Le Rassemblement des Emissaires qui sont ouvertement pour le Rabbi en tant que Roi Machia’h…
Madame Tsoubari était déjà en salle d’accouchement quand soudain, la fièvre monta et rapidement atteignit les 40°C. Elles commença à se sentir mal. Les médecins qui étaient autour d’elle furent vite stressés par son cas. C’était signe que la future-mère et le fœtus étaient, tous les deux, en danger. Ils ont, alors, décidé de donner à celle-ci un traitement pour interrompre le processus de l’accouchement…
Son mari, Israel était, lui aussi, influencé par les médecins, déjà très sceptiques. Il avait immédiatement compris qu’il devait multiplier les prières et les psaumes. De plus,
il a contacté son ami, animateur à la radio, le célèbre Ami Maïmon. Il lui a demandé de transmettre au public de prier en urgence pour Linoy Bat Brouria, qui se trouve en danger en ce moment-même…
Et c’est ce que fit Ami, mais pas seulement. Il écrivit aussi au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h dans les Iguerot Kodech. La réponse qu’il reçut fut la suivante :
« …Elle m’écrit qu’ils veulent d’autres enfants… Il serait bon de faire vérifier les Téfilines de son mari, qu’il ait une longue vie et avant de les mettre qu’il donne quelques pièces à la Tseddaka. Et de son côté, qu’elle donne de la Tseddaka avant l’allumage des bougies du Chabbat et des fêtes ». Dans la page d’en-face ; il était question de faire vérifier ses Téfilines…
Ami Maïmon transmit la réponse du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h à Israël.
Ce dernier envoya immédiatement ses Téfilines à vérifier chez un Sofer expert et en même temps, avant même qu’arrivent les résultats de la vérification, il annonça au Sofer qu’il voulait commander une nouvelle paire de Téfilines. Dès que les Téfilines furent donnés à vérifier, la situation de la future-maman commença à s’améliorer. La fièvre descendit. Elle se sentit beaucoup mieux.
Le dimanche qui suivit, ils retournèrent à l’hôpital pour un examen pendant lequel, Linoy ressentit les contractions… On la conduisit en salle d’accouchement. En cinquante minutes seulement, une petite fille naquit, toute mignonne et en parfaite santé, grâce à D.ieu.
Peu de temps après l’accouchement, le Sofer appela Israël : « Certaines lettres dans les parchemins des Téfilines sont invalides et donc les Tefilines ne sont plus cachères »…
Israël fut émerveillé par une telle précision dans la réponse des Iguerot Kodech. Et pour remercier Hachem pour la naissance de leur fille ils la nommèrent « Libi (Mon coeur) » en allusion aux Téfilines que l’on place face à son cœur… (Traduit par l’équipe de LPSG).
Il est connu que dans chaque génération il existe un homme de la tribu de Yéhouda qui, de par sa grande piété, est apte à être le Machia’h le moment venu. Et, sachant que, d’après l’annonce de mon beau-père, le Rabbi, Nassi de notre génération, le Chalia’h unique de notre génération et le Machia’h unique de notre génération, selon laquelle nous avons terminé notre tâche, il est clair que commence à s’accomplir « Chla’h Na Beyad Tichla’h, Envoie s’il Te plaît (le Machia’h) », la mission de mon beau-père, le Rabbi. Il est donc compréhensible que la seule chose qui nous reste à faire dans la Chli’hout est d’accueillir concrètement le Machia’h pour qu’il puisse accomplir sa mission et sortir le peuple juif de l’exil…
Le Congrès des émissaires
L’instruction concrète qui découle de cela en ce début de « Congrès Mondial des Émissaires » est la suivante : Il faut annoncer à tous les Chlou’him que dorénavant le travail de Chli’hout, de même que pour chaque Juif, s’exprime dans le fait d’accueillir le Machia’h. Cela signifie que tous les aspects de la diffusion de la Torah et du Judaïsme et des sources de la ‘Hassidout doivent être pénétrés de ce point : comment cela entraîne à accueillir le Machia’h. C’est également le sens de la phrase de la Michna choisie comme thème du Congrès, « Tous les jours de ta vie, pour amener les jours du Machia’h ». Pas seulement pour inclure l’ère messianique (selon certaines traductions), ce qui signifie que le Chalia’h attend que Machia’h vienne pour s’y investir et en profiter, mais bien pour « amener ». Le Chalia’h doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour amener « les jours du Machia’h » au pluriel, c’est-à-dire non seulement le début, le premier jour, mais tous les jours du Machia’h (pas seulement lorsque celui-ci est « Be’hezkat Machia’h, présumé être le Machia’h », mais jusqu’à la plénitude du statut de « Machia’h Vadaï, confirmé comme étant le Machia’h »). Ainsi, de ce Congrès doivent sortir des résolutions sur comment chaque Chalia’h doit se préparer lui-même ainsi que tous les Juifs autour de lui, dans sa ville etc., à accueillir le Machia’h, par le fait qu’il explique d’une façon qui soit assimilée par chacun d’après sa compréhension, notamment à travers l’étude des sujets de la Torah relatifs au Machia’h et à la Délivrance, en particulier selon l’approfondissement de la ‘Hassidout ‘Habad. Et puisque telle est la tâche de notre temps, il est clair que cela est du ressort de chaque Juif, sans aucune exception.
D.ieu remerciera chaque Juif
Et par le fait que chaque Chalia’h va remplir son rôle à la perfection, par les dix forces de son âme, et que tous les Chlou’him vont se rassembler et s’unir autour de cela, ils amèneront immédiatement le dévoilement du Chalia’h essentiel et véritable, avec le dévoilement des dix forces de son âme – « Chla’h Na Beyad Tichla’h », le Chalia’h de notre génération – mon beau-père, le Rabbi, Nassi de Notre génération – comme ce fut le cas dans la génération précédente, dans laquelle mon beau-père s’est unifié avec son père, duquel il était le fils unique, de sorte qu’il y ait la plénitude des « sept branches de la Ménorah », les sept générations ensemble. Et, d’autre part, comme nous avons terminé notre tâche, chaque Chalia’h se présente devant le véritable délégateur, le Saint bénit soit-Il, et lui annonce : j’ai accompli ma mission et maintenant le moment est venu que Toi Tu accomplisses la tienne (car D.ieu est aussi un Chalia’h, d’après le principe selon lequel Il ordonne aux Enfants
d’Israël ce qu’Il fait Lui-même : ainsi, avec les dix Sefirot, l’Essence Divine est Elle-même le Machia’h) : « Chla’h Na Beyad Tichla’h », envoie-nous le Machia’h concrètement… Et même s’il se peut que D.ieu retire du plaisir d’un instant de service divin supplémentaire en exil, chaque Juif crie à Son égard « Tout ce que te dit le maître de maison, fais-le, sauf de sortir », il est exclu que nous restions en dehors…
Ceci sera encore plus accéléré en particulier à travers la décision d’étudier l’intégralité du « Torah Or » et du « Likoutei Torah ». Et D.ieu remerciera chaque Juif en particulier et le Peuple Juif dans son ensemble pour ses efforts (même si ceux-ci n’ont pas atteint la perfection), et il les mènera tous en Terre Sainte, à Jérusalem, la ville sainte, sur la montagne sainte, dans le troisième Temple. Et le plus important est que ce soit immédiatement.
Sur le verset de la Paracha ‘Hayé Sarah : « Avraham était avancé en âge et l’Eternel avait béni Avraham en tout ». Dans le Midrach Rabba il est dit : « Rav Levi a dit : Cette bénédiction réside dans le fait que Avraham dominait son penchant… ».
Le Rachab pose la question : « quelle est cette bénédiction tellement grande qu’il dominait son penchant ? ». Pour répondre à cette question, nous devons comprendre tout d’abord que veut dire : « Avraham était avancé en jour… ». Il écrit dans Pirké Avot que : « Avraham a affronté dix épreuves et il les a toutes surmontées ».
Qu’est-ce qu’une épreuve ?
En fait il s’agit d’une grande lumière, d’une élévation sans aucune commune mesure où va intervenir un immense miracle, mais pour l’instant (comme il vient du monde de Tohou) il est caché, complètement dissimulé. (Par exemple dans le cas de Avraham, il lui apparut un fleuve pour l’empêcher d’avancer). Par la suite, le fleuve a complètement disparu dès qu’Avraham a montré sa détermination d’aller jusqu’au bout de l’épreuve. Et de ce fait il a dévoilé, que finalement, il n’y a pas de vérité dans l’épreuve dès qu’on se rends compte que « Ein Od Milvado, hormis D.ieu, il n’y a rien d’autre ».
L’avantage de dominer son penchant
Lorsqu’on a connu une épreuve, on voit un miracle, une merveille extraordinaire. On atteint alors la sérénité, la Menou’ha. Mais quand on atteint le niveau où l’on domine son penchant, alors se dévoile la sérénité sans même passer par l’épreuve.
La Guéoula, la Délivrance
Comme on dépasse le niveau du penchant (l’âme animale) et que l’on sert D.ieu par ses deux penchants (Bekhol Levavé’ha, de tout son coeur) alors on connaît la Délivrance personnelle et lorsqu’on atteint la Guéoula Personnelle on a le pouvoir absolu pour atteindre et dévoiler la Délivrance finale… Maintenant.
NB : j’en profite pour vous dire que je suis sorti, aujourd’hui, de l’hôpital suite à un malaise cardiaque et je voudrais rendre un hommage à cette grande dame qu’est mon épouse et qui m’a soutenu dans cette épreuve et ça tombe bien car elle s’appelle Menou’ha Ra’hel !
(Gabriel Beckouche)
Le dévoilement de «Vayéra» est plus tangible encore en ce qui concerne l’enfant. Car un enfant lorsqu’il pense à D.ieu ne fait allusion qu’à Son Essence, comme le rapporte le Tsema’h Tseddek : « Je prie en me considérant comme un enfant »… Le fait de lire dans la Torah « Il se dévoila à lui » (lui, c’est chaque Juif) doit éveiller en nous le désir profond de recevoir se dévoilement, jusqu’à en pleurer… Il deviendra alors un réceptacle pour ce dévoilement et fera tout ce qui est en son pouvoir pour l’obtenir.
Le lien avec la Guéoula
On se doit de trouver le rapport avec la Délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du roi Machia’h, Tsidekénou. L’un des sujets et des buts principaux de la Délivrance est que « Ton Maître ne se cachera plus, et tes yeux verront ton Maître » qui est relié au sujet de « Vayéra Elav Hachem » (D.ieu se dévoila à lui), dans la perfection la plus complète, et plus encore que « Toute chair verra ».
Chaque Juif possède une étincelle de l’âme du Machia’h, ce que l’on appelle «Ye’hida» de l’âme. L’un des noms du Machia’h est « Ko’hav, étoile » et chaque Juif est appelé une « étoile ». Ceci se ressent plus encore alors que chaque Juif remplit la mission qui lui est déléguée par Hachem. Chalia’h (émissaire) avec un rajout de dix équivaut à Machia’h, alors se dévoileront les étincelles de Machia’h qui provoquent le dévoilement de la Délivrance.
D.ieu se dévoila à lui, est une préparation à la venue du Machia’h dans le sens où il se dévoilera aux yeux de l’esprit par l’intermédiaire de l’étude profonde de la Torah. L’homme n’apprendra plus de son prochain car « Tous Me connaîtront », « Tes yeux verront ton Maître », par la vision matérielle.Toutes les périodes sont étalées devant nous ; la couronne du mois de Mar-Hechvan, le 20 du mois, la couronne de Kislev, le 20 du mois (lendemain du 19 Kislev) dont la fin se passe pendant les jours de Hanouka…
Le Machia’h révélé
Comme nous l’avons remarqué plus haut, la réalité, l’existence du Machia’h est révélée dans « l’étincelle du Machia’h » qui se trouve en chaque Juif et chaque Juive, l’existence du Machia’h est révélée de manière concrète dans la réalité comme il est dit : « Dans chaque génération il naît une personne de la descendance de Yehuda qui est apte à être le Machia’h, le libérateur d’Israël. « Un Juste, qui de par sa perfection est désigné pour être le rédempteur, et quand viendra le moment, Hachem, qu’Il soit béni, se dévoilera à lui, et l’enverra accomplir sa mission… ». Et s’il n’y avait pas eu d’événements indésirables ni d’empêchements, il se serait dévoilé et serait venu de la manière la plus concrète véritablement.
Et selon l’annonce de mon beau-père le Rabbi, prince de notre génération, le Machia’h de notre génération, que tous les travaux sont terminés, et nous sommes prêts à recevoir la Délivrance ultime, toutes les barrières et les empêchements sont tombés, et sont apparents non seulement la réalité du Machia’h, mais le Machia’h s’est dévoilé, et maintenant nous ne devons que nous concentrer sur le fait de l’accueillir concrètement dans l’action, Mamach !
La Joie de La Guéoula, la Délivrance
Et le principal est que tout se passe immédiatement dans l’action concrète afin que chacun puisse montrer du doigt et dire : « Voici, c’est le Machia’h qui arrive » et voici mon beau-père, l’Admour, prince de notre génération, et voici « Notre D.ieu, c’est Havayé en Lequel étaient placés tous nos espoirs, nous nous réjouirons et seront heureux lorsqu’Il nous sauvera », la joie de la Délivrance véritable, complète et dévoilée dans l’action concrète pour laquelle nous bénissons : « Che’heyanou, Vekiyémanou, Vehiguiyanou, Lizmane Hazé ».
Comme j’ai eu l’occasion de l’indiquer à plusieurs reprises dans les colonnes du Point sur la Guéoula, je travaille en tant que Chalia’h francophone (émissaire du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h) à l’hôpital Chaaré Tseddek. Cela dit, je m’y suis rendu récemment pour des raisons différentes…
Chabbat 8 Mar Hechvan 5785
Peu après le départ de mes parents à la synagogue, je ressens quelque chose d’inhabituel : un malaise d’une profondeur extrême. Passé un certain temps, je me suis dit que tout vient d’En-Haut et que « Hakol Létova, tout est pour le bien » (Comme il est écrit dans le livre du Tanya). Mais le malaise ne disparaissait pas. Ceci généra une intense douleur qui m’accompagna jusqu’à la fin du Chabbat.
Les Urgences
A la sortie du Chabbat, je décidai, sans attendre, de composer le 101, le numéro d’urgence du Maguen David Adom – ai-je bien fait de prendre un tel risque d’attendre aussi longtemps? Toujours est-il que que lorsque les secouristes sont arrivés, ils considérèrent que les résultats des tests pratiqués à mon attention nécessitèrent (surtout la montée en flèche de ma tension artérielle) une hospitalisation urgente. Je tentai de les convaincre de me laisser passer la nuit à mon domicile puis de rejoindre les urgences le lendemain, au bon milieu de ma mission sacrée, justement dans cet hôpital. Mais, selon leurs dires, la situation était trop grave. À tel point que, une fois arrivés à l’hôpital Chaaré Tseddek, ils demandèrent au personnel local de me faire passer toute une batterie d’examens en priorité par rapport à d’autres patients.C’est alors, qu’entre deux de ces tests, j’appelai mon Machpia (guide spirituel), le Rav Gabriel Beckouche, pour lui faire part de la situation.
Une bénédiction rapide
Ce dernier revint à moi peu de temps après, avec, comme vous pouvez vous l’imaginer, une bénédiction tout droit issue des Iguerot Kodech, les Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch avec un conseil, de m’occuper de mes affaires en cours et comme il n’y avait aucune allusion à ma situation de santé, mon conseiller, Rav Gabriel me dit que je ne devais pas du tout m’inquiéter. Cette bénédiction se concrétisa à une vitesse fulgurante, grâce à D.ieu. En effet, les examens que j’étais en train de subir au moment même où je reçus la bénédiction, à l’hôpital, se sont intégralement soldés par une amélioration sans proportion avec les tests de départ. À tel point que le médecin urgentiste de garde constata qu’il ne s’agissait plus que d’une simple bactérie, et ne me considéra plus, en conséquence, comme un cas urgent ni prioritaire. Il me fit ainsi entrer dans son bureau parmi les derniers admis aux urgences (je profitai du temps libre pour pratiquer ma mission sacrée et visiter les malades) et, en fin de compte, il me donna l’autorisation de rentrer chez moi.
Voilà comment cela se passe lors de l’époque messianique, les médecins ne seront là que pour vérifier que nous sommes, grâce à D.ieu, en bonne santé ». (Ra’hamim Israël)
Comment ça marche ?
1/ On se lave les mains
2/ On écrit tout d’abord une lettre avec notre question
3/ On prend une bonne décision et on l’écrit
4/ On introduit la lettre dans un volume des Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch
5/ A la page où l’on ouvre… Là se trouve la réponse
Et voilà
En ce qui concerne notre génération, la dernière de la Galout et la première de la Guéoula, le Rabbi Rayats a dit que nous avons terminé notre travail, les dates de la Délivrance sont toutes dépassées. C’est donc aujourd’hui que nous devons nous préparer à ce grand « Le’h Le’ha » vers la « Terre que Je te montrerai », immédiatement et concrètement, et nous obtiendrons la terre des dix nations qui est l’héritage éternel des enfants d’Israël. Mais la nouveauté immédiate est que nous recevions la terre des trois nations dans la paix et la sérénité, car lors de la période du Machia’h il n’y aura pas de guerre et les nations vont nous remettre les clés du pays avec la meilleure volonté.
Une connexion entre les mondes
Le travail de Le’h Le’ha a permis à Avraham de faire un bond en avant dans son service de D.ieu (et lui a fait faire une percée dans la barrière séparant les mondes supérieurs des inférieurs, chose qui ne sera possible que lorsque la Torah sera donnée) jusqu’à ce qu’il obtienne une connexion entre les mondes supérieurs et inférieurs en préparation au don de la Torah.
Tout ceci grâce à la Brit Mila qui est la seule Mitsva qui permet d’introduire la Sainteté dans un membre du corps de manière éternelle, même du temps où la Torah n’avait pas encore été donnée, car il est reconnaissable dans le corps-même du Juif qu’il est relié à D.ieu de manière éternelle. C’est à la suite de cette Mitsva que D.ieu change le nom d’Avraham en lui ajoutant un Hé. De Avram (Av Aram, il était le père d’Aram) il passe à Avraham (Av Hamon Goyim, père d’une multitude de peuples). La Mitsva de la Mila permet donc d’agir sur les nations du monde matériellement et spirituellement dans les niveaux les plus inférieurs où l’on percevra alors la force divine dans chaque créature jusqu’à la plénitude de ce travail lorsqu’ « à D.ieu appartiendra la Royauté » lors de la Délivrance véritable et parfaite.
Le but de Le’h Le’ha
Le fait qu’Hachem ait transmis la terre d’Israël à Avraham et sa descendance donne la possibilité de transformer le monde en demeure pour D.ieu, en « Erets Israël ». Néanmoins, tout le temps que nous nous trouvons avant la Guéoula, l’ordre de D.ieu tient toujours, Le’h Le’ha, et la prise de possession de la terre d’Israël au complet est la préparation à la plénitude de l’accomplissement de la Torah et des Mitsvot « Une Torah nouvelle sortira de Moi », Il donne la Torah, au présent ce qui signifie que cet ordre, Le’h Le’ha, sera maintenu lors de la délivrance véritable et complète.
A notre époque, c’est la période ou notre travail est d’agir principalement sur les Midoth, les sentiments, les 7 Midoth qui sont représentés par les 7 peuplades qui sont sur la terre Sainte et les 3 Mo’hin (Intellect) qui sont représentés par les 3 peuples (Kini, Knizi et Kadmoni) sont principalement utilisés pour neutraliser les mauvais sentiments. Mais lorsque la Guéoula, la Délivrance interviendra, ils serviront uniquement à saisir la divinité.
Innover par ses forces cachées
Que doit-on tirer comme manière d’agir grâce à cette Paracha ? L’obligation de « Le’h, va » est de donner la force de progresser dans l’étude de la Torah et surtout d’innover dans l’enseignement de la Torah. Le fait d’innover dans la Torah permet de nous dévoiler à nous-mêmes pour se rendre compte de ses capacités et de ses forces profondes. Et avant d’éditer ces nouveautés, il faut les soumettre à une personne objective qui pourra aider et vérifier qu’il n’y a pas d’erreur.
De plus nous nous rassemblerons le Chabbat pour étudier en public. Et veillerons à ce que les jeunes Bar et Bat Mitsva se joignent à ces cours. Nous étudierons particulièrement les sujets de Guéoula et Machia’h car c’est le principal actuellement, ainsi que dans la Hassidout.
Mena’hem Molkondov, directeur du Beit ‘Habad Nova raconte : « Lors de Sim’hat Torah 5724 (7/10/23) il est arrivé une véritable Choa. Des choses qu’on avait du mal à imaginer se sont concrétisées ce jour-là. La douleur et le traumatisme étaient du domaine de l’indicible. Pourtant il est connu que du plus profond de l’obscurité jaillit la lumière… Dans le parking de Rééim, où a eu lieu le festival « Nova » l’endroit même de la tragédie, c’est là un peu plus tard qu’à l’endroit où des dizaines de proches, des dizaines de parents vont péleriner.
Le Projet Nova
Un peu après Sim’hat Torah, alors que j’empruntai la route 232, j’ai vu énormément de monde qui venait péleriner à cet endroit. Je me suis renseigné et on m’a dit qu’aucun Beit ‘Habad n’œuvrait pour ses gens et j’ai décider de relever le défi. J’ai immédiatement écrit au Rabbi Chlita Roi Machia’h par l’intermédiaire des Iguerot Kodech et j’ai reçu une extraordinaire bénédiction. Et c’est ainsi qu’est né le Beit ‘Habad « Nova ».
Les débuts
J’ai commencé par installer une table pliante recouverte du drapeau Machia’h et d’en faire un stand de Téfilines. Distribution de cartes Machia’h et consultation des Iguerot Kodech, en effet, j’aide les gens qui sont en état de recherche, de questionnement (souvent difficile) et cherchent une réponse. Sont posés non loin, des bouteilles d’eau glacées à disposition du public.
Puis quelques mois après ce début d’activité les familles nous ont aidé à mettre en place une tente officielle à emplacement fixe. Pourtant nous devons être bien conscients que même les victimes ne désirent point la tristesse et la dépression, bien au contraire ils veulent que nous continuions notre travail dans la plus grande joie. Tournés vers le futur. Le public constate la présence du Beit ‘Habad et apprécie énormément. Ils acceptent de mettre les Téfilines par centaines, voire par milliers et ce, jour.
Sim’hat Torah 5785
Il y a deux semaines de cela, il y a eu Sim’hat Torah 5785, l’anniversaire du pogrom… Et une foule nombreuse a voulu être présent et j’ai investi pour leur procurer, les repas de la fête, des chambres le tout par la force du Rabbi Chlita Roi Machia’h. Les fonds ont été trouvés, grâce à D.ieu, et on voit les miracles chaque jour, chaque heure et à chaque minute… Ici, le public ne veut pas de discours, plus de politique, il veut uniquement Machia’h. Une femme, dont le fiancé a été tué ici-même, est venu demander un drapeau Machia’h et l’a posé à côté de la photo de son fiancé et elle nous a expliqué qu’ à chaque fois qu’elle devait voyager, il lui donnait une carte du Machia’h et lui parlait souvent du Rabbi Chlita Roi Machia’h, elle était très émue… Les soldats qui viennent toujours en groupes reçoivent le célèbre Patch Machia’h et le portent ensuite avec fierté… ». (Traduit de l’hébreu dans la Si’hat HaGuéoula par l’équipe LPSG). Pour faire un don, contactez-le Beit ‘Habad Nova : 052-638271
Puis, un jour, une jeune américaine, nous l’appellerons Clara, et elle avait, sur son chemin fait une halte chez nous à Kfar ‘Habad. Celle-ci nous raconta l’histoire de son retour aux sources du Judaïsme et comment elle a rencontré le mouvement ‘Habad. Un épisode qui troubla quelques peu mes préjugés et mes acquis.
Clara habitait à Brooklyn-New York et ne connaissait rien au Judaïsme. Ses parents étaient des Juifs achkenazes rescapés de la Choah et ne voulaient pas entendre un mot sur tout ce qui avait un lien avec le mot « Juif ». Vers l’âge de quinze ans, la jeune Clara tomba en dépression, et tout en continuant son train-train, école, devoirs, études, tout devenait insipide. Elle perdit peu à peu, le goût à la vie. Et un jour, elle se leva le matin, n’ayant qu’une seule idée en tête… Partir, fuir ce monde qui était devenu un carcan pour elle. Et sa devise fut.. « ce qui arrivera, arrivera » un point, c’est tout.
Le grand départ
Elle attendit que ses parents s’en aille et elle prépara un petit sac et elle ferma la porte de chez ses parents et parti sans se retourner… ce qui arrivera, arrivera !
Lorsque Clara arriva dans une avenue centrale et qu’elle senti qu’était venu le moment, elle leva le pouce pour faire du stop. Peu importe ce qu’il se passerait, peu importe ce qu’on penserait d’elle, ce qui arrivera, arrivera… Une voiture plutôt quelconque de couleur grise s’arrêta. Clara monta dans la voiture et elle vit que le conducteur était un noir. Elle se dit encore, son nouveau mantra : ce qui arrivera, arrivera.
Harlem
Le conducteur accéléra et entra dans Manhattan puis il pris vers le nord direction… Harlem ! Harlem, quartier général des noirs, célèbre pour être dangereux pour un blanc et particulièrement pour une femme blanche… Mais, ce qui arrivera, arrivera, même à Harlem. Puis la voiture s’arrêta dans un quartier pauvre, le conducteur descendit de son véhicule fit un signe avec la main et soudain quelques personnes sortirent d’un immeuble délabré. Au centre de ce petit groupe, s’élevait un noir géant, une masse de muscles, collier en or, tatoué. Il fit signe à Clara de le suivre. Elle descendit de la voiture et monta dans une voiture de luxe qui était le véhicule du géant, apparemment le chef de la bande…Toutes sortes de pensées horribles se bousculaient dans son jeune esprit fertile. Mais encore une fois… ce qui arrivera, arrivera.
Ce qui arrivera, arriva
Après une demi-heure de route, Clara voyait défiler les rues, les avenues puis des boulevards dont elle reconnaissait plus ou moins le style… On revenait à Brooklyn. Puis la voiture s’arreta devant une maison en briques rouge elle regarda l’adresse : « 770, Eastern Parkway ».
Lady, go to your people !
Le géant s’adressa à elle et lui dit : « Lady, go to your people ! madame, va chez les tiens ! ». Elle sortit du véhicule et monta les marches et ouvrit la porte. Dedans les ‘hassidim la virent, complètement troublée et l’accompagnèrent au secrétariat. Et lui indiquèrent la marche à suivre, lui apportèrent des réponses à ses questions. La Divine Providence qui dit exactement ceci : « ce qui arrivera, arrivera ! ».
Puis on lui indiqua les conférences à écouter, les cours. Et c’est comme ceci qu’elle fit très rapidement connaissance du mouvement ‘Habad, du Rabbi Chlita Roi Machia’h qui lui accorda sa bénédiction pour partir en Erets HaKodech, visiter Kfar ‘Habad et partir étudier dans un séminaire de jeunes filles « Baal Techouva ».
Le Baal Chem Tov nous enseigne que tout ce que l’on voit et tout ce que l’on entend est précisément l’expression de la Providence Divine. C’est la volonté de D.ieu ». (Traduit de l’hébreu par l’équipe du Point sur la Guéoula du livre « Yaïne HaMechoumar » de Rav David Yaacov Halevy Glaser)
Tout le monde en a marre des politiciens, et ils comprennent que la seule solution à cette guerre, c’est la venue du Roi Machia’h. C’est vivifiant, c’est positif, c’est galvanisant, et en même temps c’est tellement douloureux que le réveil soit si plein de sang, comme la naissance d’un bébé ». Le retrait du Patch Machia’h a conduit à sa déclaration : « Même le lieutenant général Halevi, qui a commit une erreur, n’est pas mauvais, à D.ieu ne plaise. Quiconque n’étudie pas la ‘hassidout, sa vision des choses est faussée… Néanmoins, on lui attribue le fait que c’est par son intermédiaire que D.ieu a décidé de faire à nouveau la Une des médias. Le retrait de l’écusson Machia’h a entraîné une tendance à la hausse de la demande. Toute la publicité créée par cet incident jouera en notre faveur, et avec l’aide de D.ieu, le lieutenant-général Halevi reprendra la bonne voie », a déclaré Rav Yaakov Zvi. « J’ai commandé des dizaines de milliers de Patches supplémentaires. Je suis sur le terrain et je vois l’importance de la demande. Aujourd’hui en 5785, plus d’un an après le début de cette guerre. La compréhension et la reconnaissance de la nécessité du Machia’h ne font que croître parmi les soldats. À droite comme à gauche, tout le monde comprend que c’est la seule vraie solution. Le Dr Amos Sabo, un médecin en chef, a écrit à la suite du scandale qui a inondé les médias : « Je me suis porté volontaire en tant qu’officier de réserve (Milouïm) dans plus d’une unité, bien avant la catastrophe. Pendant des mois, j’ai essayé d’obtenir un Patch Machia’h et je n’y suis pas parvenu. Personne n’était prêt à y renoncer. Il y a environ six mois, nous étions à une cérémonie à Yavniel et l’un des invités m’a donné un Patch Machia’h. De joie, malgré la chaleur, j’ai sorti ma veste militaire de la voiture, j’ai attaché l’écusson Machia’h et je ai enfilé la veste.. ».
Un instant avant la Délivrance finale, l’étincelle de la foi pure en l’attente du dévoilement du Rabbi Chlita Roi Machia’h se dévoile en plein guerre, parmi les soldats de l’armée d’Hachem. (LPSG)
Le couple, qui a l’habitude de profiter de toutes les occasions qui se présentent à eux pour agir dans le cadre de la mission du Rabbi de Loubavitch, Roi Machia’h, et ainsi, de répandre la lumière et le Judaïsme dans le monde entier, a immédiatement profité de l’occasion pour enseigner aux arabes les Sept Commandements Bnei Noa’h que D.ieu a donné même aux non-Juifs, et ainsi, préparer le monde à la Rédemption finale.
Les sept commandements sont : l’interdiction de l’idolâtrie ; Interdiction de « bénir » le nom d’Hachem ; interdiction du meurtre ; interdiction des rapports illicites ; interdiction du vol ; interdiction de manger le membre d’un animal vivant et l’établissement d’un système juridique. Ils avaient une carte en arabe. Ils ont donc donné la carte à cet homme. « Prenez, lisez et gardez-la. Cela vous apportera une bénédiction » lui ont-ils dit.
L’homme a regardé la carte pendant un moment et a immédiatement dit : « Oh… Je le sais. À l’entrée de notre village, près de Jérusalem, il y a un grand panneau qui indique les Sept Commandements des enfants de Noé. Et nous distribuons souvent des auto-collants comme cette carte sur nos voitures ».
Enthousiaste, l’homme commença à lire la carte à haute voix et à la traduire de l’arabe à l’hébreu, montrant qu’il comprenait bien de quoi il s’agissait. « Ici, le premier commandement, c’est de croire en D.ieu. Cela signifie honorer Dieu, prier, mettre les Téfilines ».
Le couple a pensé un instant qu’ils n’avaient pas bien entendu, ou peut-être que le mot « prière » en arabe était similaire à la prononciation du mot Téfilines en hébreu. Mais tout en parlant, l’homme répéta ses mots : « Mettre les Téfilines »…
« Désolé, mais pourquoi parlez-vous de mettre les Téfilines ? Vous mettez des Téfilines ? » lui demandèrent-ils. « Oui, bien sûr » répondit l’homme à leur étonnement. « Ma mère m’a dit que je devrais mettre des Téfilines »… « Que voulez-vous dire ? Pourquoi mettriez-vous des Téfilines ? ». « C’est parce que ma mère est Juive… Elle vit à Bnei Brak. J’ai des Téfilines et je les mets souvent… Parfois, quand je viens rendre visite à ma mère, elle m’envoie faire des achats, et quand je reviens avec les courses, elle me dit : « Non, ce n’est pas assez casher, ce n’est pas Badatz ».
Je connais aussi un peu de yiddish. Tracht Gut – Wa’at Zayn Gut, A Guta Nacht (traduit du Yiddish : Pense bien et tout ira bien. Bonne nuit… ».
Le couple nageait dans l’étonnement, mais au bout d’un moment, ils ont repris leurs esprits. « Si vous êtes Juif, vous n’avez pas besoin de la carte des Sept Mitsvot Bnei Noa’h, prenez une page du Chéma pour mettre les Téfilines », et il lui tendirent rapidement une feuille de lecture du Chéma avec une image du Roi Machia’h. « Oh, oui, j’ai déjà un feuillet comme celui-ci », répond immédiatement le Juif. Le couple a laissé la carte des sept commandements en la possession du Juif : « Prenez cette carte et distribuez-la dans le village. Vous serez l’émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h dans votre village ».
Il est extraordinaire de constater comment Hachem se dévoile, que même le Juif le plus éloigné retourne à ses racines et se rapproche de D.ieu. Le Prophète a promis que même le Juif le plus éloigné ne serait pas perdu et qu’il retournerait également au Judaïsme. Et à mesure que nous entrons dans la Délivrance véritable et parfaite, nous voyons ce phénomène s’étendre de plus en plus. Merci Hachem. (Traduit pour le Point sur la Guéoula de la Si’hat HaGuéoula n°1523)
Or, la particularité du travail de Noa’h qui a « trouvé grâce aux yeux de l’Eternel (Havayé) » permet de dévoiler dans le monde le Nom Havayé (« l’Eternel ») qui transcende le monde – et il ne s’agit pas uniquement du Nom Havayé qui s’habille dans le monde par l’intermédiaire du Nom Elokim, « Havayé Deletata, Havayé d’en-bas » mais aussi du Nom Havayé qui transcende complètement le monde, c’est-à-dire « Havayé Deleéla, Havayé d’en-haut ».
Le résultat du bilan
Or, il est nécessaire d’appuyer l’importance d’un bilan moral en ce Chabbat de la Parachat Noa’h de cette année. Puisque le Rabbi, mon maître et beau-père, prince de notre génération a témoigné que nous avons enfin terminé tout notre travail, jusqu’à « l’astiquage des boutons de l’uniforme », et nous sommes prêts à recevoir le Machia’h notre juste. Pourtant, en considération du bilan moral que nous avons réalisé, le résultat est que : « La Guéoula, la Délivrance véritable et complète doit intervenir de manière tout à fait immédiate ».
Et a plus forte raison cette année 5752 dont les initiales sont : « Ce sera une année de merveilles, de merveilles dans tous les domaines, « Bakol, Mikol Kol (=192) » en tout, de tout et totalement » dont la valeur numérique est la même que le mot « Kabetz (=192), rassemble les exilés » et qui contient tous les éléments, principalement les merveilles de la Délivrance véritable et parfaite « De même que lors de ta sortie d’Egypte, Je vous montrerais des merveilles ».
Et plus particulièrement, après que soit complété le premier mois de l’année « Tichri » dont les lettres forment le mot « Réchit, le commencement » qui contient l’année toute entière. Or nous sommes le premier Chabbat de cette plénitude du travail dans le monde qui contient la quintessence du Chabbat dans toute sa connotation messianique. Et, de plus, alors que nous sommes le Chabbat après-midi, au moment du troisième repas lié à Yaacov, le troisième patriarche lui-même relié à la troisième délivrance et au troisième Temple.
Va pour toi… en Guéoula
Et nous nous préparons à lire dans la Torah la section « Lekh Lekha, va pour toi… vers la Terre que Je te montrerai », l’ordre et le don des forces nécessaires à chacun et chacune du peuple Juif et à l’ensemble du peuple Juif (grâce à Avraham, le premier Juif) pour sortir de la Galout, de l’exil et nous diriger vers la Guéoula, la Délivrance, d’une double marche (« Lekh Lekha ») qui fait aussi allusion à une marche rapide, dont la plénitude sera (que nous irons) : « sur les nuages du ciel ». Il est clair et avéré que toutes les limites sont déjà dépassées, et tous ont déjà fait Techouva et maintenant, la chose ne dépend plus que du Machia’h notre juste lui-même…
Kiddouch Lévana
Selon tout ce que l’on vient de voir, il est compréhensible que lorsqu’on trace un bilan spirituel après la première semaine de travail dans le monde lors de l’année 5752 « qui sera une année contenant des merveilles », et que nous en arrivons à la conclusion que la chose ne dépend plus que du Machia’h notre juste, lui-même, ceci doit s’exprimer par une attention particulière au Kiddouch Lévana (sanctification de la lune) « car ils se renouvelleront comme elle », lors de la Délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du roi David, le Messie « David, le roi d’Israël est vivant et existant ».
Et principalement, que ce Kiddouch Lévana soit fait avec l’intention bien précise d’activer et de précipiter l’arrivée du roi David, le Machia’h de la manière la plus concrète. Tout ceci, par un rajout dans l’exigence et la demande impérieuse au sujet de la Guéoula, comme il est dit à la fin du Kiddouch Lévana : « Et ils demanderont l’Eternel leur D.ieu et David leur roi, Amen ».
Je me suis assis à la table de deux arabes. Un qui s’appelle Ali et l’autre Ahmed. Je leur ai proposé de lire la petite carte où l’on peut voir les Sept Mitsvot en arabe. J’ai déjà été de nombreuses fois en contact avec des arabes et l’accueil a toujours été excellent. Mais là ce fut au-delà de toute attente. A peine Ali a t-il posé les yeux sur cette carte que son compagnon lui demanda si j’étais sérieux… Ali l’a regardé comme on regarde un malheureux plaisantin et lui dit en hébreu : « Tu sais, cette homme sur la photo c’est le Roi Machia’h ! – Et l’autre de répondre en me regardant : « Mais nous aussi on a un Machia’h qui doit venir – Mais il lui répondit pour moi : « Oui mais lui c’est le Machia’h de toute l’humanité… ».
Et Ali me raconta son expérience avec les ‘Habad qui disent que le Rabbi est le Roi Machia’h. Il me dit qu’il avait toujours été bien perçu chez eux et qu’il suivait leurs actions. En retour, je lui ai raconté un épisode assez particulier qui m’était revenu en mémoire.
« Un jour, je devais poser mon stand de Téfilines au supermaché Rami Lévy à Jérusalem, mais grâce à D.ieu, j’avais quelqu’un qui pouvais me remplacer. Et donc, j’ai pu m’installer à la solderie Maxstock, non loin de là. J’ai pu mettre pas mal de paires de Téfilines et j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup d’employés arabes. Par conséquent, lorsque je faisais une pause avec les Téfilines, je pouvais m’occuper de diffuser les Sept Mitsvot Noa’hides en arabe grâce à mes petites cartes. Il y avait un jeune homme, un arabe, qui m’aborda. Il me demanda ce qu’étaient les Lois imprimées sur cette carte. Je lui répondit brièvement. C’est alors qu’il me confia qu’on lui avait proposé un Million de Shekels s’il rejoignait les rangs d’un mouvement terroriste (bien connu) s’il s’engageait à faire un attentat. Je lui ai expliqué (en prenant mon temps) ce que gagne un homme à rejoindre un groupe comme celui-ci et tout cet argent qu’il va toucher. Par contre, je lui ait dit ce qu’il gagnera à accomplir des actes de grandeur. Et bien, il a compris ce que tout être humain peut déduire et mériter réellement une récompense et même sans aucune récompense. Juste pour Hachem, en l’aimant et le servant. C’est pourquoi, ce vendredi-là, ce jeune homme a renoncé à rejoindre ce groupe terroriste ».
Et maintenant je voudrais donner la parole au Rav Zalman Notik qui est, lui aussi un militant de poids sur les Sept Mitsvot Noa’hides. Il a prononcé ce discours lors d’un Rassemblement Machia’h et Guéoula de mon Rav et Machpia le Rav Zimroni Tsik : « Au sujet des non-Juifs, le Rav Boaz Kali devait parler lors du Kinous HaChlou’him et il m’a dit : « je devrais prendre la parole aujourd’hui mais exceptionnellement, je voudrais rafraîchir mon discours et que ce soit toi qui parle… ». Il m’avait parlé deux jours auparavant. Comment vais-je moi, rafraîchir le discours de Boaz Kali ? Je me dirige alors vers le 770 et je vois devant moi, une pyramide humaine de milliers d’émissaires du Rabbi Chlita Roi Machia’h… Les légions du Roi.
Soudain arrive un Chalia’h des USA, un proche parent, et il dit : « Ouille, je l’ai raté ! ». Puis il sort de sa poche un bonbon… Il s’approche d’un photographe non-Juif, et lui dit de répéter en anglais après lui : « Barou’h Ata Hachem… Chehakol Nihya Bidvaro ». Il lui tend le bonbon et lui fait une bise sur chaque joue et lui dit : « Rendez moi service, prennez-moi en photo et avec photoshop, vous m’introduirez dans la grande photo ok ? »… J’observe la scène de côté et je me dis que je n’ai jamais vu une telle chose de ma vie. Où est-on ? Dans les Messibot Chabbat ? Mais je me tais. Certainement que je ne comprends pas tout ce que je vois. Bref, ce moment passe, et cet émissaire me dit alors : « Ma voiture est garée à deux rues d’ici, tu peux m’accompagner ? ». J’acquiesce et on fait ce bout de chemin ensemble. Soudain un gardien d’origine musulmane vient trouver mon cousin, sur sa veste apparaît son nom « Muhamad ». Et ce Chalia’h commence à entretenir ce non-Juif sur les Sept Mitsvot Noa’hides pendant dix bonnes minutes. Je ne comprends pas non plus cette scène. Mais le jeune arabe lui dit : « Je suis près, si tu le désires à garder ta voiture pendant encore une heure et demi ». Mon cousin me dit alors : « Tu as l’air surpris. N’est-ce pas ? Mais ta surprise ne fait que commencer. Je vais te raconter maintenant comment je gagne ma vie… Je suis directeur financier d’un organisme dont je tairais le nom. Et je me suis dis : « Comment je ramène de l’argent maintenant ? ». Il y a une directive du Rabbi que l’argent vient lorsqu’on s’occupe des Sept Mitsvot des non-Juifs. J’ai donc monté ce que j’ai nommé : « Le Beit Chalom », ou la tente d’Avraham Avinou sur l’une des autoroutes non-loin d’ici. Le conducteur fatigué y reçoit du café, des gâteaux, un lit pour se reposer pendant trois heures, il peut voir des vidéos sur l’histoire d’Avraham Avinou, sur les Sept Commandements Noa’hides. Et les non-Juifs qui voient cela ne peuvent rester insensibles. Ils donnent de l’argent, des sommes conséquentes et c’est ainsi qu’ils soutiennent des institutions ‘Habad… ».
En ce moment – poursuis le Rav Notik – j’enseigne la ‘Hassidout dans un Beit ‘Habad de Jérusalem à Abu Tor, un quartier Juif à côté d’un village arabe. Le directeur en est le Rav Roy Olliel, un grand gaillard très sympathique. Un jour je viens pour le cours et je lui dis : « Aujourd’hui, j’ai un plan. On va descendre dans le quartier arabe, on va rencontrer le maire du village et on va lui demander l’autorisation d’enseigner dans l’une écoles les Sept lois de Noé. Qu’en penses-tu ? ». Roy me dit : « Tu es sûr ? C’est quand même risqué ! ». Je lui ai répondu que telle était la volonté du Roi Machia’h, diffuser ces sept lois chez les non-Juifs. Néanmoins, il me suivit dans mon entreprise (non sans se munir de son ‘Hitat pour plus de sécurité) et nous voilà en route pour le village arabe. Il fallait descendre une grande côte et au bout d’un moment, nous arrivâmes vers un homme âgé assis sur une chaise. Je demandai : « Connaissez-vous le Mukhtar (le maire) du village ? ». L’homme me regarda exactement comme s’il voyait devant lui un extra-terrestre. Il me dit : « Et qu’est-ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». « On veut lui parler des Sept lois des descendants de Noé » en parlant je lui tends une carte où sont imprimées les Sept lois en arabe. Il me dit alors : « Continuez tout droit et vous y êtes ». On a poursuivis notre descente vers ce qui avait l’air inquiétant d’un gouffre… Puis on est arrivé à hauteur d’une épicerie. En arrivant nous avons demandé au jeune qui tenait ce magasin s’il connaissait le Mukhtar. Il nous répondit : « Et qu’est ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». Je lui fit la même réponse qu’au vieux monsieur plus haut. Il me dit : « Écoutez, je suis son fils et il sera là dans une heure et demi revenez, je vous le présenterai ». Une heure et demi plus tard, nous sommes revenus armés de nos publications en arabe sur les Sept lois et là, le jeune nous présenta son père un Cheikh arabe avec la moustache typique, un personnage haut en couleur. Il nous reçu chaleureusement et nous offrit à boire. Je commençais mon exposé sur l’histoire Juive et celle des Sept Mitsvot. Il écouta attentivement mais au bout d’une bonne heure il me demanda : « Mais qu’est-ce qu’il en est de Machia’h dans tout cela ? »… Alors là, il m’avait surpris. Le Rabbi me disait en cela que c’est par cela qu’il fallait commencer… Je lui répliquai en lui exposant les paroles du Rabbi Chlita Roi Machia’h sur la Guéoula. Mais il s’entêtait à répéter les sombres prophéties des musulmans à ce sujet. Qu’il y aura une grande guerre et que seraient tués tous les chrétiens etc. Je lui dit alors : « Lors de l’époque messianique, il n’y aura plus de guerres… Les nations vivront en paix. Je lui montrais alors la photo du Rabbi en lui expliquant que voici, c’est le Roi Machia’h et que je suis son émissaire ». Et, pour finir, je terminais sur une note joyeuse et pacifique. Puis je lui soumettais ma demande, de nous laisser parler dans une école arabe du quartier. Il me répondit : « Dans ce quartier ce ne sera pas possible les jeunes y sont assez violents, mais dans un autre quartier, je me ferais un plaisir de vous introduire »…
Mon fils m’a raconté, la semaine dernière, qu’il était à l’aéroport Kennedy et il allait d’un commerce à l’autre pour poser les Téfilines aux Juifs qui travaillaient là-bas. Au bout d’un certain temps, il se tourne vers une personne et lui dit : « Voulez-vous mettre les Téfilines? ». Et celui-ci de lui répondre : « Je suis un arabe, de Ramlé ». Mon fils lui répliqua : « Excusez-moi de vous avoir proposé de mettre les Téfilines, mais est-ce que je peux vous parler des Sept lois de Noé ? ». Ils ont discuté quelques minutes et c’est alors que le jeune homme, arabe de Ramlé, lui dit : « Ecoutez, je peux vous aider à mettre les Téfilines aux gens, je travaille ici et je sais qui est Juif et qui ne l’est pas ». En effet, grâce à lui, ils ont réussi à mettre une grande quantité de paires de Téfilines, et ceux qui ne voulaient pas les mettre, ce jeune arabe parlait avec eux et tentait de les convaincre…
Tel est le monde d’aujourd’hui. Le monde pendant l’ère messianique. Soyons des Juifs du futur, des Juifs de la Guéoula. Partout où l’on se rend, avoir toujours sur soi les cartes des Sept Mitsvot Noa’hides. Et on voit les miracles… Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd… » (Extrait du livre « Le Point sur la Guéoula »)
(Traduit par l’équipe de LPSG
du livre «Niflaot A’hchav»)