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Gabriel Beckouche





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5785 : Un Mois de Tichri en Délivrance Actuelle
Gabriel Beckouche Posted On 1 novembre 2024


Lors de la Parachat Noa’h, nous sommes beaucoup plus clairvoyants que lors du Chabbat Béréchit pour constater de l’ampleur de ce que nous vivons à l’échelle mondiale. Que ce soit au niveau des miracles comme l’élimination des ennemis d’Israël aussi bien au niveau personnel et les merveilles que chacun vit dans sa vie privée…

 

Tout d’abord, dans l’édition spéciale de votre hebdomadaire de l’actuelle Délivrance, nous vous avons préparé une rétrospective en image de notre quartier général, « Beit ‘Hayénou » au 770 à New-York Brooklyn. Le point fort fut surtout les danses de « Sim’hat Beit Hachoéva » où tous les Juifs de toutes les tendances sont venus vivre dans les rues de Crown Heights, la joie de la fête de Souccot, et entraîner cette folie de la Sainteté à se répandre dans le monde.

A une échelle plus nationale, nous avons aussi les danses de remerciement pour les merveilles de la Guéoula à Jérusalem.

A l’échelle municipale, nous avons fêté au Beit ‘Habad Francophone de ‘Hédéra les deuxièmes Hakafotes avec un magnifique lancer de ballons pour la libération des otages avec le Chalia’h Rav Méïr Hayun.

Et c’est à l’échelle individuelle que grâce à la bénédiction du Rabbi Chlita Roi Machia’h, mon mari Gabriel ‘Haïm a été sauvé, grâce à D.ieu, et ses émissaires qui ont dit Tehilim pour sa santé (merci à eux) et grâce à D.ieu, il a pu sortir de l’hôpital en bonne santé. Merci Hachem. (Menou’ha Ra’hel Beckouche)


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L’être humain demande le respect des Sept Mitsvot Noa’hides
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Cette histoire du couple Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche s’est passée il y a trois ans de cela à l’hôpital Ziv de Tsfat. « Ma fille avait un rendez-vous chez le docteur. Mon épouse devait l’accompagner et je me suis dit que je pourrai aussi bien me joindre à elles, pour poser quelques paires de Téfilines, comme je le faisais à Jérusalem à l’hôpital Chaarei Tseddek…

 

Croyez-moi si vous le voulez, mais après des dizaines d’essais, il n’y avait pas un seul Juif qui n’avait pas mis les Téfilines. Alors j’ai réfléchi et je me suis occupé des non-Juifs pour leur Sept Mitsvot Noa’hides… Les arabes. Oui parfaitement. Si l’on s’occupait des arabes en leur enseignant ces Sept Lois, cela fait bien longtemps qu’il n’y aurait plus un seul attentat.

Je me suis assis à la table de deux arabes. Un qui s’appelle Ali et l’autre Ahmed. Je leur ai proposé de lire la petite carte où l’on peut voir les Sept Mitsvot en arabe. J’ai déjà été de nombreuses fois en contact avec des arabes et l’accueil a toujours été excellent. Mais là ce fut au-delà de toute attente. A peine Ali a t-il posé les yeux sur cette carte que son compagnon lui demanda si j’étais sérieux… Ali l’a regardé comme on regarde un malheureux plaisantin et lui dit en hébreu : « Tu sais, cette homme sur la photo c’est le Roi Machia’h ! – Et l’autre de répondre en me regardant : « Mais nous aussi on a un Machia’h qui doit venir – Mais il lui répondit pour moi : « Oui mais lui c’est le Machia’h de toute l’humanité… ».
Et Ali me raconta son expérience avec les ‘Habad qui disent que le Rabbi est le Roi Machia’h. Il me dit qu’il avait toujours été bien perçu chez eux et qu’il suivait leurs actions. En retour, je lui ai raconté un épisode assez particulier qui m’était revenu en mémoire.

« Un jour, je devais poser mon stand de Téfilines au supermaché Rami Lévy à Jérusalem, mais grâce à D.ieu, j’avais quelqu’un qui pouvais me remplacer. Et donc, j’ai pu m’installer à la solderie Maxstock, non loin de là. J’ai pu mettre pas mal de paires de Téfilines et j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup d’employés arabes. Par conséquent, lorsque je faisais une pause avec les Téfilines, je pouvais m’occuper de diffuser les Sept Mitsvot Noa’hides en arabe grâce à mes petites cartes. Il y avait un jeune homme, un arabe, qui m’aborda. Il me demanda ce qu’étaient les Lois imprimées sur cette carte. Je lui répondit brièvement. C’est alors qu’il me confia qu’on lui avait proposé un Million de Shekels s’il rejoignait les rangs d’un mouvement terroriste (bien connu) s’il s’engageait à faire un attentat. Je lui ai expliqué (en prenant mon temps) ce que gagne un homme à rejoindre un groupe comme celui-ci et tout cet argent qu’il va toucher. Par contre, je lui ait dit ce qu’il gagnera à accomplir des actes de grandeur. Et bien, il a compris ce que tout être humain peut déduire et mériter réellement une récompense et même sans aucune récompense. Juste pour Hachem, en l’aimant et le servant. C’est pourquoi, ce vendredi-là, ce jeune homme a renoncé à rejoindre ce groupe terroriste ».

Et maintenant je voudrais donner la parole au Rav Zalman Notik qui est, lui aussi un militant de poids sur les Sept Mitsvot Noa’hides. Il a prononcé ce discours lors d’un Rassemblement Machia’h et Guéoula de mon Rav et Machpia le Rav Zimroni Tsik : « Au sujet des non-Juifs, le Rav Boaz Kali devait parler lors du Kinous HaChlou’him et il m’a dit : « je devrais prendre la parole aujourd’hui mais exceptionnellement, je voudrais rafraîchir mon discours et que ce soit toi qui parle… ». Il m’avait parlé deux jours auparavant. Comment vais-je moi, rafraîchir le discours de Boaz Kali ? Je me dirige alors vers le 770 et je vois devant moi, une pyramide humaine de milliers d’émissaires du Rabbi Chlita Roi Machia’h… Les légions du Roi.

Soudain arrive un Chalia’h des USA, un proche parent, et il dit : « Ouille, je l’ai raté ! ». Puis il sort de sa poche un bonbon… Il s’approche d’un photographe non-Juif, et lui dit de répéter en anglais après lui : « Barou’h Ata Hachem… Chehakol Nihya Bidvaro ». Il lui tend le bonbon et lui fait une bise sur chaque joue et lui dit : « Rendez moi service, prennez-moi en photo et avec photoshop, vous m’introduirez dans la grande photo ok ? »… J’observe la scène de côté et je me dis que je n’ai jamais vu une telle chose de ma vie. Où est-on ? Dans les Messibot Chabbat ? Mais je me tais. Certainement que je ne comprends pas tout ce que je vois. Bref, ce moment passe, et cet émissaire me dit alors : « Ma voiture est garée à deux rues d’ici, tu peux m’accompagner ? ». J’acquiesce et on fait ce bout de chemin ensemble. Soudain un gardien d’origine musulmane vient trouver mon cousin, sur sa veste apparaît son nom « Muhamad ». Et ce Chalia’h commence à entretenir ce non-Juif sur les Sept Mitsvot Noa’hides pendant dix bonnes minutes. Je ne comprends pas non plus cette scène. Mais le jeune arabe lui dit : « Je suis près, si tu le désires à garder ta voiture pendant encore une heure et demi ». Mon cousin me dit alors : « Tu as l’air surpris. N’est-ce pas ? Mais ta surprise ne fait que commencer. Je vais te raconter maintenant comment je gagne ma vie… Je suis directeur financier d’un organisme dont je tairais le nom. Et je me suis dis : « Comment je ramène de l’argent maintenant ? ». Il y a une directive du Rabbi que l’argent vient lorsqu’on s’occupe des Sept Mitsvot des non-Juifs. J’ai donc monté ce que j’ai nommé : « Le Beit Chalom », ou la tente d’Avraham Avinou sur l’une des autoroutes non-loin d’ici. Le conducteur fatigué y reçoit du café, des gâteaux, un lit pour se reposer pendant trois heures, il peut voir des vidéos sur l’histoire d’Avraham Avinou, sur les Sept Commandements Noa’hides. Et les non-Juifs qui voient cela ne peuvent rester insensibles. Ils donnent de l’argent, des sommes conséquentes et c’est ainsi qu’ils soutiennent des institutions ‘Habad… ».

En ce moment – poursuis le Rav Notik – j’enseigne la ‘Hassidout dans un Beit ‘Habad de Jérusalem à Abu Tor, un quartier Juif à côté d’un village arabe. Le directeur en est le Rav Roy Olliel, un grand gaillard très sympathique. Un jour je viens pour le cours et je lui dis : « Aujourd’hui, j’ai un plan. On va descendre dans le quartier arabe, on va rencontrer le maire du village et on va lui demander l’autorisation d’enseigner dans l’une écoles les Sept lois de Noé. Qu’en penses-tu ? ». Roy me dit : « Tu es sûr ? C’est quand même risqué ! ». Je lui ai répondu que telle était la volonté du Roi Machia’h, diffuser ces sept lois chez les non-Juifs. Néanmoins, il me suivit dans mon entreprise (non sans se munir de son ‘Hitat pour plus de sécurité) et nous voilà en route pour le village arabe. Il fallait descendre une grande côte et au bout d’un moment, nous arrivâmes vers un homme âgé assis sur une chaise. Je demandai : « Connaissez-vous le Mukhtar (le maire) du village ? ». L’homme me regarda exactement comme s’il voyait devant lui un extra-terrestre. Il me dit : « Et qu’est-ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». « On veut lui parler des Sept lois des descendants de Noé » en parlant je lui tends une carte où sont imprimées les Sept lois en arabe. Il me dit alors : « Continuez tout droit et vous y êtes ». On a poursuivis notre descente vers ce qui avait l’air inquiétant d’un gouffre… Puis on est arrivé à hauteur d’une épicerie. En arrivant nous avons demandé au jeune qui tenait ce magasin s’il connaissait le Mukhtar. Il nous répondit : « Et qu’est ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». Je lui fit la même réponse qu’au vieux monsieur plus haut. Il me dit : « Écoutez, je suis son fils et il sera là dans une heure et demi revenez, je vous le présenterai ». Une heure et demi plus tard, nous sommes revenus armés de nos publications en arabe sur les Sept lois et là, le jeune nous présenta son père un Cheikh arabe avec la moustache typique, un personnage haut en couleur. Il nous reçu chaleureusement et nous offrit à boire. Je commençais mon exposé sur l’histoire Juive et celle des Sept Mitsvot. Il écouta attentivement mais au bout d’une bonne heure il me demanda : « Mais qu’est-ce qu’il en est de Machia’h dans tout cela ? »… Alors là, il m’avait surpris. Le Rabbi me disait en cela que c’est par cela qu’il fallait commencer… Je lui répliquai en lui exposant les paroles du Rabbi Chlita Roi Machia’h sur la Guéoula. Mais il s’entêtait à répéter les sombres prophéties des musulmans à ce sujet. Qu’il y aura une grande guerre et que seraient tués tous les chrétiens etc. Je lui dit alors : « Lors de l’époque messianique, il n’y aura plus de guerres… Les nations vivront en paix. Je lui montrais alors la photo du Rabbi en lui expliquant que voici, c’est le Roi Machia’h et que je suis son émissaire ». Et, pour finir, je terminais sur une note joyeuse et pacifique. Puis je lui soumettais ma demande, de nous laisser parler dans une école arabe du quartier. Il me répondit : « Dans ce quartier ce ne sera pas possible les jeunes y sont assez violents, mais dans un autre quartier, je me ferais un plaisir de vous introduire »…

Mon fils m’a raconté, la semaine dernière, qu’il était à l’aéroport Kennedy et il allait d’un commerce à l’autre pour poser les Téfilines aux Juifs qui travaillaient là-bas. Au bout d’un certain temps, il se tourne vers une personne et lui dit : « Voulez-vous mettre les Téfilines? ». Et celui-ci de lui répondre : « Je suis un arabe, de Ramlé ». Mon fils lui répliqua : « Excusez-moi de vous avoir proposé de mettre les Téfilines, mais est-ce que je peux vous parler des Sept lois de Noé ? ». Ils ont discuté quelques minutes et c’est alors que le jeune homme, arabe de Ramlé, lui dit : « Ecoutez, je peux vous aider à mettre les Téfilines aux gens, je travaille ici et je sais qui est Juif et qui ne l’est pas ». En effet, grâce à lui, ils ont réussi à mettre une grande quantité de paires de Téfilines, et ceux qui ne voulaient pas les mettre, ce jeune arabe parlait avec eux et tentait de les convaincre…
Tel est le monde d’aujourd’hui. Le monde pendant l’ère messianique. Soyons des Juifs du futur, des Juifs de la Guéoula. Partout où l’on se rend, avoir toujours sur soi les cartes des Sept Mitsvot Noa’hides. Et on voit les miracles… Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd… » (Extrait du livre « Le Point sur la Guéoula »)


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Le Point sur la Guéoula n°676 – Spécial Souccot 5785
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Un éditorial qui mérite d’être traduit en langue arabe et publié dans tous les médias en arabe. Ouvrez les yeux et réveillez-vous Peuple Arabe et changez votre mode de fonctionnement … Publiez et diffusez les Sept Lois Noa’hides dans tous les médias en arabe pour votre survie, pour votre propre nom, pour votre réussite, de la part d’Israël, des Enfants d’Israël, le Peuple de l’Eternel ! Avec notre bénédiction… Machia’h Now !


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Iguerot Kodech et Likoutei Si’hot : Les prodiges de la Guéoula…
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Lorsque Rav Yaacov Elias s’est inscrit à un stage de formation en jardinage, il pensait que c’était uniquement dans le but de trouver du travail. Mais rapidement, il se rendit compte que ce stage cachait en lui beaucoup plus qu’une simple formation. Et chaque jour, c’était lui qui formait les gens à un stage au sujet du Machia’h, sur la Guéoula, sur la Nouvelle Torah et sur le rôle de notre génération qui consiste à rapprocher la Délivrance finale…

 

En fait, plus il expliquait les choses et plus les participants à cette formation voulaient en savoir plus. Leur foi grandissait chaque jour et ils questionnaient Yaacov sur tous les sujets, voire sur des questions personnelles, et même sur des sujets particulièrement sensibles. Yaacov, pour sa part répondait avec patience dans les domaines qu’il connaissait. Mais pour les choses plus sérieuses, qui ne souffrent pas de réponses conventionnelles, il conseillait d’écrire au Rabbi Chlita Roi Machia’h. Il promettait qu’ils ne seraient pas déçus et qu’ils verraient des réponses adaptées. « Insèrez votre lettre dans ce livre des allocutions (Likoutei Si’hot), des discours (Maamarim) ou dans les correspondances saintes (Iguerot Kodech). Ensuite vous ouvrirez le livre à l’endroit où se trouve votre lettre. Si vous lisez avec attention ce qui est écrit dans la page, vous trouverez la réponse à votre question ».

Malheureusement, certains élèves doutaient manifestement et ironisaient, se moquant de ses conseils. Pourtant au fil du temps, ces réactions qui frôlaient parfois le ridicule, disparaissaient petit à petit et d’autres suivaient les conseils avisés de Yaacov et ces mêmes personnes déclaraient avoir vécu un miracle après avoir ouvert le livre du Rabbi. En fin de compte les élèves attendaient chaque jour les réponses des Iguerot Kodech.

L’histoire du bédouin

Les choses en arrivèrent à un point où un non-Juif qui participait à la formation en jardinage, un bédouin qui se trouvait à la veille d’un jugement au Tribunal. Il demanda, lui aussi, s’il pouvait écrire au Rabbi Chlita Roi Machia’h. Yaacov lui répondit : « Bien sûr, il n’y a aucun problème ». Après avoir écrit sa lettre, le bédouin dit « Ye’hi Adoneinou… » comme le lui avait indiqué Yaacov.
Il inséra sa lettre dans un volume des « Likoutei Si’hot » que Yaacov apportait régulièrement avec lui et il ouvrit à la page 70 (vol. n°1 des allocutions) et il demanda au bédouin de lire au début de la page. Il lut et au fur et à mesure qu’il lisait sa voix faiblissait jusqu’à devenir un murmure : « …Et la signification de ceci est que même le Goy, lui-même, intérieurement et dans sa racine (or la racine de chaque chose se trouve dans la Sainteté), il sait et il ressent le besoin de rajouter de la Kedoucha, de la Sainteté… ».

Le bédouin baissa les yeux et dit, presque en bégayant : « C’est incroyable comment il a vu ce qui me dérangeait véritablement… Le Rabbi a vu mon éloignement de toute chose qui touche à la Sainteté, même selon les conceptions d’un Goy, et même la déprime que cela me cause, cet éloignement… Ce n’est pas pour rien que je pense que vais sûrement perdre ce jugement au Tribunal. C’est la punition qui me revient de droit ».
Rav Yaacov l’observa comme un maître regarde son élève et lui dit : « Ainsi vous parle le Rabbi Chlita Roi Machia’h : « rajoutez de la Kedoucha, de la Saineté », ce qui signifie qu’il faut accomplir certaines Mitsvot de la Sainteté véritable. Si vous les faîtes, vos sentiments vont s’améliorer et vous remporterez votre jugement au Tribunal. De plus vous ressentirez un allègement dans votre vie, car elle commencera à suivre un parcours juste et droit spirituellement ». Le bédouin demanda ce qu’il devait faire concrètement. Alors Yaacov lui expliqua le sens des « Sept Commandement des Descendants de Noé » qui portent sur les non-Juifs. Le bédouin a pris sur lui, non seulement de les accomplir, mais de plus, d’influencer son entourage bédouin à accomplir aussi les Sept Mitsvot…
L’histoire du bédouin fit une profonde impression sur tous les élèves du stage, mais surtout sur les personnes réticentes à cette nouvelle forme de « bénédiction instantanée » qu’avait apporté avec lui Rav Yaacov Elias.

Révélations

Parmi ces derniers réticents, il y avait un certain Avraham, un jeune homme, plein d’ironie, qui n’avait pas sa langue dans la poche. Il ne cessait de se moquer de Yaacov et de ses « ‘hassidim » qui avaient «osé» demander conseil grâce aux Likoutei Si’hot et aux Iguerot Kodech. Pourtant, sitôt que Avraham avait ouï dire que même le bédouin avait rejoint le clan des « ‘hassidim », il changea complètement de point de vue et prit, clairement, au sérieux, les différents miracles, que vivaient ses compères du stage de formation en jardinage.

Et soudainement ce fut justement Avraham « le cynique », qui, en fait, vivait un véritable drame, incarné dans un être cher, sans que personne ne s’en douta. Puis, ne pouvant plus se contenir, il demanda à Rav Yaacov : « Apprenez-moi, s’il vous plaît, à écrire une lettre et implorer la bénédiction, c’est pour quelque chose de très important que je voudrais demander ».

Avraham écrivit sous la direction de Yaacov, la lettre au Rabbi et l’introduisit dans le même volume des Likoutei Si’hot et l’ouvrit à la page 28. Il commença à lire : « Dans la Paracha de la semaine, il est dit : « Et Sarah mourut à Kiriat Arbaa… et ce qu’en dit le Zohar : « Et Sarah mourut », lorsque le corps meurt, « Et Avraham vint… faire l’oraison funèbre et la pleurer »…

A la fin de la lecture, Avraham pâlit et se tint à la table, comme s’il était pris de vertige. Yaacov attendit que Avraham reprenne ses esprits et qu’il lui explique la raison de son émotion. Il s’essuya le front, qui était trempé de sueurs froides, et il confia : « Maman se trouve actuellement en France et elle doit subir, très bientôt, une opération à cœur ouvert. Je dois, moi-même, interrompre le stage et me rendre en France et rester à son chevet jusqu’à ce qu’elle se rétablisse complètement. Mais maintenant qu’on a lu ce verset sur la mort de Sarah, je ne sais plus quoi penser. Le nom de ma mère est « Sarah ». Mon nom est « Avraham ». Et nous sommes exactement quatre frères (Kiriat Arbaa). Or toute ces versets font allusion au décès de ma mère… c’en est trop pour moi ! ».

Annulation du décret

Rav Yaacov le rassura et lui dit : « L’un des enseignements du Rabbi Chlita Roi Machia’h est : « Pense bien, tout ira bien », prenez sur vous une bonne décision comme récéptacle pour la bénédiction ». Après quelques négociations, Avraham prit sur lui de jeûner pour Yom Kippour et de donner de la Tseddaka (charité) chaque jour… « Maintenant que vous avez pris ces bonnes décisions. Nous allons, de nouveau, ouvrir le livre du Rabbi ».
Avraham inséra la nouvelle lettre contenant les bonnes décisions toujours dans le même volume des « Likoutei Si’hot » et cette fois, la réponse se trouvait à la page 126. Avraham lut la réponse et sa voix tremblait d’émotion et ses yeux étaient pleins de larmes : « De la même façon, qu’à l’époque, lorsqu’ils sont sortis des griffes du Pharaon, à l’époque de Moché Rabbénou et de Myriam. La joie des femmes fut beaucoup plus grande que celle des hommes, car au moment du décret, les mères se sont élevées au-dessus des pères… Ainsi, même la joie qui intervient lorsqu’on sort d’un décret, or cette joie est beaucoup plus intense chez les femmes Juives ».
« Ton Rabbi parle de la joie des femmes – murmura Avraham – peut-être que cela veut dire que ma mère va subir son opération et va vivre et se réjouir ? ». « Oui – répondit Rav Yaacov Elias – vous avez vraiment mérité d’une réponse pleine de bonnes nouvelles, et la première lettre contenait un décret qui a été annulé par la seconde réponse. Ce souci vous a été ôté et vous pouvez vous réjouir sans honte, de cette bonne nouvelle ».

Le lendemain matin, Avraham vint trouver Yaacov et lui annonça, souriant d’une oreille à l’autre : « Ecoutez, après que j’eus donné la Tseddaka hier, j’ai appelé ma mère en France, et quel ne fut pas mon bonheur quand ma mère m’a annoncé que les médecins lui ont affirmé que sa santé s’est tellement renforcée qu’il n’y a plus aucun besoin d’une opération ». Merci Hachem et merci au Rabbi Chlita Roi Machia’h qui opère des prodiges en ces temps de Délivrance actuelle…

(Traduit par l’équipe de LPSG
du livre «Niflaot A’hchav»)


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Danser et Chanter dans les Rues pour Remercier Hachem !
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Votre hebdomadaire qui vous relie à l’actualité comme un quotidien ! Le Point sur la Guéoula n°675 vous fait vibrer sur la corde de la Délivrance actuelle…


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Le Journal « Le Point sur la Guéoula » n°674
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Le Point sur la Gueoula 674 – Roch Hachan 5784


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Il viendra te chercher et te prendra par la main…
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Lorsque le Rabbi Chlita Roi Machia’h, nous dit dans le Dvar Mal’hout à propos de la France que : « La nécessité d’évoquer ces sujets, par delà l’expression de reconnaissance envers D.ieu, est de faire « Pirsoumei Nissa », de faire connaître les miracles de D.ieu, car l’avènement messianique dépend de cela. Nous devons donc tous faire connaître les miracles que D.ieu fait pour nous, en ayant conscience que cela est lié avec la Délivrance messianique… ». C’est ce que vas nous rapporter Menou’ha Ra’hel Beckouche (Directrice du journal) dans l’histoire qui va suivre…

 

« J’étais partie en France pour une dizaine de jours afin de promouvoir l’édition de notre livre « Le Point sur la Guéoula » et mon retour était prévu pour le dimanche 19 Elloul, 22/09. C’était un vol sur la compagnie Lufthansa. Le vol a été repoussé à mercredi, puis il est passé sur Air France (encore repoussé) le lendemain, jeudi.

Le cauchemard commence

Donc je me prépare au départ. Lever à cinq heure du matin, on embarque vers 10h30. Jusqu’ici tout va bien.
Au bout de trois heures de vol, on nous annonce qu’il y a un problème technique et que nous rentrons sur Paris à 40 minutes de Tel-Aviv. Et c’est là que commence le cauchemar…
Je vous donne une photo d’ensemble. Un vol composé d’israéliens, et de familles Juives nombreuses (Grâce à D.ieu) en provenance du Canada (qui avaient donc fait escale à Paris) avec des bébés… Nous retournons donc sur Paris (six heures de vols en tout). On demande pourquoi on ne descend pas sur Tel-Aviv, qu’on nous dépose, et l’avion sera réparé au sol. Pas du tout. On nous répond des arguments incompréhensibles… Bref, on retourne à Paris. Je n’avais pas rééllement prévu de l’alimentation et il n’y avait pas de repas Cachères, donc toute cette aventure se passe en mode régime, je n’avais que quelques carrés de chocolat et (offert grâcieusement pas l’équipage) du jus de tomate !… et c’est tout pour deux jours. De plus en Erets Israël les missiles tombaient dans tout le Pays et la guerre s’intensifiait au Sud-Liban. Et moi je voulais retourner auprès de mon mari et ma famille déportée de Tsfat qui sont pour l’instant chez nous (à cause des missiles), inutile de décrire mon état d’anxiété. Surtout que nous étions à la veille des fêtes et je ne voulais pas être seule à Paris sans ma famille. Il était hors de question pour moi de rester un instant de plus, en France. Et surtout vivre ces moments de Guéoula en Erets Hakodech.

 

Retour à Paris

Donc… Retour à la case départ, l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. A l’aller, tout était bien organisé, navettes, personnel d’accueil, prise en charge. Mais là, au retour, il n’y avait pratiquement plus rien…
On a donc marché, tous ensemble, des kilomètres… des images d’exil, de la guerre, des images de déportation, me revenaient en tête. Les enfants qui pleurent, les parents, les bagages à main, des Juifs, des religieux, on étaient comme pris en otage…
Et au bout du parcours, les hôtesses nous attendent pour nous dire qu’il fallait continuer encore quelques kilomètres, (on est désolées mais on manque de logistique…).
On était épuisé, moralement, physiquement et on étaient jeudi à la veille de Chabbat.

 

Antisémitisme

En fin de compte tout le monde a été placé dans des hôtels… sauf moi. Encore des arguments «technico-antisémites». Après m’être révoltée et avoir protesté, ils m’ont donné une chambre dans un hôtel glauque. Il a fallu ensuite attendre deux heures une navette pour nous déposer dans les hôtels. Il faisait froid et on avait toujours rien à manger. Hommes, femmes, enfants, personnes âgées. Il y avait beaucoup d’israéliens. Arrivée dans l’hôtel je me suis endormie tout de suite.

Vendredi matin, une navette vient nous prendre, le chauffeur parlant au téléphone dit : « j’ai une cargaison de Juifs dans la voiture ». Je lui réponds du tac-au-tac : « Oui mais il y en a qui comprennent le français et qui vous permet de parler comme ça des Juifs ? ». Silence.

 

Le dernier Chabbat de l’année

On arrive dans la salle d’embarquement et tous les passagers Juifs, soudain, sortent leur Talit, Téfilines et commencent la prière du matin. Scène de Guéoula.
Dans l’avion, il y a du retard (certains passagers sont absents). On a décollé vers 11h45.
On est arrivé dans l’espace aérien israélien. L’avion a encore fait un tour pour perdre encore 15mn. Puis en fin de compte on a attéri et là tout l’avion criait «Barou’h Hachem! Thank You Hachem! Am Israël ‘Hay !» dans la joie de retrouver la Terre Sainte.
Chabbat tombait à 18h09 et il était 17h15 quand je suis sortie avec mes baggages dans la salle de la sortie des passagers dans un état de stress, vu l’heure de l’atterrissage, certains avaient abandonné leurs valises.
Mon gendre m’attendait avec mon petit-fils, j’étais enfin rassurée. Mais il nous faut, en général, pour arriver à la maison, un peu plus d’une heure. Comment va-t-on faire pour ne pas enfreindre le Chabbat. Et c’est là que commence le miracle de ma petite sortie d’Egypte…

 

Les Merveilles de la Guéoula

Tout d’abord, la voiture n’avait plus d’essence. Il fallait faire le plein. Ensuite devant nous, le pneu d’un camion de l’armée, avait explosé et ce n’est que par miracle que nous avons évité cette explosion qui nous aurait causé je ne sais quels dégats… Mais grâce aux douze Psoukim dits par mon petit fils et au «Yéhi Adoneinou», nous avons revécu le miracle de Yeochoua Bin Noun, le soleil, face à nous, semblait avoir arrêté sa course…
Et nous sommes rentrés à la maison quatre minutes avant Chabbat sous les acclamations de toute ma famille et les youyous… J’ai senti qu’Hachem était venu me chercher du profond de l’exil pour m’amener dans la Terre d’Israël, le Pays de la Guéoula. (Menou’ha Ra’hel Beckouche)

NB : Mon mari Gabriel ‘Haïm en rentrant de la Synagogue nous a annoncé: «L’armée de l’air a liquidé Nasrala !». Quand D.ieu donne, c’est jusqu’au bout. Jusqu’à la Guéoula… Merci Hachem !


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L’année des Plaot HaGuéoula… Les Infos des Prodiges de la Délivrance Actuelle
Gabriel Beckouche Posted On 16 octobre 2024


Incroyable : Les Merveilles se dévoilent vraiment Tous les Jours

 

Impossible de ne pas voir, de ne pas constater à quel point D.ieu se dévoile à Ses serviteurs le Peuple Juif, dans son ensemble et en particulier… Chez moi !


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L’Armée du Roi Machia’h et les Patchs de la Guéoula
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


La télévision arabe y a déjà consacré de précieuses minutes en prime-time, couvrant cet incroyable phénomène. Un grand nombre de chars et de véhicules blindés de transport des troupes, opérant dans la bande de Gaza, portent fièrement le drapeau du Machia’h flottant et visible de loin. Plusieurs milliers de soldats ont même mis le «Patch Machia’h» sur leurs uniformes…

 

Le «Patch Machia’h» est devenu l’un des symboles les plus populaires de la guerre actuelle. La personne qui est derrière cette initiative originale est le Rav Yaakov Tsvi Ben Ari, l’émissaire des kibboutzim en Terre d’Israël. Il est l’inventeur du logo Machia’h avec la couronne si célèbre qui apparaît sur les drapeaux et sur les pin’s que l’on remarque tellement. Nous l’avons questionné sur le bilan de cette année 5784 et ses projets pour l’année qui arrive 5785…

LPSG : Rav Yaakov Ben Ari, nous vous avions déjà interviewé sur l’invention du logo Machia’h dans l’article qui se nomme « Petit Prince, dessine-moi une couronne » (paru dans le livre «Le Point sur la Guéoula» édition 5784). Nos lecteurs aimeraient savoir votre bilan pour l’année qui se termine, une année marquée par la guerre…
RYBA : Peu de temps après le début de la guerre, j’ai voulu produire une certaine quantité de ces écussons, dans la couleur jaune familière, afin que les soldats puissent les attacher à leurs bérets. J’ai contacté un Juif dénommé Yoël qui m’a réservé bon accueil et m’a montré des modèles de divers produits qu’il fabrique pour l’armée. À ce moment-là, une nouvelle idée a germé en moi : «Pourquoi ne pas remplacer les couleurs familières du logo par les couleurs militaires, le vert et le noir ?». Il a relevé le défi et j’ai rapidement pu disposer des cent premiers écussons, le «Patch Machia’h» était né…

LPSG : Quel a été la réaction des soldats ?
RYBA : Les soldats les ont raflés en quelques minutes. Nous en avons produit 300 autres, qui sont partis en coup de vent. J’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose… Nous avons commencé à les produire en Chine en quantité industrielle, et aujourd’hui, environ cent mille écussons ont déjà été distribués aux soldats.

LPSG : Comment une telle production s’est-elle écoulée ?
RYBA : Chaque jour, nous distribuions plusieurs milliers de patchs. Avant de commencer cette opération je pensais que seuls de « simples » soldats non-gradés seraient intéressés. Mais pas du tout. différents capitaines, officiers, colonels etc. se sont présentés eux aussi pour recevoir leur «Patch Machia’h» . Chaque jour, je me tenais aux mêmes points d’où les soldats vont à Gaza, et je distribuais des milliers de patchs, et c’est ainsi que nous sommes arrivés au chiffre phénoménal diffusé, par d’autres émissaires et même les personnes du commun, de simples Juifs s’en sont procurés, en bref tout le monde raffole du «Patch Machia’h».

LPSG : Et donc notre dernière question est : quels sont vos projets pour l’année qui arrive ?
RYBA : En fait, vu l’engouement pour le concept de « L’Armée du Roi Machia’h », on est obligé de conclure que le Rabbi Chlita Roi Machia’h va vite prendre les choses en main. Et donc mes projets sont d’augmenter sérieusement la production tout d’abord du « Patch Machia’h », mais aussi des drapeaux, des pin’s, des magnets, des porte-cles et pour ceci bien entendu je recherche des investisseurs. Vous pouvez me contacter par Whatsapp au : 0523284220 (LPSG)


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Diffuser les prodiges des Iguerot Kodech
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


Eliahou Chemech de Tsfat, est un jeune homme qui a grandit dans un foyer qui ne respectait pas la Torah ni les Mitsvot. Son enfance était étrangère aux valeurs du Judaïsme. Il était habitué à ce que pendant le Chabbat, il partait faire des randonnées à cheval ou allait à la plage. Pourtant, la Providence Divine, petit à petit l’entraîna vers les sentiers de la ‘Hassidout et les enseignements du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h.

 

Tout a commencé quand Eliahou a fait son service militaire, pendant lequel, il entendit pour la première fois parler des Iguerot Kodech et des miracles réalisés par l’intermédiaire de ce livre saint. Il s’est donc procuré l’un de ces volumes. Néanmoins, ne sachant pas comment s’en servir, il rangea le précieux livre sur une étagère, à l’abandon…

Quelques années passèrent et Eliahou fit la connaissance de sa future épouse. Un jour, alors que celle-ci fit une visite à son domicile, elle remarqua la présence du livre des Iguerot Kodech. La fiancée avait étudié, dans son enfance, dans une école ‘Habad. Elle savait, par conséquent, comment utiliser les Iguerot Kodech. Elle expliqua au jeune homme qu’il était possible de solliciter la bénédiction du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. Ensemble, les deux décidèrent de demander une bénédiction pour leur mariage.

Et en effet, ils ouvrirent le volume des Iguerot Kodech et purent lire une claire bénédiction pour le mariage et pour fonder un foyer sur la base de la Torah et des Mitsvot. Les deux connurent une grande émotion en lisant cette magnifique réponse.

Et le mariage eut lieu. Une grande joie fut célébrée à cette occasion. Pourtant, quelques jours après ce grand moment, il y eut une tragédie. L’ami proche d’Eliahou, un ami de l’armée fut tué. Eliahou refusa cette réalité et ne put accepter la perte de son ami. A la suite de l’événement, ses rapports avec son supérieur à l’armée se détériorèrent. Ceci contribua à la baisse de son moral.

Son épouse fut touchée par l’état de son mari. Plusieurs mois passèrent et elle ne vit pas d’amélioration… Elle prit l’initiative d’utiliser de nouveau le livre des Iguerot Kodech. La réponse de nouveau contenait des paroles d’encouragement et qu’il valait mieux se séparer des angoisses, des peurs et plutôt de positiver pour finalement recevoir le « cadeau qui viendra très prochainement du ciel »…

Et, doucement mais sûrement, Eliahou ressentit fortement les mots du Rabbi, se releva de son épreuve, put entrevoir de nouveaux horizons et finalement, peu de temps après, son épouse lui annonça qu’elle attendait un enfant…

Après les premiers mois emplis de joie et de bonheur. Un jour qu’elle vint faire quelques examens et constater que tout se passait comme il faut. Les médecins annoncèrent au jeune couple que le fœtus ne se développait pas convenablement. D’après eux, la situation était si grave qu’il pourrait naître avec de gros problèmes psycho-moteurs. Ils conseillèrent d’avorter (que D.ieu préserve)…

Eliahou et son épouse furent perturbés, que faire ? La seule chose qui les sauvaient les sauveraient certainement aujourd’hui aussi… Les Iguerot Kodech. Et la réponse fut bien claire : « …La grossesse se poursuivra normalement et leur enfant naîtra en bonne santé… ». C’est la réponse qu’ils donnèrent aux médecins. Deux mois plus tard, lors de l’examen pré-natal, ceux-ci constatèrent que le fœtus se développait merveilleusement bien et finalement la naissance eu lieu et un beau garçon naquit dans la famille Chemech.

Grâce à tout cet enchaînement de réponses des Iguerot Kodech, Eliahou se renforça jusqu’à devenir un ‘hassid ‘Habad. Il termine son témoignage par le message suivant : « vu la grandeur des réponses dans les Iguerot Kodech, je me suis dit, pourquoi garder ces miracles et prodiges juste pour moi seul? Il y a deux mois de cela, j’ai monté une association dont le but sera de promouvoir les Iguerot Kodech et de diffuser cet outil des temps messianiques et le mettre à la disposition du large public… ». (Traduit de la Si’hat HaGuéoula par l’équipe de LPSG).


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Votre Hebdomadaire est Paru Le Point sur la Guéoula n°673 – Paracha Nitsavim-Vayele’h
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


A imprimer, à voir sur votre smartphone, votre iphone, votre ordinateur… et grâce à lui vous préparer pour la Guéoula, la Délivrance finale !


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Elloul : Les Derniers Jour
Gabriel Beckouche Posted On 25 septembre 2024


Le Roi est dans les Champs… Encore Quelques Jours

Les gens simples comme nous peuvent encore pendant les quelques jours qu’il reste, Lui demander la bonne santé, la Parnassa (une bonne situation financière) le Chalom avec tous les Juifs, avec nos voisins, dans la famille, dans la maison, en un mot, nous voulons la Guéoula maintenant, le Beit HaMikdach tout de suite !!!


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Shmoolik : «Une Année de Création et d’Innovation»…
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Cette année a été particulière pour nous tous. J’ai sorti deux singles, «Le sable et le sabre» et «Don’t Want to Let Go».

J’ai également exposé mes toiles au centre d’art de ma ville, Bet Shemesh. Pour l’année à venir, je prévois de sortir unnouveau morceau : «Le Dernier des Combats», fusionnant spiritualité et innovation musicale, tout en continuant à développer des concepts visuels uniques qui accompagneront mes créations avec l’aide de D.ieu. (LPSG)


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Rav Yaacov Corda et sa famille en Mission spéciale en Corse
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Cette année à été intensive de plus d’une façon puisqu’elle a commencée par la guerre. J’ai donc augmenté mes engagements dans la diffusion de la ‘Hassidout.

Aussi, dès que le Chalia’h Rav Mena’hem Volica m’a proposé de m’engager dans sa Yechiva, le « Tsema’h Tseddek » à Nathanya pour enseigner, j’ai accepté immédiatement. Même si je devais pour ce faire, bloquer toutes mes matinées. Pourtant, à l’approche de l’été nous nous sommes embarqués avec ma petite famille pour une Mission spéciale en Corse qui se place surtout, depuis plusieurs années, sous le signe de la Cacherout.. Après la distribution Cachère dans les super-marchés, nous avons monté une pizzeria Cachère pour les milliers de touristes juifs venus essentiellement de France. Et sous les directives du Rav Michaël Abichid, c’est une grande réussite nous recevons les clients sur notre terrasse… Mes projets pour la prochaine année ? La Guéoula complète et véritable comme seule et unique alternative. (LPSG)


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La Révolution des Téfilines à TLV
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Deux semaines se sont écoulées depuis la tempête médiatique qui a suivi l’incident des Téfilines à Tel Aviv. Dans une vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux, on voit un ‘hassid ‘Habad, le Rav ‘Haïm Cho’hat, mettre des Téfilines à un ado devant le lycée de Tel-Aviv. Puis un homme âgé s’approcha d’eux, en criant, et tenta de lui arracher les Téfilines des mains… L’incident a fait le buzz et a conduit à une attirance générale pour la Mitsva des Téfilines.

 

« D.ieu merci, il y a un éveil de la part des lycéens. Ils disent qu’eux aussi veulent se connecter avec D.ieu, et moi, pour ma part, je leur parle du Machia’h, et leur explique qu’en portant les Téfilines, nous accueillons Machia’h. Après l’incident filmé, je suis arrivé à l’école et il y avait des lycéens qui n’avaient pas l’habitude de mettre les Téfilines, mais là, ils ont dit : « Nous avons vu cette vidéo et nous voulons mettre les Téfilines, rapprocher la Délivrance, la Guéoula et voulons la révélation du Roi Machia’h Maintenant ! ». (LPSG)


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Scoop : A la Yéchiva du Roi Machia’h, on fait des Miracles…
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Avi’haï a conduit son fauteuil roulant jusqu’à la Yechiva du Roi Machia’h à Jérusalem. Jusqu’à récemment, c’était un jeune homme en pleine santé. Sa vie était calme et heureuse et il ne souffrait d’aucun problème médical, jusqu’à ce que soudainsa vie change au-delà de toute mesure…

 

Un beau jour, alors qu’ Avi’haï traversait la route comme il le fait tous les jours, une voiture l’a heurté de plein fouet… Il est tombé sur la route saisi d’une douleur intense. Le moindre mouvement lui coûtait une souffrance énorme. Les équipes de secours l’ont évacué vers le centre médical le plus proche, où les meilleurs médecins se sont précipités et l’ont soigné avec dévouement.

Le personnel médical insista à plusieurs reprises sur le fait qu’Avi’haï devait remercier D.ieu d’être sorti vivant de l’accident. Cela aurait facilement pu se terminer par le pire… Mais en plus de la joie d’un côté dans son cœur d’être sauvé, Avi’haï avait aussi un sentiment d’abattement et de désespoir : suite à l’accident, il est devenu paralysé…

Sa vie remplie de joie avait été brusquement interrompue alors qu’il ne pouvait plus marcher sur ses deux jambes. Il devra rester confiné à un fauteuil roulant pour le reste de sa vie… Il est rentré chez lui avec des sentiments mitigés, essayant de digérer cette infrmation et de s’habituer à sa nouvelle condition physique.

Au cours des longues journées dont il disposait désormais, il a commencé à apprendre à effectuer les tâches quotidiennes en fauteuil roulant, mais ce n’était pas facile. Puis, un jour, la nouvelle est tombée : « il existe un centre médical aux Etats-Unis, qui se spécialise dans la réalisation d’opérations chirurgicales compliquées, même pour une mauvaise condition physique comme celle d’Avi’haï ».
S’il s’y rend et subit une opération, il pourra se lever et marcher sur ses jambes – bien qu’avec des béquilles, mais marcher… Juste marcher. Comme c’est le cas pour de telles chirurgies, l’opération, ainsi que le voyage dans une telle situation en Amérique, coûtent une petite fortune. De plus, l’opération risque de ne pas réussir, de sorte que les tracas et l’investissement financier seront vains. Mais Avi’hai a décidé qu’il « y allait ». Voulant marcher à nouveau sur ses deux jambes, il voulait que l’opération soit réussie et qu’il puisse enfin marcher.

Avi’haï a décidé de venir à la Yechiva du Roi Machia’h à Jérusalem, dirigée par l’émissaire du Rabbi Chlita de Loubavitch, Rav Doron Oren, pour demander une bénédiction pour le succès de cette opération. Il déversa son cœur sur une feuille blanche et l’inséra dans le tome onze des Iguerot Kodech (les Correspondances Saintes).

La réponse qu’il a reçue, à la page 136, l’a étonné : « … Il m’écrit l’opinion du médecin sur l’amélioration de sa santé, et qu’il soit de Sa Volonté qu’il aille et marche vers le mieux jusqu’à recouvrer la santé complètement… Et ces jours-ci sont ceux du temps du don de notre Torah qui apporte la guérison au monde, et comme l’explique longuement, également le Midrach « Chemot Rabba », tout Israël était en bonne santé pour recevoir la Torah. Je vous adresse ma bénédiction en matière de santé, physique et spirituelle… ». Le Rabbi Chlita Roi Machia’h écrit explicitement une bénédiction de bonne santé ! Mais surtout, ces mots ont attiré son attention : « Qu’il aille et marche vers le mieux jusqu’à recouvrer la santé complètement… ».

Avi’haï a compris que cela signifiait non seulement une amélioration générale de sa santé, mais que c’était une bénédiction qu’il pourrait enfin marcher ! Et en fait, puisqu’il y avait déjà une bénédiction claire du Rabbi, alors pourquoi devrait-il s’embêter, voyager à l’étranger et payer une fortune pour l’opération, alors qu’il a déjà une bénédiction du Prince de la génération, de toute façon ?!
Avi’haï a décidé qu’il y croyait ! La bénédiction aura lieu dans tous les cas de figure, même s’il n’effectue pas l’opération… Et c’est avec cette pensée qu’il quitta la Yéchiva.

Quelques semaines passèrent, et un beau jour, Avi’haï réapparut à l’entrée de la Yéchiva. Le Rav Doron Oren n’en croyait pas ses yeux… Oui, ce jeune homme marchait sur ses deux jambes ! Certes, avec des béquilles, mais le fauteuil roulant avait bel et bien disparu. Merci Hachem. (Traduit de la Si’hat HaGuéoula n°1516 par l’équipe du Point sur la Guéoula)


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Danser Dans les Rues !!!
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Et voici comment le Dvar Mal’hout des français définit la situation :

La nécessité d’évoquer ces sujets, par delà l’expression de reconnaissance envers D.ieu, est de faire « Pirsoumei Nissa », de faire connaître les miracles de D.ieu, car l’avènement messianique dépend de cela. Nous devons donc tous faire connaître les miracles que D.ieu fait pour nous, en ayant conscience que cela est lié avec la Délivrance messianique. En particulier au moment de ‘Hanouka, dans lesquels il convient d’organiser chaque jour des réunions ‘hassidique, « Farbrenguen », dans lesquels on dira des paroles de Torah, dans les domaines du Talmud et de la ‘Hassidout, et surtout de « Pirsoumei Nissa ».


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Pendant le spectacle des merveilles de la Guéoula, on mange des Pop Corns… Merci Hachem !
Gabriel Beckouche Posted On 18 septembre 2024


Les Merveilles de la Guéoula se font jour et se dévoilent pour nous permettre de remercier Hachem… Est venu le temps de mettre la musique à fond et de danser dans les rues avec les drapeaux jaunes !!!


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Le Peintre de la Guéoula, Yasha Knecht
Gabriel Beckouche Posted On 11 septembre 2024


Découvrez le peintre et graphiste qui a contribué à notre site www.viveleroi770.com. A l’origine un pur artiste qui n’hésitera pas à partir en Terre Sainte en moto… Le détail d’une vie qui sera raconté (bli neder) avec joie et plaisir dans la nouvelle édition du livre « Le Point sur la Guéoula édition 5785″…


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Le Bilan du Mois d’Elloul 5784
Gabriel Beckouche Posted On 11 septembre 2024


Les émissaires du Rabbi Chlita Roi Machia’h nous dévoilent le but de leur mission, cette semaine le Rav Lévik Bisberg de l’Institut Francophone de Hala’ha nous offre un point de vue qui concerne la méditation que chaque émissaire doit avoir à la base de son service… Le Rav Mena’hem Ouanounou qui s’occupe du centre pour les jeunes, les soldats et les tout petits nous raconte le but de sa mission à Hédéra


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Le Scoop de cette semaine, le Beit ‘Habad de Namibie en Afrique
Gabriel Beckouche Posted On 11 septembre 2024


Ils s’enfoncèrent dans la noirceur de la nuit avec un butin volumineux plein les main. Au matin, tout le quartier parlait du terrible cambriolage. Le Beit ‘Habad dirigé par le Rav Yossef Re’himi, qui se trouve plus loin dans la même rue, a également été évoqué ce jour-là. La description de la maison en question avait attiré l’attention du Rabbin. Il connaissait bien cette maison. En effet, y a un mois et demi de cela, il avait négocié le bail du bâtiment pour le compte du Beit ‘Habad, mais les négociations ont échoué et n’ont abouti à aucun protocole d’accord. Il s’avère que les voleurs avaient attaqué cette maison justement parce qu’elle était éloignée et isolée des autres maisons. Maintenant, Rav Yossef Re’himi vit la Divine Providence qui le gardait, et l’avait protégé de ne pas louer cette maison dangereuse…

 

Il y a trois ans, Rav Yossef Re’himi et son épouse, avec un petit bébé de deux mois, sont arrivés en Namibie (en Afrique) pour y ouvrir un Beit ‘Habad. Afin de préparer encore un autre endroit sur le globe pour accueillir le Roi Machia’h. Ils ont loué un grand bâtiment et ont entrepris un grand nombre d’activités : les prières, les cours de Torah et de ‘Hassidout, de l’alimentation Cachère pour les voyageurs, et bien plus encore.
En peu de temps, le bâtiment était devenu trop étroit pour accueillir les nombreux visiteurs. De plus, le propriétaire a annoncé, sans équivoque, qu’il ne prolongerait pas le contrat de location. Lundi, la semaine dernière, était fixée la date à laquelle la famille Re’himi et le Beit ‘Habad devait quitter le bâtiment.

Lorsque Rav Yossef a écrit au Rabbi Chlita de Loubavitch, Roi Machia’h, la réponse était qu’il devait étendre l’activité et déménager dans un endroit beaucoup plus grand. Il chercha fièvreusement une structure appropriée, mais n’en trouva aucune. Les agents immobiliers locaux qu’il avait rencontré ont également affirmé qu’il n’y avait aucune propriété dans toute la région qui répondait à ses exigences.
Le temps pressait et toujours pas de structure appropriée. En tant qu’émissaire fidèle, Rav Re’himi demanda de nouveau une bénédiction du Rabbi pour trouver un moyen de sortir du pétrin dans lequel il se trouvait. La réponse du Rabbi à travers les Iguerot Kodech fut : «Le salut de Dieu arrive en un clin d’œil»…
Mercredi il y a quinze jours, moins d’une semaine avant la fin du bail, une bonne affaire a été découverte : un agent immobilier lui a proposé de louer un grand immeuble de 600 mètres carrés. Rav Yossef Re’himi examina le bâtiment, qu’il aima vraiment, mais le prix était beaucoup trop élevé. Les autres termes de l’accord étaient également trop difficiles. L’agent immobilier n’avait pas beaucoup d’espoir de pouvoir adoucir les exigences du propriétaire de l’immeuble. C’était un homme riche et grossier qui méprisait les gens « ordinaires »…

Rav Yossef Re’himi écrivit de nouveau au Roi Machia’h et reçut une réponse étonnante (Iguerot Kodech, vol. 17, page 256) : «Nous avons besoin du témoignage d’un certificat… Le certificat du Rabbinat suscite un sentiment plus respectueux parmi les auditeurs». Rav Yossef Re’himi a décidé de mettre sa compréhension logique de côté et s’est rendu à une réunion avec le propriétaire du bâtiment avec son certificat d’ordination rabbinique sous le bras.
Immédiatement au début de la réunion, Rav Yossef Re’himi a clairement fait comprendre à l’homme riche qu’il était le Grand Rabbin de Namibie, et comme preuve, il avait tous ses certificats rabbiniques.
L’homme riche fut très impressionné par les certificats, il a compris qu’il avait affaire à une personne importante, et « sur place » a accepté d’être flexible sur les termes de l’accord et il baissa même le prix de location…
Vendredi dernier, le contrat de bail a été signé pour un grand Mazal Tov, à la bonne heure ! Lorsqu’un émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h accomplit sans réfléchir les paroles du Roi, il peut être sûr que tout s’organisera tout seul, sans intervention humaine comme dans une histoire du Baal Chem Tov… (Traduit de la Si’hat HaGueoula n°1515 par l’équipe du Point sur la Guéoula)


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Le Point sur la Guéoula n°671 vous dévoile le secret de cette guerre
Gabriel Beckouche Posted On 11 septembre 2024


Dans ce numéro spécial Elloul 5784, alors que le Tsema’h Tseddek dans le Dere’h Mitsvote’ha, au commentaire sur la Mitsva de la Techouva, la repentance, dit que dans ce monde-ci, tout est comme une graine. Une graine d’arbre, contient en vérité l’arbre dans sa totalité sauf que tout est en potentiel, une partie donnera le fruit, l’autre la branche, la feuille etc. Dans la goutte de semence de l’homme, une partie donnera un oeil, l’autre un bras, une autre le crâne, le cerveau etc. Dans ce monde-ci tout y est en potentiel, et l’homme qui était un méchant peut, d’un coup, en une seconde, se transformer en un juste parfait. Dans le monde futur, ce ne sera plus possible, tout est déjà développé… Un juste reste un juste etc.

Dans cette guerre qui dure depuis près de douze mois, il y a le potentiel qui se dévoile et de l’exil tout se transforme en Délivrance en un seul instant, la Guéoula qui se dévoile ici et maintenant…


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Un Juif de Bat Yam à Las Végas…
Gabriel Beckouche Posted On 5 septembre 2024


Les faits, survenus dans la dernière quinzaine du mois d’Elloul 5778-2018 aux Etats-Unis, dans la ville de Las Végas, sont racontés par Sasson Aviad, le bénéficiaire même d’un miracle extraordinaire.

 

Sasson Aviad est conscient que sa présence aux Etats-Unis, à Las Vegas, dans le cadre de son activité commerciale, doit être considérée comme s’inscrivant dans la mission confiée par la Providence Divine, celle de répandre et de publier l’imminence de la Délivrance en tous les lieux…
Lorsqu’on le considère sur le plan superficiel, il n’apparaît pas, au premier regard, comme un Juif ‘hassidique, mais plutôt comme un israélien du modèle courant, comme nombre de ses semblables dans cette ville. Et cet aspect l’aide énormément à faire passer les messages, c’est du moins ce qu’il affirme.
«En de nombreuses circonstances», fait-il remarquer, «où j’ai l’occasion de parler avec les personnes que je rencontre, je les informe de la grande importance de se lier au Rabbi, roi Machia’h, de proclamer «Ye’hi Adonénou», et nombreux sont ceux qui m’accompagnent au Beth ‘Habad dans le but d’écrire et de solliciter sa bénédiction par le canal des «Iguerot Kodech».

Je dois reconnaître, avec une certaine fierté, que ma foi doit beaucoup au Rav Zimroni Tsik, de Bat-Yam, qui m’influença profondément, au cours des très nombreuses réunions (principalement le célèbre « Machia’h Bakikar ») qu’il avait organisées, et auxquelles j’assistais au cours des dernières années où j’habitais en Terre Sainte».
Les faits qui sont rapportés aujourd’hui furent relatés au cours d’un banquet de reconnaissance, organisé par Sasson, et auquel un public nombreux participait, pour un grand miracle dont il bénéficia, deux semaines auparavant.
Voici ce qu’il raconta : «Cela est survenu le lundi 16 Elloul, alors qu’ayant fait mes achats en produits Cachers, et particulièrement en viande. Je m’éloignais, à bord de mon véhicule, et tournai, au premier croisement, vers la droite. A ce moment, un véhicule commercial, qui démarrait sur cette voie, vint me percuter à grande vitesse sur l’arrière de ma voiture, emboutissant presque la moitié du véhicule, et m’envoyant vers l’avant avec une force considérable. Tout s’était déroulé en quelques fractions de seconde, et je réalisai soudain que j’étais en train d’effectuer une rotation de 360 degrés, sans avoir le moindre contrôle sur la voiture. A présent, j’étais face à un semi-remorque géant, vers lequel je fus projeté, pendant que mon véhicule finissait sa rotation.
L’avant de l’auto, où j’étais assis, encaissa alors un choc sévère. A cet instant, je pus me concentrer et je me mis à crier : «Chema Israël, Hachem Elokénou, Hachem E’had» Et, immédiatement, surgit du fond de moi la proclamation «Ye’hi Adonénou, Morénou VéRabbénou, Méle’kh HaMachia’h Léolam Vaed… Rabbi, sauve-moi!» Mon véhicule s’immobilisa à cet instant, pendant que de nombreuses voitures s’arrêtaient à ma hauteur, dans un concert de freins impressionnant. Celui qui contemplait ma voiture était certain qu’il ne s’y trouvait plus d’être vivant, or quelle ne fut pas la stupéfaction des témoins lorsqu’ils me virent en sortir, entier et indemne…

Le Chabbat qui suivit, lorsque assis au «Farbrenguen (réunion ‘hassidique)», je racontai ce grand miracle, ce fut pour moi l’occasion de rappeler au public la nécessité de conserver dans chaque véhicule un volume de «’Hitat» (‘Houmach, Téhilim et Tanya).
Je dois toutefois avouer que, malgré le soin méticuleux qui est le mien à toujours munir le véhicule que je conduis, de ce volume ainsi que d’une boite de Tséddaka, conformément aux recommandations du Rabbi, roi Machia’h, je l’avais oublié lors de ce déplacement…

Tous les hommes de la communauté, présents ce jour-là, prirent sur eux (et moi également) de munir chaque véhicule d’un ‘Hittat et d’une boite de Tséddaka, en formulant le souhait que l’on ne connaisse plus jamais ce genre d’événement. Et qu’au sein de tout notre peuple, nous méritions une inscription et une confirmation pour «une année bonne et douce dans tous les domaines». (Traduit par le Rav Pin’has Pachter)


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Le Roi Est Venu Dans Son Jardin !
Gabriel Beckouche Posted On 5 septembre 2024


Au mois de Elloul, nous avons l’habitude de vivre l’expérience de la proximité avec D.ieu en donnant l’image de l’Admour Hazaken «Le Roi est dans les champs». Mais cette année, en temps de guerre, on peut relier cela avec le discours «Je suis venu dans mon jardin». En effet ce discours exprime la guerre contre l’ennemi et le Roi d’Israël dilapide ses plus beaux trésors pour les soldats qui obtiennent la victoire contre Amalek…

 

L’image que donne l’Admour Hazaken est extraordinaire. Un grand roi, à son retour vers la ville et son palais, s’arrêta dans les champs où travaillaient les gens de la terre. Et, apercevant le carrosse royal poindre au loin, les fermiers posèrent leurs instruments agraires pour aller à la rencontre du roi et l’accueillir. Le roi, dans sa bienveillance, les reçut avec joie et chacun put venir et s’entretenir avec lui pour déposer leurs requêtes personnelles…
Dans ses discours portant sur le mois d’Elloul, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h commente avec abondance cette image. Il explique, notamment, que cette rencontre est emprunte de profondeur et que chaque Juif se confie alors au Roi (le Saint bénit soit-Il) et lui raconte ses difficultés. Il s’épanche devant Lui et demande des bénédictions pour son travail sur Terre afin de réussir la mission qui lui a été attribuée.
« Pourquoi, mais pourquoi je n’y arrive pas !? » demande t-il en sanglotant. « Pourquoi, suis-je prisonnier de mon exil interne, je recommence toujours à manquer de confiance en Toi, à faiblir dans ma crainte du ciel ? Père, sauve-moi, sauve-moi maintenant. Sauve-moi et tous les miens pour que nous ouvrions les yeux et voyons enfin la grande Délivrance que Tu nous as octroyé dans Ton immense bonté ! ».
Alors, le Saint béni soit-Il lui répond, souriant, calme et serein : « Mais, Je t’ai envoyé Mon Mena’hem, le roi Machia’h, qui te donnera la réponse à toutes tes questions. Et de plus, il te bénira des bonnes bénédictions que J’ai placé dans sa main. Tu n’as qu’à regarder son visage et il te répondra en toutes tes préoccupations. Et toi, sois juste dans la joie pour l’accueillir, la joie de la Guéoula que Je vous envoie maintenant… ». Que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne et douce année. (Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche)

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Histoire de Guéoula
Gabriel Beckouche Posted On 30 août 2024


Procéder avec Brightkeit (largesse d’esprit en Yiddish)…

 

Parallèlement à son rôle de Roch Collel et à une foule d’autres postes, le Dayan Rav Michaël Chlomo Abichid qui est le Rav de la Communauté ‘Habad à Ramat Beit Chemech Alef qui comprend quelques synagogues. Il a entrepris la construction d’un grand bâtiment à l’effigie du centre mondial de Loubavitch le 770. Ce bâtiment regroupera toutes les institutions, le Collel et la synagogue y compris un Mikvé.

 

Il raconte : « Il y a quelques temps, j’ai animé un Chabbat en cours et conférence en Torah à l’étranger. Pendant ce séjour, un important homme d’affaires a particulièrement apprécié mes cours et ma vision de la pédagogie éducative. Il m’a dit que si je venais aux Etats-Unis, il aurait tellement voulu que je parle avec l’un de ses garçons. Il s’agissait d’un enfant qui se rebellait contre ses parents.
Et lors de la période du Corona, je me suis rendu chez le Rabbi, et j’en ai profité pour passer chez cet homme d’affaire qui, entre temps s’était renforcé en Torah et suivait mes conseils. Je suis resté chez lui et j’ai parlé avec son fils rebelle. Et avec quelques rencontres et un peu de suivi, tout est grâce à D.ieu, rentré dans l’ordre.
En général, bien que nos institutions possèdent de nombreuses subventions et soutiens. Ce n’est pas dans mon habitude de solliciter personnellement les donateurs. Par contre, à l’heure où nous devons faire aboutir ce magnifique projet d’un 770 à Ramat Beit Chemech. Et que cette construction coûte plusieurs millions de Chekels, je suis donc sorti de mes habitudes. Je me suis donc tourné vers mes amis et élèves afin qu’ils ouvrent leur cœur en faveur de ce 770. A certains, j’ai proposé d’acquérir des salles. Nous sommes partis avec seulement un fond de 140000 shekels sur notre compte bancaire… ». Et il était clair qu’il y avait un besoin urgent de lever des fonds après que la pierre angulaire ait été posée, pour ce grand centre de diffusion hassidique qui était censé être établi ici à Ramat Beit Chemech.
À ce moment-là, j’ai demandé la bénédiction du Rabbi à travers les correspondances saintes, les Iguerot Kodech, où j’ai reçu la réponse qu’il fallait procéder avec Brightkeit (largesse d’esprit en Yiddish).
À ce moment-là, Rav Michael se souvint de son ami des USA, et décida de se tourner vers lui et de lui demander d’acquérir des salles… Les paroles des Iguerot Kodech « d’aller avec toute la Brightkeit » l’accompagnaient lorsqu’il appela son ami. Il prit une semaine de réflexion et il me contacta et me dit : « Rav Michaël, j’ai de bonnes nouvelles pour vous. Je vais prendre la salle dont on a parlé et je vais réaliser l’acquisition (150 000$) en trois versements, et tous les six mois, je transférerai un tiers de la somme, avec l’aide de D.ieu.. Je suis sûr que vous êtes content, n’est-ce pas Rav Michaël? », c’est alors que je m’entendis lui répondre : « En fait, pas tellement… on a besoin d’avancer rapidement, il faut trouver une solution ».
L’homme d’affaire fut étonné par la réponse, mais a réfléchi quelques secondes, puis m’a dit :  «  Il y a un moyen de transférer la totalité de la somme par l’intermédiaire d’une société que je posséde aux États-Unis. Cela nécessitera une certaine procédure, à la fin de laquelle le Rav sera en mesure de recevoir le montant total en une seule fois ».
C’était déjà un grand progrès, mais me se souvenant des mots clairs des Iguerot Kodech qui m’avaient conseillé de me comporter, en toute situation, « avec Brightkeit », je n’était pas satisfait de cela, et j’ai de nouveau refusé d’accepter cette solution… Il m’a répondu : « Laissez-moi réfléchir et je vous rappelle dans un petit moment ». Et en effet, il m’a rappelé quelques minutes plus tard et il m’a annoncé : « J’ai trouvé la solution que vous puissiez être viré sur le compte de l’association qui assignée à ce projet. Cependant, cela peut me prendre un certain temps afin de régler cette procédure un peu compliquée ». Je lui ai répondu : « J’ai besoin d’un don ici en Israël dès que possible, afin de payer le montant à l’entrepreneur », ai-je répondu à l’homme d’affaire surpris. Lorsqu’il a entendu cela, il a éclaté de rire : « La vérité, Rav, c’est que je suis constamment à la recherche de gens comme vous pour travailler pour moi, des personnes qui savent exactement ce qu’elles veulent… Vous m’avez convaincu. Demain je ferai en sorte que tout l’argent vous soit transféré en Erets Israël ». C’est ainsi que cela s’est réellement passé… C’est comme ça quand vous procédez avec tout le « Brightkeit, la largesse d’esprit » sur le conseil du chef de la génération grâce aux Iguerot Kodech. (Traduction LPSG)

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Le Point sur la Guéoula n°669
Gabriel Beckouche Posted On 30 août 2024


Le Meilleur Moment de Toute Ta Vie…

Dans la Parachat de cette semaine il y a deux versets qui ont retenu notre attention (14. 1,2) : « Vous êtes des enfants pour l’Eternel votre D.ieu…Car tu es un Peuple Saint et l’Eternel t’a choisi pour Lui être un Peuple préféré parmi tous les peuples qui sont à la surface de la terre ». Dans le Dvar Mal’hout, le Rabbi Chlita Roi Machia’h nous montre clairement à quel point il nous aime et à quel point Hachem nous aime…

 

C’est pour cette raison qu’au mois d’Elloul, Hachem s’habille dans le corps d’un roi de chair et de sang. Puis, il veut nous rencontrer en dehors du palais, aller dans les champs et accueillir chacun avec un visage souriant et nous offrir à chacun de nous ce dont nous avons besoin. En Elloul, le roi est dans les champs… Pourquoi ? Juste parce qu’il nous aime. Hachem qui reçoit chacun avec bienveillance et avec un visage souriant et lumineux. Et en plus Il veut nous offrir des cadeaux et le plus beau des cadeaux est l’instant présent, et quand nous en sommes conscients, nous ne faisons qu’un avec Havayé au-dessus du temps…

C’est pour cette raison aussi que nous vivons ce grand, cet exceptionnel moment, cet extraordinaire instant qui est… Maintenant, l’instant présent.

Un jour, on a demandé à l’épouse du Rabbi : « Quel est le moment le plus important dont vous vous souvenez ? ». la Rabbanite répondit sans hésiter : « Le plus grand moment, le plus extraordinaire moment dans ma vie, c’est… Maintenant, le moment présent ! ». Et voici la réponse de la Reine du monde épouse du Roi Machia’h, le Roi du monde.

Et c’est la raison pour laquelle je répond toujours à la question : « Quand viendra la Délivrance, quand viendra Machia’h ? ». Le Machia’h s’est dévoilé le 6 Iyar 5751 (Mai 1991). Il ne cesse de nous expliquer que la Délivrance est déjà là et surtout que D.ieu nous recrée à chaque instant de nouveau et recrée le monde, les mondes, toute la réalité, tous les jours à chaque instant. Alors, prends-le, vis le, et savoure l’instant présent car c’est le meilleur moment de ta vie… Tu peux le dire à tous en passant ce message autour de toi.
(Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche)


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Le Point sur la Guéoula n°666
Gabriel Beckouche Posted On 8 août 2024


Le Point sur la Gueoula 666 – Devarim 5784

Dans cette publication, l’accent est mis sur les Sept Lois Noa’hides, en page 4 un nouveau média est né, grâce au Rav Moshé Peretz, il s’agit du site

noahideacademy.org


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L’actualité de la Guéoula,
Gabriel Beckouche Posted On 8 août 2024


La tête dans les nuages du ciel…

Dans le Dvar Mal’hout de la Parachat Terouma, le Rabbi Chlita Roi Machia’h, nous donne un commentaire digne de la Nouvelle Torah du Machia’h. Sur le traité Taanit, dans la Guémara, il est dit : « De la même manière que dès qu’arrive le mois de Av, on diminue les manifestations de joie, ainsi, dès qu’entre le mois de Adar, on multiplie les manifestations de joie. Et donc, un Juif qui a un jugement avec un non-Juif le repoussera du mois de Av (qui n’est pas très chanceux) jusqu’au mois de Adar qui est plein de chance (pour les Juifs) ». Et la question que pose le Rabbi, est : Pourquoi mentionner en premier lieu, l’amertume du mois de Av, l’aspect chanceux et tout ce qui s’en suit ?

La raison en est que nous vivons actuellement la période qui suit « les jours du Roi Machia’h », c’est à dire que nous attendons, d’un instant à l’autre, que le Troisième Temple descende du ciel, plus beau (sans aucune commune mesure) que les deux premiers Temples. Et donc, lorsque nous parlons de l’actualité, c’est tout d’abord, de celle de la Guéoula, de la Délivrance. Et lors de ce moment extraordinaire, le mois de Adar, ou même les deux mois de Adar (comme cette année), vont mettre en relief l’aspect indicible de la joie qui se révèle, lors du mois de Mena’hem-Av, du neuf Av, qui sera plus fort que la forte joie et le faste de Pourim…

Cette magie s’est déjà révélée et chaque année prend beaucoup plus d’ampleur, au point que même les nations du monde qui connaissaient la réputation du mois de Av, remettent en cause la gravité de la destruction du Temple, pour lire la joie d’Hachem, Lui-même, qui commence à sourire à l’approche du troisième Temple qui, inexorablement, descend du ciel…

Quoi, il n’y aurait plus de mauvais signe pour les Juifs, il n’y aurait plus de période pendant laquelle, on peut librement, attaquer Israël ? En effet, est fini le temps des lamentations… Et maintenant, le moment est venu de nous réjouir à l’arrivée du Troisième Temple, à l’accueil du Roi Machia’h et les non-juifs deviennent des Bnei Noa’h et, par des danses, des chants, des drapeaux et des banderolles, eux aussi, célèbrent la bonne nouvelle de la Délivrance actuelle… (Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche)


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La joie sauve de la mort…
Gabriel Beckouche Posted On 23 juillet 2024


Les appareils de survie continuaient à fournir leur lot de sonorités ambiantes au département -enfants à l’hôpital Soroka de Beercheva, quand soudain, ces sons devinrent des alertes et sonnèrent beaucoup plus fort, beaucoup plus vite…

L’équipe de service se rendit en urgence au chevet de Hadar, petite fille de trois ans. Elle était couchée, ne bougeait pas les paupières, exactement comme quand elle était arrivée aux urgences, la semaine dernière. Seul le monitor pouvait différencier entre une attaque virale d’une nouvelle crise. Le virus ne laissait pas de répits au petit corps et l’enfant ne sortait plus du cercle infernal au point ou la guérison paraissait un vain espoir.

Le nom de Hadar était mentionné dans toutes les prières des membres du village « Avigaïl » de Har ‘Hevron d’où elle était originaire. La nouvelle qui tombée était insupportable pour tous les membres du village. Les médecins donnèrent leur diagnostique ; les jours de l’enfant étaient comptés (que D.ieu préserve)…

Et c’est avec ce sentiment d’urgence que le secrétaire du village contacta le Rav Yoram Charabi, émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h dans la ville de ‘Hevron, toute proche du village de Avigaïl. Lui aussi participait aux prières et aux psaumes pour la guérison de la petite Hadar. Il avait formé une chaîne de lecture des Tehilim, dans le caveaux des Patriarches. Pour l’instant, le secrétaire du village, implorait le Rav Yoram en tant que Chalia’h du Rabbi, de provoquer des merveilles au-delà de la nature à l’attention de la petite fille…

Le Rav Charabi écoutait tous les événements qui avaient entraîné le terrible diagnostic des médecins. Puis il en conclut qu’il était grand temps d’écrire au Rabbi Chlita Roi Machia’h dans les Iguerot Kodech (les Correspondances Saintes). Il prit une feuille blanche, emplit la page de demande implorante pour la petite Hadar, mit quelques pièces dans la boite de Tseddaka, il prit une bonne décision, se lava les mains et introduit la demande dans le volume 14 des Iguerot Kodech…

La réponse laissa le Rav Yoram stupéfait. Au lieu de souhaiter une prompte guérison, il lut des directives d’un tout autre style. Dans sa réponse, le Rabbi parlait d’un problème médical pour lequel on demandait une bénédiction. Le Rabbi disait que la solution à cette pathologie n’était autre qu’une amélioration de la situation morale du patient. Le Rabbi Chlita Roi Machia’h préconisait de ne plus penser à ces tracas, ne plus penser au stress qu’il subissait mais, bien au contraire de « servir D.ieu dans la joie »…

Le Rabbi analysait selon certaines références, que la vie au quotidien est une forme du service de D.ieu

En conclusion, le Rabbi écrivit que « De même qu’il avait été un émissaire pour lui soumettre sa question, il annoncera aussi l’amélioration de la situation ».

Une autre personne aurait certainement pris les propos des Iguerot Kodech avec quelques doutes, ou peut-être même aurait-il repoussé une telle réponse. Une réponse qui semblait tout à fait décalée par rapport à la réalité et le diagnostic des médecins. Comment est-il possible de réjouir une petite fille dans le coma ?

Mais, le Rav Yoram Charabi, n’était pas ce genre de personne. Bien au contraire, il avait une foi pleine et entière dans les paroles du Rabbi Chlita Roi Machia’h. Il était un exemple vivant d’une joie vibrante, une foi positive l’emplissait, un sourire était en permanence dessiné sur son visage lumineux. Sa riche expérience lui avait enseigné le pouvoir guérisseur de la joie en toute circonstance, le pouvoir de guérir toutes les plaies… Il appela donc le secrétaire du village et demanda à localiser, au plus vite, la maman de Hadar afin de l’aider à retrouver l’espoir et la joie bénie.

Le secrétaire lui répondit : « Parler à la mère de Hadar, cela me semble une mission impossible ». Selon lui, la mère était depuis longtemps, tombée dans un désespoir tel, qu’elle ne voulait parler à personne. Pourtant le Rav Charabi s’entêta : « Il s’agit d’un sujet de survie ! A mon avis, si la mère entend la réponse du Rabbi Chlita Roi Machia’h, la vie de Hadar peut être sauvée, contre toute attente ».

Après une recherche appropriée, le secrétaire rappela le Chalia’h, avec, en main, le numéro de la sœur de la maman de Hadar, qui restait constamment aux côtés de la mère de Hadar. « Peut-être trouverez-vous une oreille attentive et vous pourrez, peut-être, la convaincre… ».

Sans perdre un instant, le Rav Charabi composa le numéro. Au bout du fil, on pouvait entendre les cris et les pleurs de détresse qui emplissaient l’espace autour des deux sœurs. Pourtant, tout doucement, avec une sensibilité extraordinaire, le Rav Yoram, prononça l’éventualité d’une guérison divine, et que tels étaient les mots du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita. La joie allait sauver la petite fille. Seule, la joie allait faire son travail de rédemption. Il fallait faire preuve de foi et d’assurance que la joie devait insuffler à la petite fille, un nouveau souffle de vie.

Les bonnes nouvelles ne tardèrent pas à deferler. Dès le lendemain, la mère annonça au Rav Charabi, qu’elle s’était surpassée et avait fait l’impossible pour remonter la pente et qu’immédiatement, les médecins vinrent lui annoncer que, le plus gros danger s’était envolé et que Hadar allait vivre, grâce à D.ieu.

Le Rav Yoram continua à encourager la mère dans la joie de la guérison au point de contaminer son entourage. Jusqu’à ce que Hadar elle-même fut touchée…

Quelques jours passèrent et la petite fille ouvrit les yeux. On la débrancha des fils et du respirateur et Hadar respira de manière autonome. Puis, en fin de compte, elle guérit complètement et retourna dans sa chambre, à la maison, en bonne santé et dans la joie de la Guéoula. Merci Hachem. (Traduit du feuillet HaGuéoula par l’équipe de LPSG)


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Trois Semaines de Délivrance !
Gabriel Beckouche Posted On 23 juillet 2024


C’est pourtant dans le mois de Tamouz qu’il nous est ordonné de vivre la Guéoula. Le mois de Tamouz était auparavant le mois le plus «Galoutique» de l’année, le mois le plus malchanceux. Celui ou le Midrach sur la Méguilat Esther raconte que Haman le méchant avait soigneusement évité d’y lancer son funeste decret (de détruire le Peuple Juif) car ce mois de Tamouz était tellement malchanceux qu’il ne voulait pas, pour cette même raison, rater son coup…

Et c’est en 1927 (5687) que le Rabbi Rayats a été sauvé des geôles communistes et cet épisode de l’histoire a transformé le mois de Tamouz tout entier en un mois de Guéoula… Le trois (Guimel) Tamouz est une date grâce à laquelle on crée des Beit ‘Habad ou des Beit Machia’h en série.

Le douze et le treize Tamouz ont été, depuis ce moment, décrétés comme de vrais jours de fête pour l’Eternité. De joie de chants et de danses pour toujours. La Délivrance commence pendant ces jours-là. Pourquoi ? Parce que le Rabbi Chlita Roi Machia’h a fait de ce mois, le mois de la Délivrance de tous les Enfants d’Israël, où se dévoile l’intelligence suprême des «Guimel Mo’hine» de «Tamou Zaïne Midote», comme l’a dévoilé le Rav Rami Antiane au sujet de la nouvelle période : «aujourd’hui se termine la période du travail sur les sentiments et commence le dévoilement des Trois Forces Intellectuelles en soi».

Et c’est maintenant que cela se passe en Tamouz 5784. Alors, rentrez dans les trois semaines avec les bonnes lunettes, celles de la Guéoula, les lunettes de la Délivrance…

(Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche)


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