Le Médecin Confirme que tu es en Bonne Santé
Dans le Dvar Mal’hout Parachat Vayechev il est écrit : « La nécessité d’évoquer ces sujets, par delà l’expression de reconnaissance envers D.ieu, est de faire « Pirsoumei Nissa », de faire connaître les miracles de D.ieu, car l’avènement messianique dépend de cela. Nous devons donc tous faire connaître les miracles que D.ieu fait pour nous, en ayant conscience que cela est lié avec la Délivrance messianique ». Rav Ra’hamim Israël, émissaire à l’hôpital Chaarei Tseddek raconte…
Comme j’ai eu l’occasion de l’indiquer à plusieurs reprises dans les colonnes du Point sur la Guéoula, je travaille en tant que Chalia’h francophone (émissaire du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h) à l’hôpital Chaaré Tseddek. Cela dit, je m’y suis rendu récemment pour des raisons différentes…
Chabbat 8 Mar Hechvan 5785
Peu après le départ de mes parents à la synagogue, je ressens quelque chose d’inhabituel : un malaise d’une profondeur extrême. Passé un certain temps, je me suis dit que tout vient d’En-Haut et que « Hakol Létova, tout est pour le bien » (Comme il est écrit dans le livre du Tanya). Mais le malaise ne disparaissait pas. Ceci généra une intense douleur qui m’accompagna jusqu’à la fin du Chabbat.
Les Urgences
A la sortie du Chabbat, je décidai, sans attendre, de composer le 101, le numéro d’urgence du Maguen David Adom – ai-je bien fait de prendre un tel risque d’attendre aussi longtemps? Toujours est-il que que lorsque les secouristes sont arrivés, ils considérèrent que les résultats des tests pratiqués à mon attention nécessitèrent (surtout la montée en flèche de ma tension artérielle) une hospitalisation urgente. Je tentai de les convaincre de me laisser passer la nuit à mon domicile puis de rejoindre les urgences le lendemain, au bon milieu de ma mission sacrée, justement dans cet hôpital. Mais, selon leurs dires, la situation était trop grave. À tel point que, une fois arrivés à l’hôpital Chaaré Tseddek, ils demandèrent au personnel local de me faire passer toute une batterie d’examens en priorité par rapport à d’autres patients.C’est alors, qu’entre deux de ces tests, j’appelai mon Machpia (guide spirituel), le Rav Gabriel Beckouche, pour lui faire part de la situation.
Une bénédiction rapide
Ce dernier revint à moi peu de temps après, avec, comme vous pouvez vous l’imaginer, une bénédiction tout droit issue des Iguerot Kodech, les Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch avec un conseil, de m’occuper de mes affaires en cours et comme il n’y avait aucune allusion à ma situation de santé, mon conseiller, Rav Gabriel me dit que je ne devais pas du tout m’inquiéter. Cette bénédiction se concrétisa à une vitesse fulgurante, grâce à D.ieu. En effet, les examens que j’étais en train de subir au moment même où je reçus la bénédiction, à l’hôpital, se sont intégralement soldés par une amélioration sans proportion avec les tests de départ. À tel point que le médecin urgentiste de garde constata qu’il ne s’agissait plus que d’une simple bactérie, et ne me considéra plus, en conséquence, comme un cas urgent ni prioritaire. Il me fit ainsi entrer dans son bureau parmi les derniers admis aux urgences (je profitai du temps libre pour pratiquer ma mission sacrée et visiter les malades) et, en fin de compte, il me donna l’autorisation de rentrer chez moi.
Voilà comment cela se passe lors de l’époque messianique, les médecins ne seront là que pour vérifier que nous sommes, grâce à D.ieu, en bonne santé ». (Ra’hamim Israël)