les intérioriser et s’y soumettre avec la même abnégation que tous les autres Commandements divins. De même, les enfants de Noé, les non-Juifs, doivent pour pratiquer leurs sept Commandements, prendre conscience avant tout, de leur origine divine.
Puisque dans la Paracha, nous trouvons les lois qui concernent principalement les tribunaux, il y a un lien direct entre ce que les Rabbanim ont tranché actuellement (que le temps de la délivrance est arrivé) et la décision des nations de tendre vers une ère de paix et de bienfaisance. La Parachat Michpatim est particulièrement liée à la Guéoula car elle se place entre la Parchat Yitro qui se termine avec les lois relatives à l’Autel et la Parachat Terouma, où il est dit : « Il me feront un Sanctuaire et Je résiderai parmi eux (4)».
Ceci concerne aussi la Tseddaka car dans notre Paracha, il est dit : « Si tu prêtes de l’argent à Mon peuple, aux pauvres (5)». La bienfaisance dépasse la Tseddaka qui, elle-même rapproche la délivrance.
Ce Chabbat est celui qui bénit le mois de Adar, dont le Mazal est bon. Il apporte la joie de Pourim et rapproche la délivrance de Pourim de celle de Pessa’h, comme il est dit : « Comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles (6)», celle de la délivrance qui interviendra avant même la fête de Pourim.
Et que soit Sa volonté, et c’est le principal, que la délivrance se dévoile de la manière la plus immédiate « Te’hef OuMiyad Mamach ». Il est clair que l’on aura pas besoin d’attendre jusqu’en Nissan, ni même jusqu’en Adar, puisque le Machia’h arrivera pendant le Chabbat qui bénit le mois d’Adar, le 27 Chevat, Za’h (Pur) Chevat, au moment de la Séouda Chlichite, le troisième repas du Chabbat qui est relié avec la troisième délivrance dans le troisième Temple.
Et que ceci nous arrive de la manière la plus concrète, Te’hef OuMiyad Mamach, selon les initiales que comporte le mot Miyad (7).
Ainsi que dans toutes les allusions contenues dans le mot « Mamach* », mais tout d’abord au sens le plus littéral, de la manière la plus concrète, Mamach, Mamach, Mamach…
1/ voir Keter Chem Tov
2/ Isaie 2-4, Mi’ha 4-3
3/ Radak
4/ 25-8
5/ 22-24
6/ Mi’ha 7-15
7/ Moshé, Israël (Baal Chem Tov) et David le roi Machia’h – et dans la note de bas de page n°148 : Miyad = Mena’hem, Yossef et Yits’hak et aussi Dovber
* Mena’hem Mendel Shneerson
Ye’hi Adoneinou, Moreinou VeRabeinou,
Melekh HaMachia’h Leolam Vaèd !
C’est le Rav Nir Gavriel, émissaire du Rabbi, roi Machia’h, au Quartier Florentin à Tel-Aviv, qui relate les faits suivants…
Je ne peux préciser à quel moment les faits se concrétisèrent pour devenir un problème, mais, à un moment donné, l’un des résidents de l’immeuble où j’habite décida de garer un véhicule attelé à une remorque dans le parking collectif. Le fait que cela n’ait pas été le fruit d’un accord préalable avec les autres résidents souleva la réprobation générale, et les disputes et empoignades se prolongèrent tout au long de l’année.
Je dois dire que j’étais moi-même assez monté contre lui, et un jour, alors que j’étais arrivé avant lui au parking, je garai ma voiture de telle sorte que j’obstruai l’accès à sa place. Or, quelques minutes plus tard, le voilà qui arrive et qui exige que je déplace mon véhicule, ce à quoi je réponds que je n’en ferai rien. Il s’ensuit une confrontation assez vive, que je décide de ne pas poursuivre, et, le plantant là, je monte à la maison. Je décide alors que la mesure est pleine, et que je vais immédiatement écrire au Rabbi, roi Machia’h.
La réponse que je reçois est stupéfiante: «..lui permettre de stationner». Je reste un instant hésitant, sur la façon dont je vais appliquer cette directive, puis je décide immédiatement de descendre et de libérer la place…
Lorsque j’arrive au parking, mon voisin y est encore. Je lui dis alors : «Garez-vous, je sors». Je joins le geste à la parole pendant qu’il me regarde stupéfait. Progressivement, à partir de ce moment, ma charge d’indignation à son égard commence à fondre, et je décide qu’après une telle réponse je ne me laisserai plus piéger par ce problème. Mais c’est à ‘Hanouka, cette année, que survint une circonstance qui changea tout. J’étais prêt à sortir pour les «Mivtsaïm», les campagnes d’allumage de bougies à travers toute la région, lorsque je découvris qu’un de mes pneus était à plat. Pendant que je me demande comment je vais m’y prendre, j’entends mon voisin, le propriétaire de la remorque, me crier : «Que se passe t-il? Une crevaison? J’arrive!» Je suis surpris, mais je me tais, pendant qu’il entre en action. A l’aide du matériel approprié, et après s’être retroussé les manches, nous travaillons de concert, et le dégât est vite réparé.
Une conversation cordiale s’engage, au cours de laquelle je lui parle de l’action que je vais entreprendre à l’occasion de ‘Hanouka. Il s’y intéresse et exprime le souhait de se joindre à moi, ce que j’accepte immédiatement. Et il m’accompagne chaque soir, à partir de ce jour, pour les «allumages» publics, dans tous les lieux où nous nous rendons.
Mes enfants sont également de chaque expédition, ainsi qu’un étudiant de la Yéchiva de Tsfat. Mon voisin amène aussi ses enfants, ainsi que quelques amis. Nous formons une équipe informelle, composée pour moitié de ‘Habadniks, et pour moitié de jeunes gens à l’allure tout à fait différente, mais cela ne fait que renforcer le caractère exceptionnellement respectable de l’expédition. A la faveur de notre amitié nouvelle, il ne craint plus de s’exprimer, et il me raconte par le détail ce qui l’a conduit à parquer son camion avec sa remorque dans notre immeuble. J’apprends ainsi qu’il travaille à dresser des estrades et des chapiteaux (pour les concerts et autres festivals), ce qui l’oblige à transporter chaque jour les équipements et le matériel nécessaires, et en conséquence à garder le véhicule près de chez lui. Il n’a nullement l’intention de nuire à qui que ce soit, mais n’a pas d’autre option que celle-ci. Il me confie qu’il a été impressionné par mon geste unilatéral : «Ce n’est pas quelque chose de naturel, et on l’admet difficilement», avoue t-il. Par la suite, il me fait part de son désir de nous aider lorsque nous édifierons une Yéchivah dans le quartier.
Lorsque j’ai expliqué sa position aux autres résidents de l’immeuble, ils ont commencé à le regarder de façon différente, et ont peu à peu fait faire leurs critiques. D’ailleurs, il finit par trouver une autre solution pour sa remorque, et la paix s’installa parmi nous. Je fus ainsi témoin de la façon dont le Rabbi, roi Machia’h, procède pour «transformer» l’état du monde, résolvant les antagonismes et changeant les données, d’un extrême à l’autre. (Tiré du Courrier de la Guéoula)
Mobilisez vous pour la construction du Palais du roi Machia’h à Kfar Habad !
Grâce à D.ieu, nous sommes aujourdhui en plein acceleration du processus de Gueoula en participant à la construction du Palais du Roi Machiah. Nous organisons, ces jours-ci, une lotterie, speciale dont les prix seront des fascicules distribues de la main du Rabbi Chlita MHM, ainsi qu un dollar de benediction. De plus, on pourra obtenir 1000 heures d etude de Bahourim à la Yechiva. Possibilite en paiements quotidiens jusqu à 3,5sh par jour !
Organisme pour la construction
du Palais du Machiah,
HaVaad LaBinyane
Banque Mizrahi Tefahot
Snif 547 – Compte 114101
Tel. 058-4047770
A diffuser au plus grand nombre !
Code institutionnel : 57529
Chaque année, lors de la Fête de ‘Hanouka, les étudiants des Yéchivoth ‘Habad du monde entier organisent des «défilés de lumière»…
Ils équipent des véhicules carrossés pour ce but, des «Tanks de Mitzvoth», et s’en vont diffuser en tous lieux les miracles de ‘Hanouka. C’est l’un de ces étudiants, Boaz Lévi, qui raconte leur équipée
de cette année à travers les Etats-Unis : «Nous sommes sortis, au nombre de six «Tmimim», à bord
d’un «Tank de Mitzvah», pour rendre visite aux Juifs dispersés dans toute la région de Chicago (Illinois), puis nous avons décidé de pousser notre randonnée jusqu’à Los Angeles, un trajet de plus de 3200 kilomètres. Le but: leur apporter la lumière de ‘Hanouka, et surtout la lumière de la Délivrance…
Notre route a traversé des Centres Commerciaux, des agglomérations gigantesques où se trouvaient effectivement de nombreux Juifs… A la huitième bougie de la Fête, nous avons atteint Los Angeles avec pour objectif de conquérir et d’éclairer ce lieu, en avant-garde de la révélation du Rabbi, roi Machia’h. Dans la traversée de cette ville, nous avons suivi «l’Avenue des Etoiles», l’une des voies les plus connues, dans laquelle grouillait une foule composée de toutes les classes humaines.
Nous cheminions à faible allure, accompagnés de musique sur le thème du Machia’h et entourés des drapeaux qui flottaient de chaque côté du Tank. De façon naturelle, l’attention des passants était captée, nous constituions une attraction, dans cette ville pourtant habituée aux manifestations sortant de l’ordinaire.
Nous nous arrêtions de temps à autre, pour permettre à des Juifs de monter, afin de mettre les Téfiline ou d’écrire au Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech». A un moment
donné, l’un d’entre-nous a remarqué un homme qui fixait le Tank avec un intérêt soutenu. Il lui a alors demandé s’il était Juif, et l’homme a répondu par la négative, tout en ajoutant : «Mais ma grand-mère maternelle l’était… ». Alors, nous l’avons fait monter dans le Tank avec enthousiasme et lui avons expliqué qu’il était Juif à tous points de vue, un descendant d’Abraham, Yits’hak et Yaacov comme tout le reste de son peuple !
Nous avons donc décidé de lui organiser une «Bar-Mitzvah», en lui expliquant le privilège extraordinaire qui lui arrivait. Nous l’avons revêtu des Téfiline, puis avons sorti de nos réserves une collation conséquente, ainsi que de quoi faire «Lé’Haïm», et avons célébré sa «Bar-Mitzvah» avec faste, accompagnée de danses joyeuses, comme les «Tankistes» savent le faire.
En pleine fête, l’un des «Tmimim» demanda à l’homme de se nommer, et le «Bar-Mitzvah» répondit : «Walter». «Eh bien», lui déclara notre ami, «à partir d’aujourd’hui votre prénom juif est «Mena’hem-Mendel», comme celui du Rabbi, roi Machia’h». Nous sentions une atmosphère de cérémonie nous baigner, comme lors d’une «Brith-Mila»…
En revenant à la conduite du Tank, un débat s’engagea entre nous au sujet de la nomination de cet homme. Avions-nous procédé de manière correcte, ou aurait-il fallu le faire à la Synagogue, devant un Séfer-Torah ?
A l’issue de la journée d’action, nous allâmes prier Arvith au «Beth-Machia’h» de Los Angeles. Après la Téfila, et pendant que nous dansions en chantant «Ye’hi Adonénou», l’un d’entre nous alla tirer un «Igueroth-Kodech» de la bibliothèque et l’ouvrit sans préméditation. Il s’agissait du volume 17 et de la page 201.
Les premiers mots que nous lûmes disaient en substance : «En réponse au faire-part m’informant de la naissance de votre fils (Lé-Mazal-Tov), que vous l’avez fait entrer dans l’Alliance d’Abraham notre père, et qu’il a été nommé Yossef-Yits’hak…». Nous étions stupéfaits, car ce prénom était celui du Rabbi Précédent, à l’exemple de ce que nous avions fait en donnant à cet homme le prénom du Rabbi, roi Machia’h.
La suite de la réponse était édifiante : «Quant à ce que vous écrivez au sujet (du choix) du nom, il est évident qu’il n’y a aucune raison de spéculer là-dessus. Car le «Arizal» nous a fait savoir que c’est D.ieu qui met sur les lèvres (du père et de la mère) ce nom, indissociable de cette âme»…et c’est ce nom qui est enregistré en-Haut, au niveau du Trône Divin». Cette réponse miraculeuse fit fondre tous nos doutes. Il était maintenant clair pour nous que ce Juif avait mérité par bénédiction
son nouveau nom : Ména’hem-Mendel. (Tiré du Courrier de la Guéoula)