Tout le monde en a marre des politiciens, et ils comprennent que la seule solution à cette guerre, c’est la venue du Roi Machia’h. C’est vivifiant, c’est positif, c’est galvanisant, et en même temps c’est tellement douloureux que le réveil soit si plein de sang, comme la naissance d’un bébé ». Le retrait du Patch Machia’h a conduit à sa déclaration : « Même le lieutenant général Halevi, qui a commit une erreur, n’est pas mauvais, à D.ieu ne plaise. Quiconque n’étudie pas la ‘hassidout, sa vision des choses est faussée… Néanmoins, on lui attribue le fait que c’est par son intermédiaire que D.ieu a décidé de faire à nouveau la Une des médias. Le retrait de l’écusson Machia’h a entraîné une tendance à la hausse de la demande. Toute la publicité créée par cet incident jouera en notre faveur, et avec l’aide de D.ieu, le lieutenant-général Halevi reprendra la bonne voie », a déclaré Rav Yaakov Zvi. « J’ai commandé des dizaines de milliers de Patches supplémentaires. Je suis sur le terrain et je vois l’importance de la demande. Aujourd’hui en 5785, plus d’un an après le début de cette guerre. La compréhension et la reconnaissance de la nécessité du Machia’h ne font que croître parmi les soldats. À droite comme à gauche, tout le monde comprend que c’est la seule vraie solution. Le Dr Amos Sabo, un médecin en chef, a écrit à la suite du scandale qui a inondé les médias : « Je me suis porté volontaire en tant qu’officier de réserve (Milouïm) dans plus d’une unité, bien avant la catastrophe. Pendant des mois, j’ai essayé d’obtenir un Patch Machia’h et je n’y suis pas parvenu. Personne n’était prêt à y renoncer. Il y a environ six mois, nous étions à une cérémonie à Yavniel et l’un des invités m’a donné un Patch Machia’h. De joie, malgré la chaleur, j’ai sorti ma veste militaire de la voiture, j’ai attaché l’écusson Machia’h et je ai enfilé la veste.. ».
Un instant avant la Délivrance finale, l’étincelle de la foi pure en l’attente du dévoilement du Rabbi Chlita Roi Machia’h se dévoile en plein guerre, parmi les soldats de l’armée d’Hachem. (LPSG)
Le couple, qui a l’habitude de profiter de toutes les occasions qui se présentent à eux pour agir dans le cadre de la mission du Rabbi de Loubavitch, Roi Machia’h, et ainsi, de répandre la lumière et le Judaïsme dans le monde entier, a immédiatement profité de l’occasion pour enseigner aux arabes les Sept Commandements Bnei Noa’h que D.ieu a donné même aux non-Juifs, et ainsi, préparer le monde à la Rédemption finale.
Les sept commandements sont : l’interdiction de l’idolâtrie ; Interdiction de « bénir » le nom d’Hachem ; interdiction du meurtre ; interdiction des rapports illicites ; interdiction du vol ; interdiction de manger le membre d’un animal vivant et l’établissement d’un système juridique. Ils avaient une carte en arabe. Ils ont donc donné la carte à cet homme. « Prenez, lisez et gardez-la. Cela vous apportera une bénédiction » lui ont-ils dit.
L’homme a regardé la carte pendant un moment et a immédiatement dit : « Oh… Je le sais. À l’entrée de notre village, près de Jérusalem, il y a un grand panneau qui indique les Sept Commandements des enfants de Noé. Et nous distribuons souvent des auto-collants comme cette carte sur nos voitures ».
Enthousiaste, l’homme commença à lire la carte à haute voix et à la traduire de l’arabe à l’hébreu, montrant qu’il comprenait bien de quoi il s’agissait. « Ici, le premier commandement, c’est de croire en D.ieu. Cela signifie honorer Dieu, prier, mettre les Téfilines ».
Le couple a pensé un instant qu’ils n’avaient pas bien entendu, ou peut-être que le mot « prière » en arabe était similaire à la prononciation du mot Téfilines en hébreu. Mais tout en parlant, l’homme répéta ses mots : « Mettre les Téfilines »…
« Désolé, mais pourquoi parlez-vous de mettre les Téfilines ? Vous mettez des Téfilines ? » lui demandèrent-ils. « Oui, bien sûr » répondit l’homme à leur étonnement. « Ma mère m’a dit que je devrais mettre des Téfilines »… « Que voulez-vous dire ? Pourquoi mettriez-vous des Téfilines ? ». « C’est parce que ma mère est Juive… Elle vit à Bnei Brak. J’ai des Téfilines et je les mets souvent… Parfois, quand je viens rendre visite à ma mère, elle m’envoie faire des achats, et quand je reviens avec les courses, elle me dit : « Non, ce n’est pas assez casher, ce n’est pas Badatz ».
Je connais aussi un peu de yiddish. Tracht Gut – Wa’at Zayn Gut, A Guta Nacht (traduit du Yiddish : Pense bien et tout ira bien. Bonne nuit… ».
Le couple nageait dans l’étonnement, mais au bout d’un moment, ils ont repris leurs esprits. « Si vous êtes Juif, vous n’avez pas besoin de la carte des Sept Mitsvot Bnei Noa’h, prenez une page du Chéma pour mettre les Téfilines », et il lui tendirent rapidement une feuille de lecture du Chéma avec une image du Roi Machia’h. « Oh, oui, j’ai déjà un feuillet comme celui-ci », répond immédiatement le Juif. Le couple a laissé la carte des sept commandements en la possession du Juif : « Prenez cette carte et distribuez-la dans le village. Vous serez l’émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h dans votre village ».
Il est extraordinaire de constater comment Hachem se dévoile, que même le Juif le plus éloigné retourne à ses racines et se rapproche de D.ieu. Le Prophète a promis que même le Juif le plus éloigné ne serait pas perdu et qu’il retournerait également au Judaïsme. Et à mesure que nous entrons dans la Délivrance véritable et parfaite, nous voyons ce phénomène s’étendre de plus en plus. Merci Hachem. (Traduit pour le Point sur la Guéoula de la Si’hat HaGuéoula n°1523)
Or, la particularité du travail de Noa’h qui a « trouvé grâce aux yeux de l’Eternel (Havayé) » permet de dévoiler dans le monde le Nom Havayé (« l’Eternel ») qui transcende le monde – et il ne s’agit pas uniquement du Nom Havayé qui s’habille dans le monde par l’intermédiaire du Nom Elokim, « Havayé Deletata, Havayé d’en-bas » mais aussi du Nom Havayé qui transcende complètement le monde, c’est-à-dire « Havayé Deleéla, Havayé d’en-haut ».
Le résultat du bilan
Or, il est nécessaire d’appuyer l’importance d’un bilan moral en ce Chabbat de la Parachat Noa’h de cette année. Puisque le Rabbi, mon maître et beau-père, prince de notre génération a témoigné que nous avons enfin terminé tout notre travail, jusqu’à « l’astiquage des boutons de l’uniforme », et nous sommes prêts à recevoir le Machia’h notre juste. Pourtant, en considération du bilan moral que nous avons réalisé, le résultat est que : « La Guéoula, la Délivrance véritable et complète doit intervenir de manière tout à fait immédiate ».
Et a plus forte raison cette année 5752 dont les initiales sont : « Ce sera une année de merveilles, de merveilles dans tous les domaines, « Bakol, Mikol Kol (=192) » en tout, de tout et totalement » dont la valeur numérique est la même que le mot « Kabetz (=192), rassemble les exilés » et qui contient tous les éléments, principalement les merveilles de la Délivrance véritable et parfaite « De même que lors de ta sortie d’Egypte, Je vous montrerais des merveilles ».
Et plus particulièrement, après que soit complété le premier mois de l’année « Tichri » dont les lettres forment le mot « Réchit, le commencement » qui contient l’année toute entière. Or nous sommes le premier Chabbat de cette plénitude du travail dans le monde qui contient la quintessence du Chabbat dans toute sa connotation messianique. Et, de plus, alors que nous sommes le Chabbat après-midi, au moment du troisième repas lié à Yaacov, le troisième patriarche lui-même relié à la troisième délivrance et au troisième Temple.
Va pour toi… en Guéoula
Et nous nous préparons à lire dans la Torah la section « Lekh Lekha, va pour toi… vers la Terre que Je te montrerai », l’ordre et le don des forces nécessaires à chacun et chacune du peuple Juif et à l’ensemble du peuple Juif (grâce à Avraham, le premier Juif) pour sortir de la Galout, de l’exil et nous diriger vers la Guéoula, la Délivrance, d’une double marche (« Lekh Lekha ») qui fait aussi allusion à une marche rapide, dont la plénitude sera (que nous irons) : « sur les nuages du ciel ». Il est clair et avéré que toutes les limites sont déjà dépassées, et tous ont déjà fait Techouva et maintenant, la chose ne dépend plus que du Machia’h notre juste lui-même…
Kiddouch Lévana
Selon tout ce que l’on vient de voir, il est compréhensible que lorsqu’on trace un bilan spirituel après la première semaine de travail dans le monde lors de l’année 5752 « qui sera une année contenant des merveilles », et que nous en arrivons à la conclusion que la chose ne dépend plus que du Machia’h notre juste, lui-même, ceci doit s’exprimer par une attention particulière au Kiddouch Lévana (sanctification de la lune) « car ils se renouvelleront comme elle », lors de la Délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du roi David, le Messie « David, le roi d’Israël est vivant et existant ».
Et principalement, que ce Kiddouch Lévana soit fait avec l’intention bien précise d’activer et de précipiter l’arrivée du roi David, le Machia’h de la manière la plus concrète. Tout ceci, par un rajout dans l’exigence et la demande impérieuse au sujet de la Guéoula, comme il est dit à la fin du Kiddouch Lévana : « Et ils demanderont l’Eternel leur D.ieu et David leur roi, Amen ».
Je me suis assis à la table de deux arabes. Un qui s’appelle Ali et l’autre Ahmed. Je leur ai proposé de lire la petite carte où l’on peut voir les Sept Mitsvot en arabe. J’ai déjà été de nombreuses fois en contact avec des arabes et l’accueil a toujours été excellent. Mais là ce fut au-delà de toute attente. A peine Ali a t-il posé les yeux sur cette carte que son compagnon lui demanda si j’étais sérieux… Ali l’a regardé comme on regarde un malheureux plaisantin et lui dit en hébreu : « Tu sais, cette homme sur la photo c’est le Roi Machia’h ! – Et l’autre de répondre en me regardant : « Mais nous aussi on a un Machia’h qui doit venir – Mais il lui répondit pour moi : « Oui mais lui c’est le Machia’h de toute l’humanité… ».
Et Ali me raconta son expérience avec les ‘Habad qui disent que le Rabbi est le Roi Machia’h. Il me dit qu’il avait toujours été bien perçu chez eux et qu’il suivait leurs actions. En retour, je lui ai raconté un épisode assez particulier qui m’était revenu en mémoire.
« Un jour, je devais poser mon stand de Téfilines au supermaché Rami Lévy à Jérusalem, mais grâce à D.ieu, j’avais quelqu’un qui pouvais me remplacer. Et donc, j’ai pu m’installer à la solderie Maxstock, non loin de là. J’ai pu mettre pas mal de paires de Téfilines et j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup d’employés arabes. Par conséquent, lorsque je faisais une pause avec les Téfilines, je pouvais m’occuper de diffuser les Sept Mitsvot Noa’hides en arabe grâce à mes petites cartes. Il y avait un jeune homme, un arabe, qui m’aborda. Il me demanda ce qu’étaient les Lois imprimées sur cette carte. Je lui répondit brièvement. C’est alors qu’il me confia qu’on lui avait proposé un Million de Shekels s’il rejoignait les rangs d’un mouvement terroriste (bien connu) s’il s’engageait à faire un attentat. Je lui ai expliqué (en prenant mon temps) ce que gagne un homme à rejoindre un groupe comme celui-ci et tout cet argent qu’il va toucher. Par contre, je lui ait dit ce qu’il gagnera à accomplir des actes de grandeur. Et bien, il a compris ce que tout être humain peut déduire et mériter réellement une récompense et même sans aucune récompense. Juste pour Hachem, en l’aimant et le servant. C’est pourquoi, ce vendredi-là, ce jeune homme a renoncé à rejoindre ce groupe terroriste ».
Et maintenant je voudrais donner la parole au Rav Zalman Notik qui est, lui aussi un militant de poids sur les Sept Mitsvot Noa’hides. Il a prononcé ce discours lors d’un Rassemblement Machia’h et Guéoula de mon Rav et Machpia le Rav Zimroni Tsik : « Au sujet des non-Juifs, le Rav Boaz Kali devait parler lors du Kinous HaChlou’him et il m’a dit : « je devrais prendre la parole aujourd’hui mais exceptionnellement, je voudrais rafraîchir mon discours et que ce soit toi qui parle… ». Il m’avait parlé deux jours auparavant. Comment vais-je moi, rafraîchir le discours de Boaz Kali ? Je me dirige alors vers le 770 et je vois devant moi, une pyramide humaine de milliers d’émissaires du Rabbi Chlita Roi Machia’h… Les légions du Roi.
Soudain arrive un Chalia’h des USA, un proche parent, et il dit : « Ouille, je l’ai raté ! ». Puis il sort de sa poche un bonbon… Il s’approche d’un photographe non-Juif, et lui dit de répéter en anglais après lui : « Barou’h Ata Hachem… Chehakol Nihya Bidvaro ». Il lui tend le bonbon et lui fait une bise sur chaque joue et lui dit : « Rendez moi service, prennez-moi en photo et avec photoshop, vous m’introduirez dans la grande photo ok ? »… J’observe la scène de côté et je me dis que je n’ai jamais vu une telle chose de ma vie. Où est-on ? Dans les Messibot Chabbat ? Mais je me tais. Certainement que je ne comprends pas tout ce que je vois. Bref, ce moment passe, et cet émissaire me dit alors : « Ma voiture est garée à deux rues d’ici, tu peux m’accompagner ? ». J’acquiesce et on fait ce bout de chemin ensemble. Soudain un gardien d’origine musulmane vient trouver mon cousin, sur sa veste apparaît son nom « Muhamad ». Et ce Chalia’h commence à entretenir ce non-Juif sur les Sept Mitsvot Noa’hides pendant dix bonnes minutes. Je ne comprends pas non plus cette scène. Mais le jeune arabe lui dit : « Je suis près, si tu le désires à garder ta voiture pendant encore une heure et demi ». Mon cousin me dit alors : « Tu as l’air surpris. N’est-ce pas ? Mais ta surprise ne fait que commencer. Je vais te raconter maintenant comment je gagne ma vie… Je suis directeur financier d’un organisme dont je tairais le nom. Et je me suis dis : « Comment je ramène de l’argent maintenant ? ». Il y a une directive du Rabbi que l’argent vient lorsqu’on s’occupe des Sept Mitsvot des non-Juifs. J’ai donc monté ce que j’ai nommé : « Le Beit Chalom », ou la tente d’Avraham Avinou sur l’une des autoroutes non-loin d’ici. Le conducteur fatigué y reçoit du café, des gâteaux, un lit pour se reposer pendant trois heures, il peut voir des vidéos sur l’histoire d’Avraham Avinou, sur les Sept Commandements Noa’hides. Et les non-Juifs qui voient cela ne peuvent rester insensibles. Ils donnent de l’argent, des sommes conséquentes et c’est ainsi qu’ils soutiennent des institutions ‘Habad… ».
En ce moment – poursuis le Rav Notik – j’enseigne la ‘Hassidout dans un Beit ‘Habad de Jérusalem à Abu Tor, un quartier Juif à côté d’un village arabe. Le directeur en est le Rav Roy Olliel, un grand gaillard très sympathique. Un jour je viens pour le cours et je lui dis : « Aujourd’hui, j’ai un plan. On va descendre dans le quartier arabe, on va rencontrer le maire du village et on va lui demander l’autorisation d’enseigner dans l’une écoles les Sept lois de Noé. Qu’en penses-tu ? ». Roy me dit : « Tu es sûr ? C’est quand même risqué ! ». Je lui ai répondu que telle était la volonté du Roi Machia’h, diffuser ces sept lois chez les non-Juifs. Néanmoins, il me suivit dans mon entreprise (non sans se munir de son ‘Hitat pour plus de sécurité) et nous voilà en route pour le village arabe. Il fallait descendre une grande côte et au bout d’un moment, nous arrivâmes vers un homme âgé assis sur une chaise. Je demandai : « Connaissez-vous le Mukhtar (le maire) du village ? ». L’homme me regarda exactement comme s’il voyait devant lui un extra-terrestre. Il me dit : « Et qu’est-ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». « On veut lui parler des Sept lois des descendants de Noé » en parlant je lui tends une carte où sont imprimées les Sept lois en arabe. Il me dit alors : « Continuez tout droit et vous y êtes ». On a poursuivis notre descente vers ce qui avait l’air inquiétant d’un gouffre… Puis on est arrivé à hauteur d’une épicerie. En arrivant nous avons demandé au jeune qui tenait ce magasin s’il connaissait le Mukhtar. Il nous répondit : « Et qu’est ce que vous lui voulez au Mukhtar ? ». Je lui fit la même réponse qu’au vieux monsieur plus haut. Il me dit : « Écoutez, je suis son fils et il sera là dans une heure et demi revenez, je vous le présenterai ». Une heure et demi plus tard, nous sommes revenus armés de nos publications en arabe sur les Sept lois et là, le jeune nous présenta son père un Cheikh arabe avec la moustache typique, un personnage haut en couleur. Il nous reçu chaleureusement et nous offrit à boire. Je commençais mon exposé sur l’histoire Juive et celle des Sept Mitsvot. Il écouta attentivement mais au bout d’une bonne heure il me demanda : « Mais qu’est-ce qu’il en est de Machia’h dans tout cela ? »… Alors là, il m’avait surpris. Le Rabbi me disait en cela que c’est par cela qu’il fallait commencer… Je lui répliquai en lui exposant les paroles du Rabbi Chlita Roi Machia’h sur la Guéoula. Mais il s’entêtait à répéter les sombres prophéties des musulmans à ce sujet. Qu’il y aura une grande guerre et que seraient tués tous les chrétiens etc. Je lui dit alors : « Lors de l’époque messianique, il n’y aura plus de guerres… Les nations vivront en paix. Je lui montrais alors la photo du Rabbi en lui expliquant que voici, c’est le Roi Machia’h et que je suis son émissaire ». Et, pour finir, je terminais sur une note joyeuse et pacifique. Puis je lui soumettais ma demande, de nous laisser parler dans une école arabe du quartier. Il me répondit : « Dans ce quartier ce ne sera pas possible les jeunes y sont assez violents, mais dans un autre quartier, je me ferais un plaisir de vous introduire »…
Mon fils m’a raconté, la semaine dernière, qu’il était à l’aéroport Kennedy et il allait d’un commerce à l’autre pour poser les Téfilines aux Juifs qui travaillaient là-bas. Au bout d’un certain temps, il se tourne vers une personne et lui dit : « Voulez-vous mettre les Téfilines? ». Et celui-ci de lui répondre : « Je suis un arabe, de Ramlé ». Mon fils lui répliqua : « Excusez-moi de vous avoir proposé de mettre les Téfilines, mais est-ce que je peux vous parler des Sept lois de Noé ? ». Ils ont discuté quelques minutes et c’est alors que le jeune homme, arabe de Ramlé, lui dit : « Ecoutez, je peux vous aider à mettre les Téfilines aux gens, je travaille ici et je sais qui est Juif et qui ne l’est pas ». En effet, grâce à lui, ils ont réussi à mettre une grande quantité de paires de Téfilines, et ceux qui ne voulaient pas les mettre, ce jeune arabe parlait avec eux et tentait de les convaincre…
Tel est le monde d’aujourd’hui. Le monde pendant l’ère messianique. Soyons des Juifs du futur, des Juifs de la Guéoula. Partout où l’on se rend, avoir toujours sur soi les cartes des Sept Mitsvot Noa’hides. Et on voit les miracles… Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd… » (Extrait du livre « Le Point sur la Guéoula »)
(Traduit par l’équipe de LPSG
du livre «Niflaot A’hchav»)
Le personnel médical insista à plusieurs reprises sur le fait qu’Avi’haï devait remercier D.ieu d’être sorti vivant de l’accident. Cela aurait facilement pu se terminer par le pire… Mais en plus de la joie d’un côté dans son cœur d’être sauvé, Avi’haï avait aussi un sentiment d’abattement et de désespoir : suite à l’accident, il est devenu paralysé…
Il y a trois ans, Rav Yossef Re’himi et son épouse, avec un petit bébé de deux mois, sont arrivés en Namibie (en Afrique) pour y ouvrir un Beit ‘Habad. Afin de préparer encore un autre endroit sur le globe pour accueillir le Roi Machia’h. Ils ont loué un grand bâtiment et ont entrepris un grand nombre d’activités : les prières, les cours de Torah et de ‘Hassidout, de l’alimentation Cachère pour les voyageurs, et bien plus encore.
En peu de temps, le bâtiment était devenu trop étroit pour accueillir les nombreux visiteurs. De plus, le propriétaire a annoncé, sans équivoque, qu’il ne prolongerait pas le contrat de location. Lundi, la semaine dernière, était fixée la date à laquelle la famille Re’himi et le Beit ‘Habad devait quitter le bâtiment.
Lorsque Rav Yossef a écrit au Rabbi Chlita de Loubavitch, Roi Machia’h, la réponse était qu’il devait étendre l’activité et déménager dans un endroit beaucoup plus grand. Il chercha fièvreusement une structure appropriée, mais n’en trouva aucune. Les agents immobiliers locaux qu’il avait rencontré ont également affirmé qu’il n’y avait aucune propriété dans toute la région qui répondait à ses exigences.
Le temps pressait et toujours pas de structure appropriée. En tant qu’émissaire fidèle, Rav Re’himi demanda de nouveau une bénédiction du Rabbi pour trouver un moyen de sortir du pétrin dans lequel il se trouvait. La réponse du Rabbi à travers les Iguerot Kodech fut : «Le salut de Dieu arrive en un clin d’œil»…
Mercredi il y a quinze jours, moins d’une semaine avant la fin du bail, une bonne affaire a été découverte : un agent immobilier lui a proposé de louer un grand immeuble de 600 mètres carrés. Rav Yossef Re’himi examina le bâtiment, qu’il aima vraiment, mais le prix était beaucoup trop élevé. Les autres termes de l’accord étaient également trop difficiles. L’agent immobilier n’avait pas beaucoup d’espoir de pouvoir adoucir les exigences du propriétaire de l’immeuble. C’était un homme riche et grossier qui méprisait les gens « ordinaires »…
Rav Yossef Re’himi écrivit de nouveau au Roi Machia’h et reçut une réponse étonnante (Iguerot Kodech, vol. 17, page 256) : «Nous avons besoin du témoignage d’un certificat… Le certificat du Rabbinat suscite un sentiment plus respectueux parmi les auditeurs». Rav Yossef Re’himi a décidé de mettre sa compréhension logique de côté et s’est rendu à une réunion avec le propriétaire du bâtiment avec son certificat d’ordination rabbinique sous le bras.
Immédiatement au début de la réunion, Rav Yossef Re’himi a clairement fait comprendre à l’homme riche qu’il était le Grand Rabbin de Namibie, et comme preuve, il avait tous ses certificats rabbiniques.
L’homme riche fut très impressionné par les certificats, il a compris qu’il avait affaire à une personne importante, et « sur place » a accepté d’être flexible sur les termes de l’accord et il baissa même le prix de location…
Vendredi dernier, le contrat de bail a été signé pour un grand Mazal Tov, à la bonne heure ! Lorsqu’un émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h accomplit sans réfléchir les paroles du Roi, il peut être sûr que tout s’organisera tout seul, sans intervention humaine comme dans une histoire du Baal Chem Tov… (Traduit de la Si’hat HaGueoula n°1515 par l’équipe du Point sur la Guéoula)
Sasson Aviad est conscient que sa présence aux Etats-Unis, à Las Vegas, dans le cadre de son activité commerciale, doit être considérée comme s’inscrivant dans la mission confiée par la Providence Divine, celle de répandre et de publier l’imminence de la Délivrance en tous les lieux…
Lorsqu’on le considère sur le plan superficiel, il n’apparaît pas, au premier regard, comme un Juif ‘hassidique, mais plutôt comme un israélien du modèle courant, comme nombre de ses semblables dans cette ville. Et cet aspect l’aide énormément à faire passer les messages, c’est du moins ce qu’il affirme.
«En de nombreuses circonstances», fait-il remarquer, «où j’ai l’occasion de parler avec les personnes que je rencontre, je les informe de la grande importance de se lier au Rabbi, roi Machia’h, de proclamer «Ye’hi Adonénou», et nombreux sont ceux qui m’accompagnent au Beth ‘Habad dans le but d’écrire et de solliciter sa bénédiction par le canal des «Iguerot Kodech».
Je dois reconnaître, avec une certaine fierté, que ma foi doit beaucoup au Rav Zimroni Tsik, de Bat-Yam, qui m’influença profondément, au cours des très nombreuses réunions (principalement le célèbre « Machia’h Bakikar ») qu’il avait organisées, et auxquelles j’assistais au cours des dernières années où j’habitais en Terre Sainte».
Les faits qui sont rapportés aujourd’hui furent relatés au cours d’un banquet de reconnaissance, organisé par Sasson, et auquel un public nombreux participait, pour un grand miracle dont il bénéficia, deux semaines auparavant.
Voici ce qu’il raconta : «Cela est survenu le lundi 16 Elloul, alors qu’ayant fait mes achats en produits Cachers, et particulièrement en viande. Je m’éloignais, à bord de mon véhicule, et tournai, au premier croisement, vers la droite. A ce moment, un véhicule commercial, qui démarrait sur cette voie, vint me percuter à grande vitesse sur l’arrière de ma voiture, emboutissant presque la moitié du véhicule, et m’envoyant vers l’avant avec une force considérable. Tout s’était déroulé en quelques fractions de seconde, et je réalisai soudain que j’étais en train d’effectuer une rotation de 360 degrés, sans avoir le moindre contrôle sur la voiture. A présent, j’étais face à un semi-remorque géant, vers lequel je fus projeté, pendant que mon véhicule finissait sa rotation.
L’avant de l’auto, où j’étais assis, encaissa alors un choc sévère. A cet instant, je pus me concentrer et je me mis à crier : «Chema Israël, Hachem Elokénou, Hachem E’had» Et, immédiatement, surgit du fond de moi la proclamation «Ye’hi Adonénou, Morénou VéRabbénou, Méle’kh HaMachia’h Léolam Vaed… Rabbi, sauve-moi!» Mon véhicule s’immobilisa à cet instant, pendant que de nombreuses voitures s’arrêtaient à ma hauteur, dans un concert de freins impressionnant. Celui qui contemplait ma voiture était certain qu’il ne s’y trouvait plus d’être vivant, or quelle ne fut pas la stupéfaction des témoins lorsqu’ils me virent en sortir, entier et indemne…
Le Chabbat qui suivit, lorsque assis au «Farbrenguen (réunion ‘hassidique)», je racontai ce grand miracle, ce fut pour moi l’occasion de rappeler au public la nécessité de conserver dans chaque véhicule un volume de «’Hitat» (‘Houmach, Téhilim et Tanya).
Je dois toutefois avouer que, malgré le soin méticuleux qui est le mien à toujours munir le véhicule que je conduis, de ce volume ainsi que d’une boite de Tséddaka, conformément aux recommandations du Rabbi, roi Machia’h, je l’avais oublié lors de ce déplacement…
Tous les hommes de la communauté, présents ce jour-là, prirent sur eux (et moi également) de munir chaque véhicule d’un ‘Hittat et d’une boite de Tséddaka, en formulant le souhait que l’on ne connaisse plus jamais ce genre d’événement. Et qu’au sein de tout notre peuple, nous méritions une inscription et une confirmation pour «une année bonne et douce dans tous les domaines». (Traduit par le Rav Pin’has Pachter)