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Gabriel Beckouche





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Le Médecin Confirme que tu es en Bonne Santé
Gabriel Beckouche Posted On 15 novembre 2024


Dans le Dvar Mal’hout Parachat Vayechev il est écrit : « La nécessité d’évoquer ces sujets, par delà l’expression de reconnaissance envers D.ieu, est de faire « Pirsoumei Nissa », de faire connaître les miracles de D.ieu, car l’avènement messianique dépend de cela. Nous devons donc tous faire connaître les miracles que D.ieu fait pour nous, en ayant conscience que cela est lié avec la Délivrance messianique ». Rav Ra’hamim Israël, émissaire à l’hôpital Chaarei Tseddek raconte…

 

Comme j’ai eu l’occasion de l’indiquer à plusieurs reprises dans les colonnes du Point sur la Guéoula, je travaille en tant que Chalia’h francophone (émissaire du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h) à l’hôpital Chaaré Tseddek. Cela dit, je m’y suis rendu récemment pour des raisons différentes…

Chabbat 8 Mar Hechvan 5785
Peu après le départ de mes parents à la synagogue, je ressens quelque chose d’inhabituel : un malaise d’une profondeur extrême. Passé un certain temps, je me suis dit que tout vient d’En-Haut et que « Hakol Létova, tout est pour le bien » (Comme il est écrit dans le livre du Tanya). Mais le malaise ne disparaissait pas. Ceci généra une intense douleur qui m’accompagna jusqu’à la fin du Chabbat.

Les Urgences
A la sortie du Chabbat, je décidai, sans attendre, de composer le 101, le numéro d’urgence du Maguen David Adom – ai-je bien fait de prendre un tel risque d’attendre aussi longtemps? Toujours est-il que que lorsque les secouristes sont arrivés, ils considérèrent que les résultats des tests pratiqués à mon attention nécessitèrent (surtout la montée en flèche de ma tension artérielle) une hospitalisation urgente. Je tentai de les convaincre de me laisser passer la nuit à mon domicile puis de rejoindre les urgences le lendemain, au bon milieu de ma mission sacrée, justement dans cet hôpital. Mais, selon leurs dires, la situation était trop grave. À tel point que, une fois arrivés à l’hôpital Chaaré Tseddek, ils demandèrent au personnel local de me faire passer toute une batterie d’examens en priorité par rapport à d’autres patients.C’est alors, qu’entre deux de ces tests, j’appelai mon Machpia (guide spirituel), le Rav Gabriel Beckouche, pour lui faire part de la situation.

Une bénédiction rapide
Ce dernier revint à moi peu de temps après, avec, comme vous pouvez vous l’imaginer, une bénédiction tout droit issue des Iguerot Kodech, les Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch avec un conseil, de m’occuper de mes affaires en cours et comme il n’y avait aucune allusion à ma situation de santé, mon conseiller, Rav Gabriel me dit que je ne devais pas du tout m’inquiéter. Cette bénédiction se concrétisa à une vitesse fulgurante, grâce à D.ieu. En effet, les examens que j’étais en train de subir au moment même où je reçus la bénédiction, à l’hôpital, se sont intégralement soldés par une amélioration sans proportion avec les tests de départ. À tel point que le médecin urgentiste de garde constata qu’il ne s’agissait plus que d’une simple bactérie, et ne me considéra plus, en conséquence, comme un cas urgent ni prioritaire. Il me fit ainsi entrer dans son bureau parmi les derniers admis aux urgences (je profitai du temps libre pour pratiquer ma mission sacrée et visiter les malades) et, en fin de compte, il me donna l’autorisation de rentrer chez moi.
Voilà comment cela se passe lors de l’époque messianique, les médecins ne seront là que pour vérifier que nous sommes, grâce à D.ieu, en bonne santé ». (Ra’hamim Israël)


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La Hilloula de Ra’hel Iménou et les Iguerot Kodech
Gabriel Beckouche Posted On 15 novembre 2024


Cette semaine un fait sans précédent s’est produit grâce aux émissaires du Rabbi de Loubavitch Chlita, le Roi Machia’h. Au tombeau de notre mère Rachel se sont élevés des stands à l’attention du public, dans le but de répondre aux questions et aux demandes nombreuses du Peuple Juif.

 

Comment ça marche ?

 

1/  On se lave les mains

 

2/ On écrit tout d’abord une lettre avec notre question

 

3/ On prend une bonne décision et on l’écrit

 

4/ On introduit la lettre dans un volume des Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch

 

5/ A la page où l’on ouvre… Là se trouve la réponse

 

Et voilà

 


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Le Monde est Prêt
Gabriel Beckouche Posted On 15 novembre 2024


La semaine dernière le président Argentin Javier Milie devant quelques millions de télespectateurs parle de la Parachat Le’h Le’ha et le territoire immense qui revient de droit aux Enfants d’Israel… Le Monde est prêt pour être délivré de l’exil. Les Nations du monde sont prêtes à entendre le message que la Terre d’Israël appartient uniquement et intégralement aux Enfants d’Israël.


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Découvres Tes Pouvoirs De La Délivrance !
Gabriel Beckouche Posted On 8 novembre 2024


Avec la Paracha « Le’h Le’ha, va pour toi » (qui est une base dans l’histoire du Judaïsme) commence la période d’Avraham notre père, le premier Juif. La promesse que fait Hachem à Avraham est celle de lui donner en héritage la Terre d’Israël. Dans la suite de la Paracha, vient « l’alliance d’entre les morceaux » où est réitérée la promesse de donner la terre à la descendance d’Avraham. Puis vient la Brit Mila qui est l’alliance suprême entre Hachem et la descendance d’Avraham, alliance éternelle. C’est donc par ces deux principes que commence le travail d’Avraham et qui sont la pierre angulaire de toute la Torah et du Judaïsme.

 

En ce qui concerne notre génération, la dernière de la Galout et la première de la Guéoula, le Rabbi Rayats a dit que nous avons terminé notre travail, les dates de la Délivrance sont toutes dépassées. C’est donc aujourd’hui que nous devons nous préparer à ce grand « Le’h Le’ha » vers la « Terre que Je te montrerai », immédiatement et concrètement, et nous obtiendrons la terre des dix nations qui est l’héritage éternel des enfants d’Israël. Mais la nouveauté immédiate est que nous recevions la terre des trois nations dans la paix et la sérénité, car lors de la période du Machia’h il n’y aura pas de guerre et les nations vont nous remettre les clés du pays avec la meilleure volonté.

 

Une connexion entre les mondes
Le travail de Le’h Le’ha a permis à Avraham de faire un bond en avant dans son service de D.ieu (et lui a fait faire une percée dans la barrière séparant les mondes supérieurs des inférieurs, chose qui ne sera possible que lorsque la Torah sera donnée) jusqu’à ce qu’il obtienne une connexion entre les mondes supérieurs et inférieurs en préparation au don de la Torah.
Tout ceci grâce à la Brit Mila qui est la seule Mitsva qui permet d’introduire la Sainteté dans un membre du corps de manière éternelle, même du temps où la Torah n’avait pas encore été donnée, car il est reconnaissable dans le corps-même du Juif qu’il est relié à D.ieu de manière éternelle. C’est à la suite de cette Mitsva que D.ieu change le nom d’Avraham en lui ajoutant un Hé. De Avram (Av Aram, il était le père d’Aram) il passe à Avraham (Av Hamon Goyim, père d’une multitude de peuples). La Mitsva de la Mila permet donc d’agir sur les nations du monde matériellement et spirituellement dans les niveaux les plus inférieurs où l’on percevra alors la force divine dans chaque créature jusqu’à la plénitude de ce travail lorsqu’ « à D.ieu appartiendra la Royauté » lors de la Délivrance véritable et parfaite.

Le but de Le’h Le’ha
Le fait qu’Hachem ait transmis la terre d’Israël à Avraham et sa descendance donne la possibilité de transformer le monde en demeure pour D.ieu, en « Erets Israël ». Néanmoins, tout le temps que nous nous trouvons avant la Guéoula, l’ordre de D.ieu tient toujours, Le’h Le’ha, et la prise de possession de la terre d’Israël au complet est la préparation à la plénitude de l’accomplissement de la Torah et des Mitsvot « Une Torah nouvelle sortira de Moi », Il donne la Torah, au présent ce qui signifie que cet ordre, Le’h Le’ha, sera maintenu lors de la délivrance véritable et complète.
A notre époque, c’est la période ou notre travail est d’agir principalement sur les Midoth, les sentiments, les 7 Midoth qui sont représentés par les 7 peuplades qui sont sur la terre Sainte et les 3 Mo’hin (Intellect) qui sont représentés par les 3 peuples (Kini, Knizi et Kadmoni) sont principalement utilisés pour neutraliser les mauvais sentiments. Mais lorsque la Guéoula, la Délivrance interviendra, ils serviront uniquement à saisir la divinité.

 

Innover par ses forces cachées
Que doit-on tirer comme manière d’agir grâce à cette Paracha ? L’obligation de « Le’h, va » est de donner la force de progresser dans l’étude de la Torah et surtout d’innover dans l’enseignement de la Torah. Le fait d’innover dans la Torah permet de nous dévoiler à nous-mêmes pour se rendre compte de ses capacités et de ses forces profondes. Et avant d’éditer ces nouveautés, il faut les soumettre à une personne objective qui pourra aider et vérifier qu’il n’y a pas d’erreur.
De plus nous nous rassemblerons le Chabbat pour étudier en public. Et veillerons à ce que les jeunes Bar et Bat Mitsva se joignent à ces cours. Nous étudierons particulièrement les sujets de Guéoula et Machia’h car c’est le principal actuellement, ainsi que dans la Hassidout.


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Le Beit ‘Habad Nova
Gabriel Beckouche Posted On 8 novembre 2024


Lorsqu’une plaie s’abat sur le monde il est clair que l’on a affaire aux douleurs de l’enfantement du Machia’h. Mais lorsqu’on est face à un pogrom où des milliers d’Israël ont été tués, il est évident qu’on est là, face à l’accouchement, la Délivrance elle-même…

 

Mena’hem Molkondov, directeur du Beit ‘Habad Nova raconte : « Lors de Sim’hat Torah 5724 (7/10/23) il est arrivé une véritable Choa. Des choses qu’on avait du mal à imaginer se sont concrétisées ce jour-là. La douleur et le traumatisme étaient du domaine de l’indicible. Pourtant il est connu que du plus profond de l’obscurité jaillit la lumière… Dans le parking de Rééim, où a eu lieu le festival « Nova » l’endroit même de la tragédie, c’est là un peu plus tard qu’à l’endroit où des dizaines de proches, des dizaines de parents vont péleriner.

Le Projet Nova
Un peu après Sim’hat Torah, alors que j’empruntai la route 232, j’ai vu énormément de monde qui venait péleriner à cet endroit. Je me suis renseigné et on m’a dit qu’aucun Beit ‘Habad n’œuvrait pour ses gens et j’ai décider de relever le défi. J’ai immédiatement écrit au Rabbi Chlita Roi Machia’h par l’intermédiaire des Iguerot Kodech et j’ai reçu une extraordinaire bénédiction. Et c’est ainsi qu’est né le Beit ‘Habad « Nova ».

Les débuts
J’ai commencé par installer une table pliante recouverte du drapeau Machia’h et d’en faire un stand de Téfilines. Distribution de cartes Machia’h et consultation des Iguerot Kodech, en effet, j’aide les gens qui sont en état de recherche, de questionnement (souvent difficile) et cherchent une réponse. Sont posés non loin, des bouteilles d’eau glacées à disposition du public.
Puis quelques mois après ce début d’activité les familles nous ont aidé à mettre en place une tente officielle à emplacement fixe. Pourtant nous devons être bien conscients que même les victimes ne désirent point la tristesse et la dépression, bien au contraire ils veulent que nous continuions notre travail dans la plus grande joie. Tournés vers le futur. Le public constate la présence du Beit ‘Habad et apprécie énormément. Ils acceptent de mettre les Téfilines par centaines, voire par milliers et ce, jour.

Sim’hat Torah 5785
Il y a deux semaines de cela, il y a eu Sim’hat Torah 5785, l’anniversaire du pogrom… Et une foule nombreuse a voulu être présent et j’ai investi pour leur procurer, les repas de la fête, des chambres le tout par la force du Rabbi Chlita Roi Machia’h. Les fonds ont été trouvés, grâce à D.ieu, et on voit les miracles chaque jour, chaque heure et à chaque minute… Ici, le public ne veut pas de discours, plus de politique, il veut uniquement Machia’h. Une femme, dont le fiancé a été tué ici-même, est venu demander un drapeau Machia’h et l’a posé à côté de la photo de son fiancé et elle nous a expliqué qu’ à chaque fois qu’elle devait voyager, il lui donnait une carte du Machia’h et lui parlait souvent du Rabbi Chlita Roi Machia’h, elle était très émue… Les soldats qui viennent toujours en groupes reçoivent le célèbre Patch Machia’h et le portent ensuite avec fierté… ». (Traduit de l’hébreu dans la Si’hat HaGuéoula par l’équipe LPSG). Pour faire un don, contactez-le Beit ‘Habad Nova : 052-638271


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Lady Go To Your People!
Gabriel Beckouche Posted On 8 novembre 2024


L’émissaire David Glazer raconte lors d’un Farbrenguen : « Alors que je venais de me marier, en 1978-5738, on habitait alors, en tant que jeunes mariés, à Kfar ‘Habad. J’étais, alors un jeune « Baal Techouva (repentant) » tout frais venu des Etats-Unis. J’avais fais des études à San-Francisco et je pensais, alors que le monde était un immense terrain d’expériences et que je venais de toucher la vérité…

 

Puis, un jour, une jeune américaine, nous l’appellerons Clara, et elle avait, sur son chemin fait une halte chez nous à Kfar ‘Habad. Celle-ci nous raconta l’histoire de son retour aux sources du Judaïsme et comment elle a rencontré le mouvement ‘Habad. Un épisode qui troubla quelques peu mes préjugés et mes acquis.

Clara habitait à Brooklyn-New York et ne connaissait rien au Judaïsme. Ses parents étaient des Juifs achkenazes rescapés de la Choah et ne voulaient pas entendre un mot sur tout ce qui avait un lien avec le mot « Juif ». Vers l’âge de quinze ans, la jeune Clara tomba en dépression, et tout en continuant son train-train, école, devoirs, études, tout devenait insipide. Elle perdit peu à peu, le goût à la vie. Et un jour, elle se leva le matin, n’ayant qu’une seule idée en tête… Partir, fuir ce monde qui était devenu un carcan pour elle. Et sa devise fut.. « ce qui arrivera, arrivera » un point, c’est tout.

Le grand départ
Elle attendit que ses parents s’en aille et elle prépara un petit sac et elle ferma la porte de chez ses parents et parti sans se retourner… ce qui arrivera, arrivera !
Lorsque Clara arriva dans une avenue centrale et qu’elle senti qu’était venu le moment, elle leva le pouce pour faire du stop. Peu importe ce qu’il se passerait, peu importe ce qu’on penserait d’elle, ce qui arrivera, arrivera… Une voiture plutôt quelconque de couleur grise s’arrêta. Clara monta dans la voiture et elle vit que le conducteur était un noir. Elle se dit encore, son nouveau mantra : ce qui arrivera, arrivera.

Harlem
Le conducteur accéléra et entra dans Manhattan puis il pris vers le nord direction… Harlem ! Harlem, quartier général des noirs, célèbre pour être dangereux pour un blanc et particulièrement pour une femme blanche… Mais, ce qui arrivera, arrivera, même à Harlem. Puis la voiture s’arrêta dans un quartier pauvre, le conducteur descendit de son véhicule fit un signe avec la main et soudain quelques personnes sortirent d’un immeuble délabré. Au centre de ce petit groupe, s’élevait un noir géant, une masse de muscles, collier en or, tatoué. Il fit signe à Clara de le suivre. Elle descendit de la voiture et monta dans une voiture de luxe qui était le véhicule du géant, apparemment le chef de la bande…Toutes sortes de pensées horribles se bousculaient dans son jeune esprit fertile. Mais encore une fois… ce qui arrivera, arrivera.

Ce qui arrivera, arriva
Après une demi-heure de route, Clara voyait défiler les rues, les avenues puis des boulevards dont elle reconnaissait plus ou moins le style… On revenait à Brooklyn. Puis la voiture s’arreta devant une maison en briques rouge elle regarda l’adresse : « 770, Eastern Parkway ».

Lady, go to your people !
Le géant s’adressa à elle et lui dit : « Lady, go to your people ! madame, va chez les tiens ! ». Elle sortit du véhicule et monta les marches et ouvrit la porte. Dedans les ‘hassidim la virent, complètement troublée et l’accompagnèrent au secrétariat. Et lui indiquèrent la marche à suivre, lui apportèrent des réponses à ses questions. La Divine Providence qui dit exactement ceci : « ce qui arrivera, arrivera ! ».
Puis on lui indiqua les conférences à écouter, les cours. Et c’est comme ceci qu’elle fit très rapidement connaissance du mouvement ‘Habad, du Rabbi Chlita Roi Machia’h qui lui accorda sa bénédiction pour partir en Erets HaKodech, visiter Kfar ‘Habad et partir étudier dans un séminaire de jeunes filles « Baal Techouva ».

Le Baal Chem Tov nous enseigne que tout ce que l’on voit et tout ce que l’on entend est précisément l’expression de la Providence Divine. C’est la volonté de D.ieu ». (Traduit de l’hébreu par l’équipe du Point sur la Guéoula du livre « Yaïne HaMechoumar » de Rav David Yaacov Halevy Glaser)


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Le Point sur la Guéoula n°678
Gabriel Beckouche Posted On 8 novembre 2024


Des articles époustouflants l’élection, la bénédiction, le Roi Machia’h à la Une…


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Le Point sur la Guéoula… Le Livre
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


Un passionnant ouvrage de Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche, avec des reportages, des témoignages, des entretiens avec les émissaires du Rabbi Chlita Roi Machia’h. Des héros au service de chaque Juif, dans le monde entier, globe-trotter, soldat, business-man… Chacun peut consulter les Iguerot Kodech et chacun peut se connecter au Roi Machia’h.


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La Soucca du Beit ‘Habad d’Isla Mujeres au Mexique
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


Isla Mujeres est le nom d’une municipalité de l’État mexicain du Quintana Roo, située à l’extrémité au nord-est de la péninsule du Yucatán, bordant la mer des Caraïbes. Elle est composée d’environ 15000 habitants pour une superficie de 1,1 km². Elle couvre l’extrémité nord-est de l’État ainsi que l’île Isla Mujeres. Et c’est là que le Rav Avi Bensimon est venu aider son fils Yossi, le Chalia’h de cet endroit à construire la Soucca géante du Beit ‘Habad… (LPSG)


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Le Scandale du Patch Machia’h…
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


« Il y a une énorme demande », déclare le Rav Yaakov Tzvi (Kobi) Ben-Ari, qui distribue ces Patchs. « Les soldats veulent avoir foi en la droiture, ils veulent la sécurité, ils veulent l’identité. Ces soldats sont saints et purs, leur âmes comprennent qu’un vrai chef, le Messie, est nécessaire.

Tout le monde en a marre des politiciens, et ils comprennent que la seule solution à cette guerre, c’est la venue du Roi Machia’h. C’est vivifiant, c’est positif, c’est galvanisant, et en même temps c’est tellement douloureux que le réveil soit si plein de sang, comme la naissance d’un bébé ». Le retrait du Patch Machia’h a conduit à sa déclaration : « Même le lieutenant général Halevi, qui a commit une erreur, n’est pas mauvais, à D.ieu ne plaise. Quiconque n’étudie pas la ‘hassidout, sa vision des choses est faussée… Néanmoins, on lui attribue le fait que c’est par son intermédiaire que D.ieu a décidé de faire à nouveau la Une des médias. Le retrait de l’écusson Machia’h a entraîné une tendance à la hausse de la demande. Toute la publicité créée par cet incident jouera en notre faveur, et avec l’aide de D.ieu, le lieutenant-général Halevi reprendra la bonne voie », a déclaré Rav Yaakov Zvi. « J’ai commandé des dizaines de milliers de Patches supplémentaires. Je suis sur le terrain et je vois l’importance de la demande. Aujourd’hui en 5785, plus d’un an après le début de cette guerre. La compréhension et la reconnaissance de la nécessité du Machia’h ne font que croître parmi les soldats. À droite comme à gauche, tout le monde comprend que c’est la seule vraie solution. Le Dr Amos Sabo, un médecin en chef, a écrit à la suite du scandale qui a inondé les médias : « Je me suis porté volontaire en tant qu’officier de réserve (Milouïm) dans plus d’une unité, bien avant la catastrophe. Pendant des mois, j’ai essayé d’obtenir un Patch Machia’h et je n’y suis pas parvenu. Personne n’était prêt à y renoncer. Il y a environ six mois, nous étions à une cérémonie à Yavniel et l’un des invités m’a donné un Patch Machia’h. De joie, malgré la chaleur, j’ai sorti ma veste militaire de la voiture, j’ai attaché l’écusson Machia’h et je ai enfilé la veste.. ».
Un instant avant la Délivrance finale, l’étincelle de la foi pure en l’attente du dévoilement du Rabbi Chlita Roi Machia’h se dévoile en plein guerre, parmi les soldats de l’armée d’Hachem. (LPSG)


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Aucun Juif ne sera éloigné…
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


Cette histoire est arrivée dimanche dernier. Le jeune couple Ness et sa femme ‘Haya Mouchka Levy, hassidim ‘Habad de Beit Chemesh, faisaient leurs courses comme chaque semaine au supermarché « Rami Levy » près de chez eux. À l’entrée du supermarché, l’un des employés du supermarché les arrête et leur propose de rejoindre le club des clients du supermarché et de profiter de divers avantages. D’après l’apparence et l’accent de l’homme, il était évident qu’il était arabe.

 

Le couple, qui a l’habitude de profiter de toutes les occasions qui se présentent à eux pour agir dans le cadre de la mission du Rabbi de Loubavitch, Roi Machia’h, et ainsi, de répandre la lumière et le Judaïsme dans le monde entier, a immédiatement profité de l’occasion pour enseigner aux arabes les Sept Commandements Bnei Noa’h que D.ieu a donné même aux non-Juifs, et ainsi, préparer le monde à la Rédemption finale.

Les sept commandements sont : l’interdiction de l’idolâtrie ; Interdiction de « bénir » le nom d’Hachem ; interdiction du meurtre ; interdiction des rapports illicites ; interdiction du vol ; interdiction de manger le membre d’un animal vivant et l’établissement d’un système juridique. Ils avaient une carte en arabe. Ils ont donc donné la carte à cet homme. « Prenez, lisez et gardez-la. Cela vous apportera une bénédiction » lui ont-ils dit.

L’homme a regardé la carte pendant un moment et a immédiatement dit : « Oh… Je le sais. À l’entrée de notre village, près de Jérusalem, il y a un grand panneau qui indique les Sept Commandements des enfants de Noé. Et nous distribuons souvent des auto-collants comme cette carte sur nos voitures ».
Enthousiaste, l’homme commença à lire la carte à haute voix et à la traduire de l’arabe à l’hébreu, montrant qu’il comprenait bien de quoi il s’agissait. « Ici, le premier commandement, c’est de croire en D.ieu. Cela signifie honorer Dieu, prier, mettre les Téfilines ».

Le couple a pensé un instant qu’ils n’avaient pas bien entendu, ou peut-être que le mot « prière » en arabe était similaire à la prononciation du mot Téfilines en hébreu. Mais tout en parlant, l’homme répéta ses mots : « Mettre les Téfilines »…
« Désolé, mais pourquoi parlez-vous de mettre les Téfilines ? Vous mettez des Téfilines ? » lui demandèrent-ils. « Oui, bien sûr » répondit l’homme à leur étonnement. « Ma mère m’a dit que je devrais mettre des Téfilines »… « Que voulez-vous dire ? Pourquoi mettriez-vous des Téfilines ? ». « C’est parce que ma mère est Juive… Elle vit à Bnei Brak. J’ai des Téfilines et je les mets souvent… Parfois, quand je viens rendre visite à ma mère, elle m’envoie faire des achats, et quand je reviens avec les courses, elle me dit : « Non, ce n’est pas assez casher, ce n’est pas Badatz ».
Je connais aussi un peu de yiddish. Tracht Gut – Wa’at Zayn Gut, A Guta Nacht (traduit du Yiddish : Pense bien et tout ira bien. Bonne nuit… ».

Le couple nageait dans l’étonnement, mais au bout d’un moment, ils ont repris leurs esprits. « Si vous êtes Juif, vous n’avez pas besoin de la carte des Sept Mitsvot Bnei Noa’h, prenez une page du Chéma pour mettre les Téfilines », et il lui tendirent rapidement une feuille de lecture du Chéma avec une image du Roi Machia’h. « Oh, oui, j’ai déjà un feuillet comme celui-ci », répond immédiatement le Juif. Le couple a laissé la carte des sept commandements en la possession du Juif : « Prenez cette carte et distribuez-la dans le village. Vous serez l’émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h dans votre village ».
Il est extraordinaire de constater comment Hachem se dévoile, que même le Juif le plus éloigné retourne à ses racines et se rapproche de D.ieu. Le Prophète a promis que même le Juif le plus éloigné ne serait pas perdu et qu’il retournerait également au Judaïsme. Et à mesure que nous entrons dans la Délivrance véritable et parfaite, nous voyons ce phénomène s’étendre de plus en plus. Merci Hachem. (Traduit pour le Point sur la Guéoula de la Si’hat HaGuéoula n°1523)


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Noa’h… Le Sommet du Nom Avayé
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


Comme nous pouvons le constater dans le nom de la Paracha : Noa’h qui vient du langage de Menou’ha, le repos : « La satisfaction qui vient du repos de l’homme qui s’arrête de travailler, comme il est dit : Il s’abstint de tout travail lors du septième jour comme il est traduit (par Ounkelos) « Il se reposa le septième jour » (et plus exactement lorsqu’il est dit : Noa’h, Noa’h par deux fois, « Il satisfait les mondes supérieurs et il satisfait les mondes inférieurs » ce qui implique deux niveaux du Chabbat, le Chabbat inférieur et le Chabbat supérieur).

 

Or, la particularité du travail de Noa’h qui a « trouvé grâce aux yeux de l’Eternel (Havayé) » permet de dévoiler dans le monde le Nom Havayé (« l’Eternel ») qui transcende le monde – et il ne s’agit pas uniquement du Nom Havayé qui s’habille dans le monde par l’intermédiaire du Nom Elokim, « Havayé Deletata, Havayé d’en-bas » mais aussi du Nom Havayé qui transcende complètement le monde, c’est-à-dire « Havayé Deleéla, Havayé d’en-haut ».

Le résultat du bilan
Or, il est nécessaire d’appuyer l’importance d’un bilan moral en ce Chabbat de la Parachat Noa’h de cette année. Puisque le Rabbi, mon maître et beau-père, prince de notre génération a témoigné que nous avons enfin terminé tout notre travail, jusqu’à « l’astiquage des boutons de l’uniforme », et nous sommes prêts à recevoir le Machia’h notre juste. Pourtant, en considération du bilan moral que nous avons réalisé, le résultat est que : « La Guéoula, la Délivrance véritable et complète doit intervenir de manière tout à fait immédiate ».
Et a plus forte raison cette année 5752 dont les initiales sont : « Ce sera une année de merveilles, de merveilles dans tous les domaines, « Bakol, Mikol Kol (=192) » en tout, de tout et totalement » dont la valeur numérique est la même que le mot « Kabetz (=192), rassemble les exilés » et qui contient tous les éléments, principalement les merveilles de la Délivrance véritable et parfaite « De même que lors de ta sortie d’Egypte, Je vous montrerais des merveilles ».
Et plus particulièrement, après que soit complété le premier mois de l’année « Tichri » dont les lettres forment le mot « Réchit, le commencement » qui contient l’année toute entière. Or nous sommes le premier Chabbat de cette plénitude du travail dans le monde qui contient la quintessence du Chabbat dans toute sa connotation messianique. Et, de plus, alors que nous sommes le Chabbat après-midi, au moment du troisième repas lié à Yaacov, le troisième patriarche lui-même relié à la troisième délivrance et au troisième Temple.

Va pour toi… en Guéoula
Et nous nous préparons à lire dans la Torah la section « Lekh Lekha, va pour toi… vers la Terre que Je te montrerai », l’ordre et le don des forces nécessaires à chacun et chacune du peuple Juif et à l’ensemble du peuple Juif (grâce à Avraham, le premier Juif) pour sortir de la Galout, de l’exil et nous diriger vers la Guéoula, la Délivrance, d’une double marche (« Lekh Lekha ») qui fait aussi allusion à une marche rapide, dont la plénitude sera (que nous irons) : « sur les nuages du ciel ». Il est clair et avéré que toutes les limites sont déjà dépassées, et tous ont déjà fait Techouva et maintenant, la chose ne dépend plus que du Machia’h notre juste lui-même…

Kiddouch Lévana
Selon tout ce que l’on vient de voir, il est compréhensible que lorsqu’on trace un bilan spirituel après la première semaine de travail dans le monde lors de l’année 5752 « qui sera une année contenant des merveilles », et que nous en arrivons à la conclusion que la chose ne dépend plus que du Machia’h notre juste, lui-même, ceci doit s’exprimer par une attention particulière au Kiddouch Lévana (sanctification de la lune) « car ils se renouvelleront comme elle », lors de la Délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du roi David, le Messie « David, le roi d’Israël est vivant et existant ».
Et principalement, que ce Kiddouch Lévana soit fait avec l’intention bien précise d’activer et de précipiter l’arrivée du roi David, le Machia’h de la manière la plus concrète. Tout ceci, par un rajout dans l’exigence et la demande impérieuse au sujet de la Guéoula, comme il est dit à la fin du Kiddouch Lévana : « Et ils demanderont l’Eternel leur D.ieu et David leur roi, Amen ».


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5785 : Un Mois de Tichri en Délivrance Actuelle
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


Lors de la Parachat Noa’h, nous sommes beaucoup plus clairvoyants que lors du Chabbat Béréchit pour constater de l’ampleur de ce que nous vivons à l’échelle mondiale. Que ce soit au niveau des miracles comme l’élimination des ennemis d’Israël aussi bien au niveau personnel et les merveilles que chacun vit dans sa vie privée…

 

Tout d’abord, dans l’édition spéciale de votre hebdomadaire de l’actuelle Délivrance, nous vous avons préparé une rétrospective en image de notre quartier général, « Beit ‘Hayénou » au 770 à New-York Brooklyn. Le point fort fut surtout les danses de « Sim’hat Beit Hachoéva » où tous les Juifs de toutes les tendances sont venus vivre dans les rues de Crown Heights, la joie de la fête de Souccot, et entraîner cette folie de la Sainteté à se répandre dans le monde.

A une échelle plus nationale, nous avons aussi les danses de remerciement pour les merveilles de la Guéoula à Jérusalem.

A l’échelle municipale, nous avons fêté au Beit ‘Habad Francophone de ‘Hédéra les deuxièmes Hakafotes avec un magnifique lancer de ballons pour la libération des otages avec le Chalia’h Rav Méïr Hayun.

Et c’est à l’échelle individuelle que grâce à la bénédiction du Rabbi Chlita Roi Machia’h, mon mari Gabriel ‘Haïm a été sauvé, grâce à D.ieu, et ses émissaires qui ont dit Tehilim pour sa santé (merci à eux) et grâce à D.ieu, il a pu sortir de l’hôpital en bonne santé. Merci Hachem. (Menou’ha Ra’hel Beckouche)


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L’être humain demande le respect des Sept Mitsvot Noa’hides
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Cette histoire du couple Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche s’est passée il y a trois ans de cela à l’hôpital Ziv de Tsfat. « Ma fille avait un rendez-vous chez le docteur. Mon épouse devait l’accompagner et je me suis dit que je pourrai aussi bien me joindre à elles, pour poser quelques paires de Téfilines, comme je le faisais à Jérusalem à l’hôpital Chaarei Tseddek…

 

Croyez-moi si vous le voulez, mais après des dizaines d’essais, il n’y avait pas un seul Juif qui n’avait pas mis les Téfilines. Alors j’ai réfléchi et je me suis occupé des non-Juifs pour leur Sept Mitsvot Noa’hides… Les arabes. Oui parfaitement. Si l’on s’occupait des arabes en leur enseignant ces Sept Lois, cela fait bien longtemps qu’il n’y aurait plus un seul attentat.

Je me suis assis à la table de deux arabes. Un qui s’appelle Ali et l’autre Ahmed. Je leur ai proposé de lire la petite carte où l’on peut voir les Sept Mitsvot en arabe. J’ai déjà été de nombreuses fois en contact avec des arabes et l’accueil a toujours été excellent. Mais là ce fut au-delà de toute attente. A peine Ali a t-il posé les yeux sur cette carte que son compagnon lui demanda si j’étais sérieux… Ali l’a regardé comme on regarde un malheureux plaisantin et lui dit en hébreu : « Tu sais, cette homme sur la photo c’est le Roi Machia’h ! – Et l’autre de répondre en me regardant : « Mais nous aussi on a un Machia’h qui doit venir – Mais il lui répondit pour moi : « Oui mais lui c’est le Machia’h de toute l’humanité… ».
Et Ali me raconta son expérience avec les ‘Habad qui disent que le Rabbi est le Roi Machia’h. Il me dit qu’il avait toujours été bien perçu chez eux et qu’il suivait leurs actions. En retour, je lui ai raconté un épisode assez particulier qui m’était revenu en mémoire.

« Un jour, je devais poser mon stand de Téfilines au supermaché Rami Lévy à Jérusalem, mais grâce à D.ieu, j’avais quelqu’un qui pouvais me remplacer. Et donc, j’ai pu m’installer à la solderie Maxstock, non loin de là. J’ai pu mettre pas mal de paires de Téfilines et j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup d’employés arabes. Par conséquent, lorsque je faisais une pause avec les Téfilines, je pouvais m’occuper de diffuser les Sept Mitsvot Noa’hides en arabe grâce à mes petites cartes. Il y avait un jeune homme, un arabe, qui m’aborda. Il me demanda ce qu’étaient les Lois imprimées sur cette carte. Je lui répondit brièvement. C’est alors qu’il me confia qu’on lui avait proposé un Million de Shekels s’il rejoignait les rangs d’un mouvement terroriste (bien connu) s’il s’engageait à faire un attentat. Je lui ai expliqué (en prenant mon temps) ce que gagne un homme à rejoindre un groupe comme celui-ci et tout cet argent qu’il va toucher. Par contre, je lui ait dit ce qu’il gagnera à accomplir des actes de grandeur. Et bien, il a compris ce que tout être humain peut déduire et mériter réellement une récompense et même sans aucune récompense. Juste pour Hachem, en l’aimant et le servant. C’est pourquoi, ce vendredi-là, ce jeune homme a renoncé à rejoindre ce groupe terroriste ».

Et maintenant je voudrais donner la parole au Rav Zalman Notik qui est, lui aussi un militant de poids sur les Sept Mitsvot Noa’hides. Il a prononcé ce discours lors d’un Rassemblement Machia’h et Guéoula de mon Rav et Machpia le Rav Zimroni Tsik : « Au sujet des non-Juifs, le Rav Boaz Kali devait parler lors du Kinous HaChlou’him et il m’a dit : « je devrais prendre la parole aujourd’hui mais exceptionnellement, je voudrais rafraîchir mon discours et que ce soit toi qui parle… ». Il m’avait parlé deux jours auparavant. Comment vais-je moi, rafraîchir le discours de Boaz Kali ? Je me dirige alors vers le 770 et je vois devant moi, une pyramide humaine de milliers d’émissaires du Rabbi Chlita Roi Machia’h… Les légions du Roi.

Soudain arrive un Chalia’h des USA, un proche parent, et il dit : « Ouille, je l’ai raté ! ». Puis il sort de sa poche un bonbon… Il s’approche d’un photographe non-Juif, et lui dit de répéter en anglais après lui : « Barou’h Ata Hachem… Chehakol Nihya Bidvaro ». Il lui tend le bonbon et lui fait une bise sur chaque joue et lui dit : « Rendez moi service, prennez-moi en photo et avec photoshop, vous m’introduirez dans la grande photo ok ? »… J’observe la scène de côté et je me dis que je n’ai jamais vu une telle chose de ma vie. Où est-on ? Dans les Messibot Chabbat ? Mais je me tais. Certainement que je ne comprends pas tout ce que je vois. Bref, ce moment passe, et cet émissaire me dit alors : « Ma voiture est garée à deux rues d’ici, tu peux m’accompagner ? ». J’acquiesce et on fait ce bout de chemin ensemble. Soudain un gardien d’origine musulmane vient trouver mon cousin, sur sa veste apparaît son nom « Muhamad ». Et ce Chalia’h commence à entretenir ce non-Juif sur les Sept Mitsvot Noa’hides pendant dix bonnes minutes. Je ne comprends pas non plus cette scène. Mais le jeune arabe lui dit : « Je suis près, si tu le désires à garder ta voiture pendant encore une heure et demi ». Mon cousin me dit alors : « Tu as l’air surpris. N’est-ce pas ? Mais ta surprise ne fait que commencer. Je vais te raconter maintenant comment je gagne ma vie… Je suis directeur financier d’un organisme dont je tairais le nom. Et je me suis dis : « Comment je ramène de l’argent maintenant ? ». Il y a une directive du Rabbi que l’argent vient lorsqu’on s’occupe des Sept Mitsvot des non-Juifs. J’ai donc monté ce que j’ai nommé : « Le Beit Chalom », ou la tente d’Avraham Avinou sur l’une des autoroutes non-loin d’ici. Le conducteur fatigué y reçoit du café, des gâteaux, un lit pour se reposer pendant trois heures, il peut voir des vidéos sur l’histoire d’Avraham Avinou, sur les Sept Commandements Noa’hides. Et les non-Juifs qui voient cela ne peuvent rester insensibles. Ils donnent de l’argent, des sommes conséquentes et c’est ainsi qu’ils soutiennent des institutions ‘Habad… ».

En ce moment – poursuis le Rav Notik – j’enseigne la ‘Hassidout dans un Beit ‘Habad de Jérusalem à Abu Tor, un quartier Juif à côté d’un village arabe. Le directeur en est le Rav Roy Olliel, un grand gaillard très sympathique. Un jour je viens pour le cours et je lui dis : « Aujourd’hui, j’ai un plan. On va descendre dans le quartier arabe, on va rencontrer le maire du village et on va lui demander l’autorisation d’enseigner dans l’une écoles les Sept lois de Noé. Qu’en penses-tu ? ». Roy me dit : « Tu es sûr ? C’est quand même risqué ! ». Je lui ai répondu que telle était la volonté du Roi Machia’h, diffuser ces sept lois chez les non-Juifs. Néanmoins, il me suivit dans mon entreprise (non sans se munir de son ‘Hitat pour plus de sécurité) et nous voilà en route pour le village arabe. Il fallait descendre une grande côte et au bout d’un moment, nous arrivâmes vers un homme âgé assis sur une chaise. Je demandai : « Connaissez-vous le Mukhtar (le maire) du village ? ». L’homme me regarda exactement comme s’il voyait devant lui un extra-terrestre. Il me dit : « Et qu’est-ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». « On veut lui parler des Sept lois des descendants de Noé » en parlant je lui tends une carte où sont imprimées les Sept lois en arabe. Il me dit alors : « Continuez tout droit et vous y êtes ». On a poursuivis notre descente vers ce qui avait l’air inquiétant d’un gouffre… Puis on est arrivé à hauteur d’une épicerie. En arrivant nous avons demandé au jeune qui tenait ce magasin s’il connaissait le Mukhtar. Il nous répondit : « Et qu’est ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». Je lui fit la même réponse qu’au vieux monsieur plus haut. Il me dit : « Écoutez, je suis son fils et il sera là dans une heure et demi revenez, je vous le présenterai ». Une heure et demi plus tard, nous sommes revenus armés de nos publications en arabe sur les Sept lois et là, le jeune nous présenta son père un Cheikh arabe avec la moustache typique, un personnage haut en couleur. Il nous reçu chaleureusement et nous offrit à boire. Je commençais mon exposé sur l’histoire Juive et celle des Sept Mitsvot. Il écouta attentivement mais au bout d’une bonne heure il me demanda : « Mais qu’est-ce qu’il en est de Machia’h dans tout cela ? »… Alors là, il m’avait surpris. Le Rabbi me disait en cela que c’est par cela qu’il fallait commencer… Je lui répliquai en lui exposant les paroles du Rabbi Chlita Roi Machia’h sur la Guéoula. Mais il s’entêtait à répéter les sombres prophéties des musulmans à ce sujet. Qu’il y aura une grande guerre et que seraient tués tous les chrétiens etc. Je lui dit alors : « Lors de l’époque messianique, il n’y aura plus de guerres… Les nations vivront en paix. Je lui montrais alors la photo du Rabbi en lui expliquant que voici, c’est le Roi Machia’h et que je suis son émissaire ». Et, pour finir, je terminais sur une note joyeuse et pacifique. Puis je lui soumettais ma demande, de nous laisser parler dans une école arabe du quartier. Il me répondit : « Dans ce quartier ce ne sera pas possible les jeunes y sont assez violents, mais dans un autre quartier, je me ferais un plaisir de vous introduire »…

Mon fils m’a raconté, la semaine dernière, qu’il était à l’aéroport Kennedy et il allait d’un commerce à l’autre pour poser les Téfilines aux Juifs qui travaillaient là-bas. Au bout d’un certain temps, il se tourne vers une personne et lui dit : « Voulez-vous mettre les Téfilines? ». Et celui-ci de lui répondre : « Je suis un arabe, de Ramlé ». Mon fils lui répliqua : « Excusez-moi de vous avoir proposé de mettre les Téfilines, mais est-ce que je peux vous parler des Sept lois de Noé ? ». Ils ont discuté quelques minutes et c’est alors que le jeune homme, arabe de Ramlé, lui dit : « Ecoutez, je peux vous aider à mettre les Téfilines aux gens, je travaille ici et je sais qui est Juif et qui ne l’est pas ». En effet, grâce à lui, ils ont réussi à mettre une grande quantité de paires de Téfilines, et ceux qui ne voulaient pas les mettre, ce jeune arabe parlait avec eux et tentait de les convaincre…
Tel est le monde d’aujourd’hui. Le monde pendant l’ère messianique. Soyons des Juifs du futur, des Juifs de la Guéoula. Partout où l’on se rend, avoir toujours sur soi les cartes des Sept Mitsvot Noa’hides. Et on voit les miracles… Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd… » (Extrait du livre « Le Point sur la Guéoula »)


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Le Point sur la Guéoula n°676 – Spécial Souccot 5785
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Un éditorial qui mérite d’être traduit en langue arabe et publié dans tous les médias en arabe. Ouvrez les yeux et réveillez-vous Peuple Arabe et changez votre mode de fonctionnement … Publiez et diffusez les Sept Lois Noa’hides dans tous les médias en arabe pour votre survie, pour votre propre nom, pour votre réussite, de la part d’Israël, des Enfants d’Israël, le Peuple de l’Eternel ! Avec notre bénédiction… Machia’h Now !


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Iguerot Kodech et Likoutei Si’hot : Les prodiges de la Guéoula…
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Lorsque Rav Yaacov Elias s’est inscrit à un stage de formation en jardinage, il pensait que c’était uniquement dans le but de trouver du travail. Mais rapidement, il se rendit compte que ce stage cachait en lui beaucoup plus qu’une simple formation. Et chaque jour, c’était lui qui formait les gens à un stage au sujet du Machia’h, sur la Guéoula, sur la Nouvelle Torah et sur le rôle de notre génération qui consiste à rapprocher la Délivrance finale…

 

En fait, plus il expliquait les choses et plus les participants à cette formation voulaient en savoir plus. Leur foi grandissait chaque jour et ils questionnaient Yaacov sur tous les sujets, voire sur des questions personnelles, et même sur des sujets particulièrement sensibles. Yaacov, pour sa part répondait avec patience dans les domaines qu’il connaissait. Mais pour les choses plus sérieuses, qui ne souffrent pas de réponses conventionnelles, il conseillait d’écrire au Rabbi Chlita Roi Machia’h. Il promettait qu’ils ne seraient pas déçus et qu’ils verraient des réponses adaptées. « Insèrez votre lettre dans ce livre des allocutions (Likoutei Si’hot), des discours (Maamarim) ou dans les correspondances saintes (Iguerot Kodech). Ensuite vous ouvrirez le livre à l’endroit où se trouve votre lettre. Si vous lisez avec attention ce qui est écrit dans la page, vous trouverez la réponse à votre question ».

Malheureusement, certains élèves doutaient manifestement et ironisaient, se moquant de ses conseils. Pourtant au fil du temps, ces réactions qui frôlaient parfois le ridicule, disparaissaient petit à petit et d’autres suivaient les conseils avisés de Yaacov et ces mêmes personnes déclaraient avoir vécu un miracle après avoir ouvert le livre du Rabbi. En fin de compte les élèves attendaient chaque jour les réponses des Iguerot Kodech.

L’histoire du bédouin

Les choses en arrivèrent à un point où un non-Juif qui participait à la formation en jardinage, un bédouin qui se trouvait à la veille d’un jugement au Tribunal. Il demanda, lui aussi, s’il pouvait écrire au Rabbi Chlita Roi Machia’h. Yaacov lui répondit : « Bien sûr, il n’y a aucun problème ». Après avoir écrit sa lettre, le bédouin dit « Ye’hi Adoneinou… » comme le lui avait indiqué Yaacov.
Il inséra sa lettre dans un volume des « Likoutei Si’hot » que Yaacov apportait régulièrement avec lui et il ouvrit à la page 70 (vol. n°1 des allocutions) et il demanda au bédouin de lire au début de la page. Il lut et au fur et à mesure qu’il lisait sa voix faiblissait jusqu’à devenir un murmure : « …Et la signification de ceci est que même le Goy, lui-même, intérieurement et dans sa racine (or la racine de chaque chose se trouve dans la Sainteté), il sait et il ressent le besoin de rajouter de la Kedoucha, de la Sainteté… ».

Le bédouin baissa les yeux et dit, presque en bégayant : « C’est incroyable comment il a vu ce qui me dérangeait véritablement… Le Rabbi a vu mon éloignement de toute chose qui touche à la Sainteté, même selon les conceptions d’un Goy, et même la déprime que cela me cause, cet éloignement… Ce n’est pas pour rien que je pense que vais sûrement perdre ce jugement au Tribunal. C’est la punition qui me revient de droit ».
Rav Yaacov l’observa comme un maître regarde son élève et lui dit : « Ainsi vous parle le Rabbi Chlita Roi Machia’h : « rajoutez de la Kedoucha, de la Saineté », ce qui signifie qu’il faut accomplir certaines Mitsvot de la Sainteté véritable. Si vous les faîtes, vos sentiments vont s’améliorer et vous remporterez votre jugement au Tribunal. De plus vous ressentirez un allègement dans votre vie, car elle commencera à suivre un parcours juste et droit spirituellement ». Le bédouin demanda ce qu’il devait faire concrètement. Alors Yaacov lui expliqua le sens des « Sept Commandement des Descendants de Noé » qui portent sur les non-Juifs. Le bédouin a pris sur lui, non seulement de les accomplir, mais de plus, d’influencer son entourage bédouin à accomplir aussi les Sept Mitsvot…
L’histoire du bédouin fit une profonde impression sur tous les élèves du stage, mais surtout sur les personnes réticentes à cette nouvelle forme de « bénédiction instantanée » qu’avait apporté avec lui Rav Yaacov Elias.

Révélations

Parmi ces derniers réticents, il y avait un certain Avraham, un jeune homme, plein d’ironie, qui n’avait pas sa langue dans la poche. Il ne cessait de se moquer de Yaacov et de ses « ‘hassidim » qui avaient «osé» demander conseil grâce aux Likoutei Si’hot et aux Iguerot Kodech. Pourtant, sitôt que Avraham avait ouï dire que même le bédouin avait rejoint le clan des « ‘hassidim », il changea complètement de point de vue et prit, clairement, au sérieux, les différents miracles, que vivaient ses compères du stage de formation en jardinage.

Et soudainement ce fut justement Avraham « le cynique », qui, en fait, vivait un véritable drame, incarné dans un être cher, sans que personne ne s’en douta. Puis, ne pouvant plus se contenir, il demanda à Rav Yaacov : « Apprenez-moi, s’il vous plaît, à écrire une lettre et implorer la bénédiction, c’est pour quelque chose de très important que je voudrais demander ».

Avraham écrivit sous la direction de Yaacov, la lettre au Rabbi et l’introduisit dans le même volume des Likoutei Si’hot et l’ouvrit à la page 28. Il commença à lire : « Dans la Paracha de la semaine, il est dit : « Et Sarah mourut à Kiriat Arbaa… et ce qu’en dit le Zohar : « Et Sarah mourut », lorsque le corps meurt, « Et Avraham vint… faire l’oraison funèbre et la pleurer »…

A la fin de la lecture, Avraham pâlit et se tint à la table, comme s’il était pris de vertige. Yaacov attendit que Avraham reprenne ses esprits et qu’il lui explique la raison de son émotion. Il s’essuya le front, qui était trempé de sueurs froides, et il confia : « Maman se trouve actuellement en France et elle doit subir, très bientôt, une opération à cœur ouvert. Je dois, moi-même, interrompre le stage et me rendre en France et rester à son chevet jusqu’à ce qu’elle se rétablisse complètement. Mais maintenant qu’on a lu ce verset sur la mort de Sarah, je ne sais plus quoi penser. Le nom de ma mère est « Sarah ». Mon nom est « Avraham ». Et nous sommes exactement quatre frères (Kiriat Arbaa). Or toute ces versets font allusion au décès de ma mère… c’en est trop pour moi ! ».

Annulation du décret

Rav Yaacov le rassura et lui dit : « L’un des enseignements du Rabbi Chlita Roi Machia’h est : « Pense bien, tout ira bien », prenez sur vous une bonne décision comme récéptacle pour la bénédiction ». Après quelques négociations, Avraham prit sur lui de jeûner pour Yom Kippour et de donner de la Tseddaka (charité) chaque jour… « Maintenant que vous avez pris ces bonnes décisions. Nous allons, de nouveau, ouvrir le livre du Rabbi ».
Avraham inséra la nouvelle lettre contenant les bonnes décisions toujours dans le même volume des « Likoutei Si’hot » et cette fois, la réponse se trouvait à la page 126. Avraham lut la réponse et sa voix tremblait d’émotion et ses yeux étaient pleins de larmes : « De la même façon, qu’à l’époque, lorsqu’ils sont sortis des griffes du Pharaon, à l’époque de Moché Rabbénou et de Myriam. La joie des femmes fut beaucoup plus grande que celle des hommes, car au moment du décret, les mères se sont élevées au-dessus des pères… Ainsi, même la joie qui intervient lorsqu’on sort d’un décret, or cette joie est beaucoup plus intense chez les femmes Juives ».
« Ton Rabbi parle de la joie des femmes – murmura Avraham – peut-être que cela veut dire que ma mère va subir son opération et va vivre et se réjouir ? ». « Oui – répondit Rav Yaacov Elias – vous avez vraiment mérité d’une réponse pleine de bonnes nouvelles, et la première lettre contenait un décret qui a été annulé par la seconde réponse. Ce souci vous a été ôté et vous pouvez vous réjouir sans honte, de cette bonne nouvelle ».

Le lendemain matin, Avraham vint trouver Yaacov et lui annonça, souriant d’une oreille à l’autre : « Ecoutez, après que j’eus donné la Tseddaka hier, j’ai appelé ma mère en France, et quel ne fut pas mon bonheur quand ma mère m’a annoncé que les médecins lui ont affirmé que sa santé s’est tellement renforcée qu’il n’y a plus aucun besoin d’une opération ». Merci Hachem et merci au Rabbi Chlita Roi Machia’h qui opère des prodiges en ces temps de Délivrance actuelle…

(Traduit par l’équipe de LPSG
du livre «Niflaot A’hchav»)


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Danser et Chanter dans les Rues pour Remercier Hachem !
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Votre hebdomadaire qui vous relie à l’actualité comme un quotidien ! Le Point sur la Guéoula n°675 vous fait vibrer sur la corde de la Délivrance actuelle…


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Le Journal « Le Point sur la Guéoula » n°674
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Le Point sur la Gueoula 674 – Roch Hachan 5784


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Il viendra te chercher et te prendra par la main…
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Lorsque le Rabbi Chlita Roi Machia’h, nous dit dans le Dvar Mal’hout à propos de la France que : « La nécessité d’évoquer ces sujets, par delà l’expression de reconnaissance envers D.ieu, est de faire « Pirsoumei Nissa », de faire connaître les miracles de D.ieu, car l’avènement messianique dépend de cela. Nous devons donc tous faire connaître les miracles que D.ieu fait pour nous, en ayant conscience que cela est lié avec la Délivrance messianique… ». C’est ce que vas nous rapporter Menou’ha Ra’hel Beckouche (Directrice du journal) dans l’histoire qui va suivre…

 

« J’étais partie en France pour une dizaine de jours afin de promouvoir l’édition de notre livre « Le Point sur la Guéoula » et mon retour était prévu pour le dimanche 19 Elloul, 22/09. C’était un vol sur la compagnie Lufthansa. Le vol a été repoussé à mercredi, puis il est passé sur Air France (encore repoussé) le lendemain, jeudi.

Le cauchemard commence

Donc je me prépare au départ. Lever à cinq heure du matin, on embarque vers 10h30. Jusqu’ici tout va bien.
Au bout de trois heures de vol, on nous annonce qu’il y a un problème technique et que nous rentrons sur Paris à 40 minutes de Tel-Aviv. Et c’est là que commence le cauchemar…
Je vous donne une photo d’ensemble. Un vol composé d’israéliens, et de familles Juives nombreuses (Grâce à D.ieu) en provenance du Canada (qui avaient donc fait escale à Paris) avec des bébés… Nous retournons donc sur Paris (six heures de vols en tout). On demande pourquoi on ne descend pas sur Tel-Aviv, qu’on nous dépose, et l’avion sera réparé au sol. Pas du tout. On nous répond des arguments incompréhensibles… Bref, on retourne à Paris. Je n’avais pas rééllement prévu de l’alimentation et il n’y avait pas de repas Cachères, donc toute cette aventure se passe en mode régime, je n’avais que quelques carrés de chocolat et (offert grâcieusement pas l’équipage) du jus de tomate !… et c’est tout pour deux jours. De plus en Erets Israël les missiles tombaient dans tout le Pays et la guerre s’intensifiait au Sud-Liban. Et moi je voulais retourner auprès de mon mari et ma famille déportée de Tsfat qui sont pour l’instant chez nous (à cause des missiles), inutile de décrire mon état d’anxiété. Surtout que nous étions à la veille des fêtes et je ne voulais pas être seule à Paris sans ma famille. Il était hors de question pour moi de rester un instant de plus, en France. Et surtout vivre ces moments de Guéoula en Erets Hakodech.

 

Retour à Paris

Donc… Retour à la case départ, l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. A l’aller, tout était bien organisé, navettes, personnel d’accueil, prise en charge. Mais là, au retour, il n’y avait pratiquement plus rien…
On a donc marché, tous ensemble, des kilomètres… des images d’exil, de la guerre, des images de déportation, me revenaient en tête. Les enfants qui pleurent, les parents, les bagages à main, des Juifs, des religieux, on étaient comme pris en otage…
Et au bout du parcours, les hôtesses nous attendent pour nous dire qu’il fallait continuer encore quelques kilomètres, (on est désolées mais on manque de logistique…).
On était épuisé, moralement, physiquement et on étaient jeudi à la veille de Chabbat.

 

Antisémitisme

En fin de compte tout le monde a été placé dans des hôtels… sauf moi. Encore des arguments «technico-antisémites». Après m’être révoltée et avoir protesté, ils m’ont donné une chambre dans un hôtel glauque. Il a fallu ensuite attendre deux heures une navette pour nous déposer dans les hôtels. Il faisait froid et on avait toujours rien à manger. Hommes, femmes, enfants, personnes âgées. Il y avait beaucoup d’israéliens. Arrivée dans l’hôtel je me suis endormie tout de suite.

Vendredi matin, une navette vient nous prendre, le chauffeur parlant au téléphone dit : « j’ai une cargaison de Juifs dans la voiture ». Je lui réponds du tac-au-tac : « Oui mais il y en a qui comprennent le français et qui vous permet de parler comme ça des Juifs ? ». Silence.

 

Le dernier Chabbat de l’année

On arrive dans la salle d’embarquement et tous les passagers Juifs, soudain, sortent leur Talit, Téfilines et commencent la prière du matin. Scène de Guéoula.
Dans l’avion, il y a du retard (certains passagers sont absents). On a décollé vers 11h45.
On est arrivé dans l’espace aérien israélien. L’avion a encore fait un tour pour perdre encore 15mn. Puis en fin de compte on a attéri et là tout l’avion criait «Barou’h Hachem! Thank You Hachem! Am Israël ‘Hay !» dans la joie de retrouver la Terre Sainte.
Chabbat tombait à 18h09 et il était 17h15 quand je suis sortie avec mes baggages dans la salle de la sortie des passagers dans un état de stress, vu l’heure de l’atterrissage, certains avaient abandonné leurs valises.
Mon gendre m’attendait avec mon petit-fils, j’étais enfin rassurée. Mais il nous faut, en général, pour arriver à la maison, un peu plus d’une heure. Comment va-t-on faire pour ne pas enfreindre le Chabbat. Et c’est là que commence le miracle de ma petite sortie d’Egypte…

 

Les Merveilles de la Guéoula

Tout d’abord, la voiture n’avait plus d’essence. Il fallait faire le plein. Ensuite devant nous, le pneu d’un camion de l’armée, avait explosé et ce n’est que par miracle que nous avons évité cette explosion qui nous aurait causé je ne sais quels dégats… Mais grâce aux douze Psoukim dits par mon petit fils et au «Yéhi Adoneinou», nous avons revécu le miracle de Yeochoua Bin Noun, le soleil, face à nous, semblait avoir arrêté sa course…
Et nous sommes rentrés à la maison quatre minutes avant Chabbat sous les acclamations de toute ma famille et les youyous… J’ai senti qu’Hachem était venu me chercher du profond de l’exil pour m’amener dans la Terre d’Israël, le Pays de la Guéoula. (Menou’ha Ra’hel Beckouche)

NB : Mon mari Gabriel ‘Haïm en rentrant de la Synagogue nous a annoncé: «L’armée de l’air a liquidé Nasrala !». Quand D.ieu donne, c’est jusqu’au bout. Jusqu’à la Guéoula… Merci Hachem !


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L’année des Plaot HaGuéoula… Les Infos des Prodiges de la Délivrance Actuelle
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Incroyable : Les Merveilles se dévoilent vraiment Tous les Jours

 

Impossible de ne pas voir, de ne pas constater à quel point D.ieu se dévoile à Ses serviteurs le Peuple Juif, dans son ensemble et en particulier… Chez moi !


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L’Armée du Roi Machia’h et les Patchs de la Guéoula
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


La télévision arabe y a déjà consacré de précieuses minutes en prime-time, couvrant cet incroyable phénomène. Un grand nombre de chars et de véhicules blindés de transport des troupes, opérant dans la bande de Gaza, portent fièrement le drapeau du Machia’h flottant et visible de loin. Plusieurs milliers de soldats ont même mis le «Patch Machia’h» sur leurs uniformes…

 

Le «Patch Machia’h» est devenu l’un des symboles les plus populaires de la guerre actuelle. La personne qui est derrière cette initiative originale est le Rav Yaakov Tsvi Ben Ari, l’émissaire des kibboutzim en Terre d’Israël. Il est l’inventeur du logo Machia’h avec la couronne si célèbre qui apparaît sur les drapeaux et sur les pin’s que l’on remarque tellement. Nous l’avons questionné sur le bilan de cette année 5784 et ses projets pour l’année qui arrive 5785…

LPSG : Rav Yaakov Ben Ari, nous vous avions déjà interviewé sur l’invention du logo Machia’h dans l’article qui se nomme « Petit Prince, dessine-moi une couronne » (paru dans le livre «Le Point sur la Guéoula» édition 5784). Nos lecteurs aimeraient savoir votre bilan pour l’année qui se termine, une année marquée par la guerre…
RYBA : Peu de temps après le début de la guerre, j’ai voulu produire une certaine quantité de ces écussons, dans la couleur jaune familière, afin que les soldats puissent les attacher à leurs bérets. J’ai contacté un Juif dénommé Yoël qui m’a réservé bon accueil et m’a montré des modèles de divers produits qu’il fabrique pour l’armée. À ce moment-là, une nouvelle idée a germé en moi : «Pourquoi ne pas remplacer les couleurs familières du logo par les couleurs militaires, le vert et le noir ?». Il a relevé le défi et j’ai rapidement pu disposer des cent premiers écussons, le «Patch Machia’h» était né…

LPSG : Quel a été la réaction des soldats ?
RYBA : Les soldats les ont raflés en quelques minutes. Nous en avons produit 300 autres, qui sont partis en coup de vent. J’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose… Nous avons commencé à les produire en Chine en quantité industrielle, et aujourd’hui, environ cent mille écussons ont déjà été distribués aux soldats.

LPSG : Comment une telle production s’est-elle écoulée ?
RYBA : Chaque jour, nous distribuions plusieurs milliers de patchs. Avant de commencer cette opération je pensais que seuls de « simples » soldats non-gradés seraient intéressés. Mais pas du tout. différents capitaines, officiers, colonels etc. se sont présentés eux aussi pour recevoir leur «Patch Machia’h» . Chaque jour, je me tenais aux mêmes points d’où les soldats vont à Gaza, et je distribuais des milliers de patchs, et c’est ainsi que nous sommes arrivés au chiffre phénoménal diffusé, par d’autres émissaires et même les personnes du commun, de simples Juifs s’en sont procurés, en bref tout le monde raffole du «Patch Machia’h».

LPSG : Et donc notre dernière question est : quels sont vos projets pour l’année qui arrive ?
RYBA : En fait, vu l’engouement pour le concept de « L’Armée du Roi Machia’h », on est obligé de conclure que le Rabbi Chlita Roi Machia’h va vite prendre les choses en main. Et donc mes projets sont d’augmenter sérieusement la production tout d’abord du « Patch Machia’h », mais aussi des drapeaux, des pin’s, des magnets, des porte-cles et pour ceci bien entendu je recherche des investisseurs. Vous pouvez me contacter par Whatsapp au : 0523284220 (LPSG)


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Diffuser les prodiges des Iguerot Kodech
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


Eliahou Chemech de Tsfat, est un jeune homme qui a grandit dans un foyer qui ne respectait pas la Torah ni les Mitsvot. Son enfance était étrangère aux valeurs du Judaïsme. Il était habitué à ce que pendant le Chabbat, il partait faire des randonnées à cheval ou allait à la plage. Pourtant, la Providence Divine, petit à petit l’entraîna vers les sentiers de la ‘Hassidout et les enseignements du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h.

 

Tout a commencé quand Eliahou a fait son service militaire, pendant lequel, il entendit pour la première fois parler des Iguerot Kodech et des miracles réalisés par l’intermédiaire de ce livre saint. Il s’est donc procuré l’un de ces volumes. Néanmoins, ne sachant pas comment s’en servir, il rangea le précieux livre sur une étagère, à l’abandon…

Quelques années passèrent et Eliahou fit la connaissance de sa future épouse. Un jour, alors que celle-ci fit une visite à son domicile, elle remarqua la présence du livre des Iguerot Kodech. La fiancée avait étudié, dans son enfance, dans une école ‘Habad. Elle savait, par conséquent, comment utiliser les Iguerot Kodech. Elle expliqua au jeune homme qu’il était possible de solliciter la bénédiction du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. Ensemble, les deux décidèrent de demander une bénédiction pour leur mariage.

Et en effet, ils ouvrirent le volume des Iguerot Kodech et purent lire une claire bénédiction pour le mariage et pour fonder un foyer sur la base de la Torah et des Mitsvot. Les deux connurent une grande émotion en lisant cette magnifique réponse.

Et le mariage eut lieu. Une grande joie fut célébrée à cette occasion. Pourtant, quelques jours après ce grand moment, il y eut une tragédie. L’ami proche d’Eliahou, un ami de l’armée fut tué. Eliahou refusa cette réalité et ne put accepter la perte de son ami. A la suite de l’événement, ses rapports avec son supérieur à l’armée se détériorèrent. Ceci contribua à la baisse de son moral.

Son épouse fut touchée par l’état de son mari. Plusieurs mois passèrent et elle ne vit pas d’amélioration… Elle prit l’initiative d’utiliser de nouveau le livre des Iguerot Kodech. La réponse de nouveau contenait des paroles d’encouragement et qu’il valait mieux se séparer des angoisses, des peurs et plutôt de positiver pour finalement recevoir le « cadeau qui viendra très prochainement du ciel »…

Et, doucement mais sûrement, Eliahou ressentit fortement les mots du Rabbi, se releva de son épreuve, put entrevoir de nouveaux horizons et finalement, peu de temps après, son épouse lui annonça qu’elle attendait un enfant…

Après les premiers mois emplis de joie et de bonheur. Un jour qu’elle vint faire quelques examens et constater que tout se passait comme il faut. Les médecins annoncèrent au jeune couple que le fœtus ne se développait pas convenablement. D’après eux, la situation était si grave qu’il pourrait naître avec de gros problèmes psycho-moteurs. Ils conseillèrent d’avorter (que D.ieu préserve)…

Eliahou et son épouse furent perturbés, que faire ? La seule chose qui les sauvaient les sauveraient certainement aujourd’hui aussi… Les Iguerot Kodech. Et la réponse fut bien claire : « …La grossesse se poursuivra normalement et leur enfant naîtra en bonne santé… ». C’est la réponse qu’ils donnèrent aux médecins. Deux mois plus tard, lors de l’examen pré-natal, ceux-ci constatèrent que le fœtus se développait merveilleusement bien et finalement la naissance eu lieu et un beau garçon naquit dans la famille Chemech.

Grâce à tout cet enchaînement de réponses des Iguerot Kodech, Eliahou se renforça jusqu’à devenir un ‘hassid ‘Habad. Il termine son témoignage par le message suivant : « vu la grandeur des réponses dans les Iguerot Kodech, je me suis dit, pourquoi garder ces miracles et prodiges juste pour moi seul? Il y a deux mois de cela, j’ai monté une association dont le but sera de promouvoir les Iguerot Kodech et de diffuser cet outil des temps messianiques et le mettre à la disposition du large public… ». (Traduit de la Si’hat HaGuéoula par l’équipe de LPSG).


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Votre Hebdomadaire est Paru Le Point sur la Guéoula n°673 – Paracha Nitsavim-Vayele’h
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


A imprimer, à voir sur votre smartphone, votre iphone, votre ordinateur… et grâce à lui vous préparer pour la Guéoula, la Délivrance finale !


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Elloul : Les Derniers Jour
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


Le Roi est dans les Champs… Encore Quelques Jours

Les gens simples comme nous peuvent encore pendant les quelques jours qu’il reste, Lui demander la bonne santé, la Parnassa (une bonne situation financière) le Chalom avec tous les Juifs, avec nos voisins, dans la famille, dans la maison, en un mot, nous voulons la Guéoula maintenant, le Beit HaMikdach tout de suite !!!


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Shmoolik : «Une Année de Création et d’Innovation»…
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Cette année a été particulière pour nous tous. J’ai sorti deux singles, «Le sable et le sabre» et «Don’t Want to Let Go».

J’ai également exposé mes toiles au centre d’art de ma ville, Bet Shemesh. Pour l’année à venir, je prévois de sortir unnouveau morceau : «Le Dernier des Combats», fusionnant spiritualité et innovation musicale, tout en continuant à développer des concepts visuels uniques qui accompagneront mes créations avec l’aide de D.ieu. (LPSG)


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Rav Yaacov Corda et sa famille en Mission spéciale en Corse
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Cette année à été intensive de plus d’une façon puisqu’elle a commencée par la guerre. J’ai donc augmenté mes engagements dans la diffusion de la ‘Hassidout.

Aussi, dès que le Chalia’h Rav Mena’hem Volica m’a proposé de m’engager dans sa Yechiva, le « Tsema’h Tseddek » à Nathanya pour enseigner, j’ai accepté immédiatement. Même si je devais pour ce faire, bloquer toutes mes matinées. Pourtant, à l’approche de l’été nous nous sommes embarqués avec ma petite famille pour une Mission spéciale en Corse qui se place surtout, depuis plusieurs années, sous le signe de la Cacherout.. Après la distribution Cachère dans les super-marchés, nous avons monté une pizzeria Cachère pour les milliers de touristes juifs venus essentiellement de France. Et sous les directives du Rav Michaël Abichid, c’est une grande réussite nous recevons les clients sur notre terrasse… Mes projets pour la prochaine année ? La Guéoula complète et véritable comme seule et unique alternative. (LPSG)


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La Révolution des Téfilines à TLV
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Deux semaines se sont écoulées depuis la tempête médiatique qui a suivi l’incident des Téfilines à Tel Aviv. Dans une vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux, on voit un ‘hassid ‘Habad, le Rav ‘Haïm Cho’hat, mettre des Téfilines à un ado devant le lycée de Tel-Aviv. Puis un homme âgé s’approcha d’eux, en criant, et tenta de lui arracher les Téfilines des mains… L’incident a fait le buzz et a conduit à une attirance générale pour la Mitsva des Téfilines.

 

« D.ieu merci, il y a un éveil de la part des lycéens. Ils disent qu’eux aussi veulent se connecter avec D.ieu, et moi, pour ma part, je leur parle du Machia’h, et leur explique qu’en portant les Téfilines, nous accueillons Machia’h. Après l’incident filmé, je suis arrivé à l’école et il y avait des lycéens qui n’avaient pas l’habitude de mettre les Téfilines, mais là, ils ont dit : « Nous avons vu cette vidéo et nous voulons mettre les Téfilines, rapprocher la Délivrance, la Guéoula et voulons la révélation du Roi Machia’h Maintenant ! ». (LPSG)


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Scoop : A la Yéchiva du Roi Machia’h, on fait des Miracles…
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Avi’haï a conduit son fauteuil roulant jusqu’à la Yechiva du Roi Machia’h à Jérusalem. Jusqu’à récemment, c’était un jeune homme en pleine santé. Sa vie était calme et heureuse et il ne souffrait d’aucun problème médical, jusqu’à ce que soudainsa vie change au-delà de toute mesure…

 

Un beau jour, alors qu’ Avi’haï traversait la route comme il le fait tous les jours, une voiture l’a heurté de plein fouet… Il est tombé sur la route saisi d’une douleur intense. Le moindre mouvement lui coûtait une souffrance énorme. Les équipes de secours l’ont évacué vers le centre médical le plus proche, où les meilleurs médecins se sont précipités et l’ont soigné avec dévouement.

Le personnel médical insista à plusieurs reprises sur le fait qu’Avi’haï devait remercier D.ieu d’être sorti vivant de l’accident. Cela aurait facilement pu se terminer par le pire… Mais en plus de la joie d’un côté dans son cœur d’être sauvé, Avi’haï avait aussi un sentiment d’abattement et de désespoir : suite à l’accident, il est devenu paralysé…

Sa vie remplie de joie avait été brusquement interrompue alors qu’il ne pouvait plus marcher sur ses deux jambes. Il devra rester confiné à un fauteuil roulant pour le reste de sa vie… Il est rentré chez lui avec des sentiments mitigés, essayant de digérer cette infrmation et de s’habituer à sa nouvelle condition physique.

Au cours des longues journées dont il disposait désormais, il a commencé à apprendre à effectuer les tâches quotidiennes en fauteuil roulant, mais ce n’était pas facile. Puis, un jour, la nouvelle est tombée : « il existe un centre médical aux Etats-Unis, qui se spécialise dans la réalisation d’opérations chirurgicales compliquées, même pour une mauvaise condition physique comme celle d’Avi’haï ».
S’il s’y rend et subit une opération, il pourra se lever et marcher sur ses jambes – bien qu’avec des béquilles, mais marcher… Juste marcher. Comme c’est le cas pour de telles chirurgies, l’opération, ainsi que le voyage dans une telle situation en Amérique, coûtent une petite fortune. De plus, l’opération risque de ne pas réussir, de sorte que les tracas et l’investissement financier seront vains. Mais Avi’hai a décidé qu’il « y allait ». Voulant marcher à nouveau sur ses deux jambes, il voulait que l’opération soit réussie et qu’il puisse enfin marcher.

Avi’haï a décidé de venir à la Yechiva du Roi Machia’h à Jérusalem, dirigée par l’émissaire du Rabbi Chlita de Loubavitch, Rav Doron Oren, pour demander une bénédiction pour le succès de cette opération. Il déversa son cœur sur une feuille blanche et l’inséra dans le tome onze des Iguerot Kodech (les Correspondances Saintes).

La réponse qu’il a reçue, à la page 136, l’a étonné : « … Il m’écrit l’opinion du médecin sur l’amélioration de sa santé, et qu’il soit de Sa Volonté qu’il aille et marche vers le mieux jusqu’à recouvrer la santé complètement… Et ces jours-ci sont ceux du temps du don de notre Torah qui apporte la guérison au monde, et comme l’explique longuement, également le Midrach « Chemot Rabba », tout Israël était en bonne santé pour recevoir la Torah. Je vous adresse ma bénédiction en matière de santé, physique et spirituelle… ». Le Rabbi Chlita Roi Machia’h écrit explicitement une bénédiction de bonne santé ! Mais surtout, ces mots ont attiré son attention : « Qu’il aille et marche vers le mieux jusqu’à recouvrer la santé complètement… ».

Avi’haï a compris que cela signifiait non seulement une amélioration générale de sa santé, mais que c’était une bénédiction qu’il pourrait enfin marcher ! Et en fait, puisqu’il y avait déjà une bénédiction claire du Rabbi, alors pourquoi devrait-il s’embêter, voyager à l’étranger et payer une fortune pour l’opération, alors qu’il a déjà une bénédiction du Prince de la génération, de toute façon ?!
Avi’haï a décidé qu’il y croyait ! La bénédiction aura lieu dans tous les cas de figure, même s’il n’effectue pas l’opération… Et c’est avec cette pensée qu’il quitta la Yéchiva.

Quelques semaines passèrent, et un beau jour, Avi’haï réapparut à l’entrée de la Yéchiva. Le Rav Doron Oren n’en croyait pas ses yeux… Oui, ce jeune homme marchait sur ses deux jambes ! Certes, avec des béquilles, mais le fauteuil roulant avait bel et bien disparu. Merci Hachem. (Traduit de la Si’hat HaGuéoula n°1516 par l’équipe du Point sur la Guéoula)


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Danser Dans les Rues !!!
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Et voici comment le Dvar Mal’hout des français définit la situation :

La nécessité d’évoquer ces sujets, par delà l’expression de reconnaissance envers D.ieu, est de faire « Pirsoumei Nissa », de faire connaître les miracles de D.ieu, car l’avènement messianique dépend de cela. Nous devons donc tous faire connaître les miracles que D.ieu fait pour nous, en ayant conscience que cela est lié avec la Délivrance messianique. En particulier au moment de ‘Hanouka, dans lesquels il convient d’organiser chaque jour des réunions ‘hassidique, « Farbrenguen », dans lesquels on dira des paroles de Torah, dans les domaines du Talmud et de la ‘Hassidout, et surtout de « Pirsoumei Nissa ».


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Pendant le spectacle des merveilles de la Guéoula, on mange des Pop Corns… Merci Hachem !
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Les Merveilles de la Guéoula se font jour et se dévoilent pour nous permettre de remercier Hachem… Est venu le temps de mettre la musique à fond et de danser dans les rues avec les drapeaux jaunes !!!


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